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Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
De nationalité russe, Anna Gichkina est docteur ès lettres diplômée de l'université Paris-Sorbonne et présidente du cercle de réflexion franco-russe à Strasbourg "Cercle du Bon Sens".
Elle publie un essai remarquable L'Europe face au mystère russe: transcendance, nation, littérature aux éditions Nouvelles Marge.
Face aux problèmes que subit l'Europe : déchristianisation, crise du libéralisme, dogme droit de l'hommiste, transhumanisme... elle propose, comme remède, un retour à la littérature russe, gardienne de l'Evangile.
Vingt-sept personnes ont été condamnées alors que la Constitution reconnaît l’emblème amazigh comme une composante de l’identité nationale algérienne.
Dans la salle des pas perdus du tribunal de Sidi M’hamed à Alger, tard dans la nuit du lundi 11 au mardi 12 novembre, un homme ne se retient plus. « Honte à vous !, hurle-t-il. Nos enfants sont en prison pour le drapeau amazigh, nous sommes chez nous ! » Une exclamation de colère et de détresse relayée par la foule des parents de détenus et des militants venus les soutenir aux cris de « justice du téléphone » et « nous sommes toujours des Amazighs ».
Ouvert lundi, le procès de 42 personnes arrêtées lors des manifestations à Alger pour « atteinte à l’unité nationale » à cause de port du drapeau amazigh, s’est terminé, pour 21 d’entre eux, par une condamnation à un an de prison dont six mois ferme et une amende de 30 000 dinars (environ 230 euros).
lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Nous poursuivons la publication de notre série, dont la lecture expliquera à ceux qui ne l'ont pas connu le rôle intellectuel important de Pierre Debray à l'Action Française dans les années 1950-2000.
Cette analyse politique, économique, sociologique et historique, menée méthodiquement, à la maurrassienne, comporte de multiples enseignements, utiles aujourd'hui à notre école de pensée. Comme un stimulant de notre réflexion sur la situation présente de la France et sur l'action que nous avons à y mener.
Même si le lecteur devra tenir compte des événements et des faits intervenus au cours des trois dernières décennies. LFAR
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Il est aussi absurde que courant d'appeler Poulidor l’« éternel second », surnom qui colle le plus à la peau de l’immense champion, mort ce 13 novembre, au terme de quatre-vingt-trois années bien remplies.
Et pas seulement de deuxièmes places, bien au contraire !
Raymond Poulidor a participé à au moins 477 courses pendant les dix-sept années qu’a duré sa carrière professionnelle : 153 victoires, 65 deuxièmes places.
Mais, bien plus que les exploits sportifs, ces sont les qualités humaines que l'on retiendra chez lui : homme simple et vrai, vivant à Saint Léonard de Noblat, dans cette France profonde où sont les vrais gens, la vraie vie; alliant gentillesse, modestie et simplicité, ce qui n'excluait ni un caractère bien trempé ni un humour caustique et un robuste bon sens paysan.