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Voici un argument que certains opposent régulièrement aux royalistes et auquel il nous semble utile de répondre : « La Monarchie, c’est la dictature, tout le contraire de la République… » Eh bien, non, la Monarchie, ce n’est pas la dictature tout comme la République, ce n’est pas la liberté, et nous le prouvons !
Yves-Marie Adeline vient de nous faire parvenir, au siège de notre Association lafautearousseau, son dernier ouvrage, paru le 7 mai dernier.
Je l'en remercie chaleureusement et, après l'avoir lu moi-même, je le fais circuler entre les membres de la Rédaction de lafautearousseau.
Ce livre est d'une lecture très aisée, y compris et surtout pour les non-spécialistes de l'économie, dont je fais partie. Dans les deux pages de son Introduction, Yves-Marie Adeline y écrit :
Si la déliquescence de notre vie publique se lit dans le geste d’un hurluberlu tout content d’exister durant quelques minutes, cette séquence vient conclure un moment politique dans lequel l’abaissement des fonctions et des institutions ne fut pas le fait des citoyens mais de leurs représentants.
Le populisme – l’empoisonnement du peuple par son propre poison, mais pas selon ses propres moyens, en quoi il est une tyrannie. Voilà la définition minimale que nous pouvons donner du populisme, celle qui le contient tout entier et qui fait que tout ce que nous pourrions ajouter d’autre à son propos relèverait de l’accidentel et non de la cause, parmi quoi le juste constat d’un peuple qu’il importe de ne pas nier.
Dans un sondage réalisé par l’institut CSA dont les résultats ont été rendus publics le 27 mai, il apparaît que 81 % des Français pensent que la justice de ce pays est trop laxiste. Dans le détail, 37 % sont tout à fait d’accord avec cette affirmation et 44 % plutôt d’accord quand 1 % seulement la réfutent.
La véritable écologie, c'est celle qui préserve les paysages comme la biodiversité, et non celle qui bétonne le sol comme les fonds marins pour construire des éoliennes industrielles !! La Bretagne est belle, la mer est belle, ne la laissons pas enlaidir par des tours éoliennes dont le rapport énergétique n'est même pas probant en définitive ! Mieux vaudrait favoriser des équipements pour valoriser l'énergie houlomotrice, moins massifs et plus efficaces.
Quand Hyacinthe Rigaud peignait Louis XIV : l’avènement du portrait Soleil. Le peintre Hyacinthe Rigaud vous raconte l’histoire passionnante des coulisses du portrait du roi Louis XIV. Dans cette fiction documentée, le peintre Hyacinthe Rigaud raconte ses séances de pose avec Louis XIV.
Le vendredi 14 mai dernier∗ Annie Laurent a cherché à nous expliquer la conception de l’islam sunnite en matière d’autorité religieuse, en particulier à travers l’institution du califat. Une telle approche était nécessaire en préalable à une présentation d’El-Azhar, cette très ancienne institution située au Caire qui est parvenue à s’imposer dans l’opinion générale comme l’organe représentatif des musulmans du monde entier, au point qu’on l’assimile parfois au Vatican des catholiques.
Il s’agit maintenant de découvrir ce qu’est précisément El-Azhar, ce que fait Annie Laurent ici (texte paru dans La Petite Feuille Verte, n° 80). Elle y rappelle les éléments essentiels qui ont façonné son identité, son statut et sa fonction, et ce jusqu’à l’époque contemporaine. Les PFV suivantes traiteront des positions d’El-Azhar concernant l’approche de l’islam, notamment les tentatives de réforme du début du XXème siècle, ainsi que l’islamisme.
Une autre sera consacrée aux relations d’El-Azhar avec les chrétiens et le Vatican.
Qui sème le mépris récolte une juste colère. Gifler le monarque est certes hautement symbolique mais si l’altitude institutionnelle de la cible appelle une sanction proportionnée, la signification du geste est lourde de sens car elle signale que sa véritable hauteur, ressentie par le peuple est réduite à néant.