Sur Sud Radio, immigration : Macron peut-il reprendre la main à un an de la présidentielle en 2022 ?
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Claire Koç, dans « Claire : le prénom de la honte », raconte combien son assimilation à la culture française aura été difficilement reçue par sa famille et au sein de la communauté turque. Journaliste à France info, elle décrit comment l’adhésion à l’identité et l’obtention de la nationalité française y est socialement dévalorisée voire parfois prescrite. Récit d’une assimilation interdite, entre chantage au racisme et rejet de l’intégration.
Damien, comme le personnage le plus célèbre de la littérature espagnole, aime la chevalerie. Le rêve d’une vie plus pure le hante et lui fait parfois confondre les moulins avec des géants, et les présidents avec des têtes-à-claques. Il est patriote et voit la France à travers sa grandeur plus qu’au travers des chiffres d’une économie défaillante. Il n’aime pas Macron, parce que celui-ci n’aime pas la France et se plaît à l’amoindrir.
Une note, émanant d’une commissaire de police dans le Val-d’Oise, et largement reprise dans les médias, sonne comme l’annonce d’un renoncement officiel de l’État sur la question des rodéos urbains. Pour bien comprendre le problème, il faut revoir les faits divers de plus en plus nombreux autour de cette pratique, celle de la « roue arrière » à moto, à grande vitesse et en bande organisée sur la voie publique.
Selon un sondage pour CNews, 8 Français sur 10 sont favorables aux courses-poursuites pour mettre fin aux rodéos sauvages.
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Michel Thooris, qui revient également sur le thème de la sécurité mis en avant en cette période électorale, et à moins d’un an de la présidentielle.
Illustration originale de Plonk & Replonk. — © Plonk & Replonk pour Le Temps
Le trait d’union qui reliait les deux parties désormais collées du mot portemonnaie est parti se glisser dans le billet de deux-cents francs. Bien sûr, il restera toujours un élève zélé pour rappeler les anomalies de la graphie traditionnelle jugée obsolète et il n’en sera pas sanctionné. Mais le corps enseignant romand se basera dès 2023 sur les nouveaux manuels rédigés en «orthographe rectifiée».
Suivant l’actualité, il m’est revenu un vieux souvenir. C’était il y a une vingtaine d’année. Je rencontrai professionnellement mon nouveau chef. Il me dit – entre autres – une chose : quand vous m’apportez un dossier, évitez qu’il soit dans une chemise verte si vous voulez que je le regarde positivement. Vous savez, je suis du sud et le vert était la couleur des pirates barbaresques venant nous piller.
JEUNESSE SI TU SAVAIS
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POUSSIERES D'ETOILES
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Et voici le soixante onzième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...
Voici un argument que certains opposent régulièrement aux royalistes et auquel il nous semble utile de répondre : « La Monarchie, c’est la dictature, tout le contraire de la République… » Eh bien, non, la Monarchie, ce n’est pas la dictature tout comme la République, ce n’est pas la liberté, et nous le prouvons !
Symbole de la Renaissance, François d’Angoulême.
(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
Yves-Marie Adeline vient de nous faire parvenir, au siège de notre Association lafautearousseau, son dernier ouvrage, paru le 7 mai dernier.
Je l'en remercie chaleureusement et, après l'avoir lu moi-même, je le fais circuler entre les membres de la Rédaction de lafautearousseau.
Ce livre est d'une lecture très aisée, y compris et surtout pour les non-spécialistes de l'économie, dont je fais partie. Dans les deux pages de son Introduction, Yves-Marie Adeline y écrit :