UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • Dénonciation et repentance de l'esclavage passé : Valls  oublie de condamner l'esclavage actuel...

    Dans le monde entier : Plus la couleur est foncée, plus l'esclavage moderne est présent 

     

    Mur-bleu gds.jpg

    Pour oublier peut-être le triste spectacle qu'offre son pauvre parti - encore appelé « socialiste », mais où les condamnés et mis en examen ne se comptent plus... - Valls est parti prendre l'air en Afrique de l'Ouest (Togo, Ghana, Côte d'Ivoire...). Evidemment, il en a profité pour condamner l'esclavage, montrant sur ce sujet la même inculture, la même ignorance dont il avait fait preuve lorsqu'il avait évoqué - toujours « à l'étranger », qui, décidément, ne lui réussit pas... - une république française qui savait accueillir les étrangers. 

    Bien sûr, condamner l'esclavage d'hier, tout le monde est d'accord là-dessus. Valls a peut-être cru que s'aplatir et faire la carpette, sur ce sujet, devant le politiquement-historiquement-moralement correct serait bénéfique pour sa cote de popularité. 

    Mais il n'a oublié qu'une chose : oh, trois fois rien, une paille, direz-vous. Pourtant, ce trois fois rien, cette paille mériteraient amplement d'être dénoncés : l'esclavage d'aujourd'hui, encore pratiqué dans plusieurs pays d'Afrique. Seulement, voilà, il y a un problème de taille : les pays où subsiste encore l'esclavage, aujourd'hui, sont des pays noirs, arabes et, pour la plupart, musulmans. Alors, là, évidemment, c'est silence radio. 

    Critiquer les Blancs, les Chrétiens, l'Europe... pas de problème ! Mais, des Noirs ! des Arabes ! des Musulmans ! Vous n'y pensez pas, c'est interdit dans le Code du politiquement correct, qui prime sur tous les autres. 

    Et pourtant ! Puisqu'il était proche de ce pays, comme on aurait aimé entendre Valls dénoncer le gouvernement mauritanien : là-bas, treize Mauritaniens noirs proches de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste ont été jugés pour « attroupement armé » et « rébellion » ; jugés mais aussi torturés et condamnés à quinze ans de prison. Et, comme on aurait aimé, au moins, entendre Valls ne serait-ce que citer le nom de Biram Dah Abeid, la voix des esclaves modernes de la Mauritanie... 

    En 2014, l’ONG Walk free estimait qu’il y avait encore 4 % d’esclaves en Mauritanie, soit environ 150 000 personnes, tout de même... : une paille, trois fois rien, on vous dit. Et, le 20 août 2015, Biram Dah Abeid, figure emblématique de la lutte contre l’esclavage, était condamné à deux ans de prison, pour en avoir réclamé la fin. 

    Cela, soit Valls l'ignore, ce qui est grave pour un Premier ministre ; soit il le sait, et il le tait. Et, là, c'est encore plus grave... 

     
    A lire aussi dans Lafautearousseau

    Retour sur son passage à Barcelone : erreurs en série et ignorance crasse pour Manuel Valls

  • Numéro spécial Boutang de La Nouvelle Revue Universelle – A commander ici !

     

    Vient de paraître : Un numéro exceptionnel de La Nouvelle Revue universelle entièrement consacré à Pierre Boutang

    Le 20 septembre 2016, Pierre Boutang aurait eu cent ans. L’exceptionnelle personnalité du jeune prodige que l’on comparaît à Rimbaud lui a fait suivre des chemins tourmentés, mais d’une impressionnante fécondité. La fidélité à Maurras, loin de le brider, a contribué à faire de lui l’un des penseurs les plus incisifs du XXe siècle, aux accents prophétiques pour défier l’horreur nihiliste.

    Autour d’Axel Tisserand et de Gérard Leclerc, une douzaine de voix, libres et diverses, honorent ce centenaire. Plusieurs textes de Boutang, dont des extraits de ses Cahiers inédits, ponctuent cet hommage qui demeurera un ouvrage de référence. 216 pages 

    nru_couv-45.jpg

    Prix, port inclus : 22 euros. 

    Ou abonnez-vous à la revue (trimestrielle) : 1 an pour 70 euros (tarif réduit 40 euros), par chèque adressé à la revue, 1 rue de Courcelles, 75008 Paris – tél. 01 42 57 43 22

  • Cercle Algérianiste de Marseille : La conférence de Bernard Lugan prévue ce jour ne pourra avoir lieu

     

    C'est par suite d'une indisposition du conférencier - heureusement passagère et sans gravité - que cette conférence de Bernard Lugan, prévue ce jour, a du être annulée, nous annonce le Cercle algérianiste de Marseille. Nous répercutons donc cette information à l'intention des lecteurs de la région marseillaise de Lafautearousseau.  

  • Une Monarchie familiale pour la France

    Le duc et la duchesse de Vendôme avec leurs trois premiers enfants, Gaston, Antoinette et Louise-Marguerite. Depuis, le prince Joseph est venu agrandir la famille 

    Par Jean-Philippe Chauvin

     

    1345578492.2.jpgL'autre jour, en terrasse d'un café parisien près de l'église Saint-Sulpice, j'ai eu comme une hallucination : en gros titre d'un journal dominical, au-dessus de la photo d'un couple souriant, l'on pouvait lire « L'hypothèse royale » ! Ainsi, tous mes vœux semblaient s'approcher de leur réalisation, et je pouvais entrevoir la fin de mon militantisme... 

    Et puis, j'ai regardé plus attentivement ce titre aperçu à travers la vitre et mes espoirs ont été, une fois de plus, froidement douchés : il y avait bien la photo d'un couple apparemment heureux et complice, mais le titre n'était plus tout à fait celui que j'espérais : « l'hypothèse Royal », et le couple n'était guère princier... Quelle déception ! 

    En fait, je suis persuadé que la présentation de la couverture en appelait au subconscient monarchique des Français, suivant la formule de Georges Bernanos qui affirmait que les Français étaient naturellement monarchistes sans le savoir ou sans l'appréhender formellement : la Cinquième République n'est-elle pas, en somme, une sorte de synthèse (incomplète ?) des traditions républicaines et monarchiques, au point que Maurice Duverger pouvait qualifier celle-ci de « monarchie républicaine » ? 

    A cet égard, constatons que l'erreur de M. Mélenchon et d'une partie de la gauche (mais aussi de la droite libérale) est de croire qu'il faut poursuivre le mouvement de républicanisation qui n'est rien d'autre que l'affaiblissement de la magistrature suprême de l'Etat et de l'Etat lui-même ainsi que du Politique, mouvement qui risque de désarmer un peu plus notre pays dans (et face à) la mondialisation : car, comment se faire entendre dans un monde de libre-échange agressif et qui réalise, dans une sorte de cabriole idéologique, le programme marxiste de disparition des Etats et des classes (tout le monde devenant « d'abord » consommateur), sans un Etat digne de ce nom, source des lois et des règlements protecteurs des plus faibles ? Car il s'agit bien de cela : face à la gouvernance mondiale qui ne pense qu'en termes économiques et « de profit », il faut un gouvernement des hommes qui soit inscrit dans le long terme et dans un terreau mémoriel et patrimonial autorisant et favorisant ces racines nécessaires au développement de toute personnalité libre et « civique ». 

    En cela, je pense de plus en plus, au regard des inquiétudes de notre société et des défis qui l'attendent, que l'Etat « familial » est plus rassurant que cette République qui, tous les cinq ans, change de tête et ne place qu'un individu à son faîte, un homme que d'aucuns pensent providentiel quand il n'est souvent que « l'addition des mécontents » et « le refus de l'un par le vote pour l'autre » : l'élection présidentielle divise et énerve plus qu'elle ne rassure ou qu'elle ne fait espérer, et il suffit de voir la bataille de chiffonniers à droite comme à gauche pour le constater aisément ! 

    La Monarchie royale est à la fois dynastique dans son mode de transmission et familiale dans sa représentation : la reine ou les enfants royaux, voire les oncles et tantes, « incarnent » (au pluriel, et à tous les sens de ce pluriel) les familles de la nation, avec leurs difficultés, leurs espoirs et leurs drames, et les familles du pays, d'ailleurs, s'y réfèrent, demandant parfois plus encore à la famille royale qu'à la leur propre… 

    Le très républicain Régis Debray a fort bien expliqué, il y a déjà quelques années et alors même qu'il était l'un des proches conseillers de François Mitterrand, que, dans notre France contemporaine et républicaine, « il manque une famille royale » qui assumerait la représentation du pays à l'extérieur (comme la famille royale d'Angleterre avec les pays du Commonwealth) et déchargerait le gouvernement de la nécessité d'assurer « le spectacle du politique », ce qui, aujourd'hui plus encore qu'hier, éviterait la « pipolisation » de la classe politique et gouvernementale... Cela redonnerait d'ailleurs plus de crédibilité à des hommes et femmes politiques, aujourd'hui réduits à s'allonger sur le divan des animateurs télévisuels ou à poser pour faire « la une » de la presse dite populaire. 

    La Monarchie « à la française » n'est pas, certes, que l'image rassurante d'une famille, mais elle ne peut oublier, si elle veut être « complète », cette dimension familiale : les médias qui, faute de famille régnante en France, jouent sur l'image d'un couple, désormais plus politique que conjugal, l'ont bien compris. Alors, donnons-leur une vraie famille à photographier, à valoriser, à aimer ! 

    Il en est une qui, à Dreux, incarne la « possible monarchie »... 

    Le blog de Jean-Philippe Chauvin

  • « Radicalisation » : la guerre des mots

           

  • Au faïencier breton créateur de la Marianne noire

    Les citoyens français à la peau noire - que nous ne mésestimons pas - se sentiront-ils flattés, honorés, représentés par cet objet assez hideux ? On en doute ...

     

    Mur-bleu gds.jpgUn faïencier breton - nommé Henriot Quimper - aidé du plasticien Yannick Cohonner, vient d'éditer et de mettre en vente 250 statues d'une Marianne noire, symbole de « l'amour intercommunautaire » et de « l'abolition de l'esclavage ».
     
    Il n'a pas dit s'il dédiait cet « amour intercommunautaire » à Mohamed Lahouaiej Bouhlel et à ses 84 victimes de Nice ; à Larossi Abdallah, assassin du couple de policier de Magnanville ; à Yassine, qui a assassiné son patron puis coupé sa tête pour la planter sur l'une des piques de la grille de son usine ; aux assassins des terrasses de Paris, aux tueurs du Bataclan, à Mohammed Merah, aux frères Kouachi, à tous les autres...
     
    Non, il ne l'a pas dit. Peut-être qu'il n'a ni télé ni radio, et qu'il ne lit pas les journaux, non plus, allez savoir ! En tout cas, lui, il aime les « extra-communautaires », et il semble ignorer qu'une part d'entre eux nous assassinent dans les rues. Ou alors il s'en fiche. Là aussi, allez savoir !

    Ce qu'il dit, c'est que, pour lui, « la France est tout sauf une Blanche catholique ; c'est un pays athée ; et la Marianne est un super symbole. Etre noir ce n'est pas quelque chose d'exotique, ce n'est pas être un citoyen à part, il a le droit d'être représenté». C'est un peu - beaucoup - jargonneux, mais que voulez-vous ! C'est une créature de l'école de Jules Ferry à qui l'on a enseigné le rejet de tout ce qui avait « fait » la France...

    Pourtant, n'allez pas croire que nous allons injurier ou, même, simplement critiquer ce pauvre ignare, victime, au fond, innocente du lavage de cerveau de l'école républicaine idéologique. Au contraire, et au risque d'étonner, nous allons dire que ce faïencier - roi des sots - a très bien fait de faire ce qu'il a fait et de dire ce qu'il a  dit. Puisque ce très pauvre symbole de marianne (qui ne mérite pas ici la majuscule) est la très pauvre représentation de notre république, il est bon de la montrer telle qu'elle est, en réalité : frontalement opposée à tous nos héritages, venus du fond des siècles, et fondamentalement différente de tout ce qui nous fait ; de tout ce qui a fait la France, et qui lui a permis, selon le joli mot de Jean Dutourd, d' « étonner le monde ».

    Au moins, pour les ignares et les incultes, grâce à ce faïencier breton, les choses sont claires, même s'agissant de couleur noire. « Leur » république idéologique s'est bien voulue, pensée, construite, sans, en dehors et contre toutes nos traditions fondamentales.

    On ne remerciera jamais assez notre faïencier de l'avoir exprimé d'une façon aussi parlante... 

  • La Semaine de Magistro, une tribune d'information civique et politique

     

    La  Semaine de MAGISTRO Adossée à des fondamentaux politiques avérés, Magistro, une tribune critique de bon sens, raisonnée et libre, d'information civique et politique. [30.10]

    A tout un chacun

    Jacques BICHOT   Economiste, démographe, Professeur émérite à l'Université Lyon 3 - Ancien président de Familles de France   Le bon sens et le droit

    Du côté des élites  

    Ivan RIOUFOL  Journaliste politique   L'histoire maltraitée

    Madeleine de JESSEY   Doctorante en Littérature comparée, Co-fondatrice et porte-parole de Sens Commun   J'ai vu un homme d'Etat

    Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire, ancien conseiller pour les affaires intérieures et l’immigration au cabinet du Président de la République   L'histoire interdite

    Avec l'Europe

    François JOURDIER   Officier, amiral (2S)   La poussière sous le tapis

    De par le monde

    Jean SALVAN   Officier, général de corps d'armée (2S)   La guerre psychologique et la Syrie

    Jean-Luc BASLE   Economiste, ancien directeur de Citigroup New York   Etats-Unis : crise constitutionnelle en gestation ?  

    Devant l'histoire

    Antoine ASSAF   Ecrivain, philosophe franco-libanais   Lettre ouverte au Cardinal Schönborn  

    Faites suivre à vos amis, dans votre famille et partagez ...  MAGISTRO  vous invite aussi à vous rendre sur son site et y (re)lire tous les écrits depuis son origine (2008).  MERCI. 
                                                                                            

  • Bonne Toussaint à Jean Regourd, président de la Libre pensée de Vendée, et à tous « les siens » !

    « Paris Ramadan »

     

    Mur-bleu gds.jpgAujourd'hui, cela ne vous aura pas échappé, c'est jour férié, puisque c'est la Toussaint. Il n'y a pas de « cri » ou d'exclamation pour cette fête, comme les « Joyeux Noël » ou « Joyeuses Pâques » que l'on s'adresse à ces autres moments de l'année, et pourtant, la Fête est grande pour l'Eglise catholique. Pensez : on n'honore pas, ce jour-là, un saint ou une sainte, mais tous les saints et les saintes reconnu(e)s, ce qui en fait un sacré paquet ! Sainte Angadrème (très aimée de Louis XI...) ou Sainte Gudule ; les saintes Melaine, Ida et Alida, Marietta et autres Pélagie (pour commencer par les femmes, galanterie française oblige); et saint Thècle, Modeste, Aubin, Paterne et autres Saturnin, pour les hommes (sans oublier, bien sûr, Urbain, Pancrace, Mamert et Servais, les fameux « saints de glace ») !

    Mais, qu'est-ce qu'il leur prend de commencer leur billet comme ça, allez-vous penser, et où diable (en parlant de saints ...) veulent-ils en venir ? Avouez que c'est un peu ce que vous vous dites, à cet instant, non ?

    XVM0ecb2564-978b-11e6-9f79-32c53643ac11.jpgVoilà la raison : il s'agit de « l'affaire des crèches », et de l'arrêté du Conseil d'Etat déclarant licite l'installation de  crèches dans des espaces publics (mairies, aéroports, places, rues et autres...) mais sous certaines conditions. Une « affaire » qui ne date pas d'hier (la bêtise étant intemporelle) mais qui a a été remise à l'ordre du jour l'année dernière lorsque Jean Regourd, très connu dans son immeuble, et accessoirement président de la Libre pensée de Vendée, avait obtenu d'un tribunal administratif le retrait de la crèche installée par le Conseil régional dans ses locaux. Même charivari à Melun, à Béziers, un peu partout... les laïcards montant au créneau contre tout ce qui représente nos traditions chrétiennes, mais se gardant bien de protester quand une pléthore d'élus locaux se joint aux musulmans pour le repas de rupture du jeûne du Ramadan ou quand des panneaux Decaux souhaitent « Joyeux Ramadan » aux musulmans.

    Nous avons donc une pensée émue, en ce jour où l'on célèbre TOUS les saints du ciel, pour ce pauvre Jean Regourd, qui doit certainement se trouver à son bureau, à l'usine, bref, au boulot, car il ne saurait être question, pour lui et les siens, d'honorer sainte Angadrème ou saint Mamert : non mais ! D'ailleurs, rien que d'évoquer ce « saint de glace », cela fait froid dans le dos, vous ne trouvez pas ?

    Et Jean Regourd - et tous « les siens » - recommenceront, stoïquement, à aller bosser le 25 décembre, les lundis de Pâques et de Pentecôte, le jeudi de l'Ascension, le 15 août (s'il ne tombe pas un dimanche); d'une façon « citoyenne » et « républicaine », comme on dit aujourd'hui, puisque le ridicule ne tue plus. En posant une sorte de « RTT à l'envers », et histoire de ne pas porter atteinte au principe de laïcité, devenu sacro-saint (pardon, on a dit « saint », faites excuse, ô mânes de Marat, de Danton, de Robespierre ou de... Saint Just - qui, lui, n'était ni saint, ni juste, mais, là, c'est une autre histoire...)

    C'est beau l'adéquation entre conduite privée et pensée « politique » (?), vous ne trouvez pas ?...

    Allez, Jean, du courage, une journée de boulot ça finit toujours par... finir ! Et répète après nous : Vivent les grands principes et les grands ancêtres ! 

  • Riposte laïque : « Hollande a dit ce que la majorité des Français pensent des juges »

     

    Par Marcus Graven

    Une réflexion qui, dans sa rudesse, dit bien des vérités. [Riposte laïque du 13.10] ... Un lecteur avisé écrit sur le sujet : « Pour ce qui est des juges nous pourrions nous croire au XVIIe et XVIIIe siècles : les Robins ont toujours emmerdé le Pouvoir. » Encore fallait-il qu'il y en eût un, ce qui était alors le cas et ne l'est plus.  LFAR 

    images.pngLes propos de Hollande continuent d’agiter la caste. Non pour leur véracité, mais pour les dégâts que pourrait faire la vérité.

    On lui reproche de parler comme un enfant en utilisant la répétition du pronom personnel du sujet : « La France, elle est…», de tenir des propos incorrects sur l’islam, sur l’absence de cerveau des footballeurs et surtout sur les juges.

    Ces petits messieurs sont vexés d’être considérés pour ce qu’ils sont, les membres d’une « institution de lâcheté ». « C’est quand même ça, tous ces procureurs, tous ces hauts magistrats. On se planque, on joue les vertueux… On n’aime pas le politique ». Des lâches, arrogants, imbus d’eux-mêmes, des donneurs de leçons qui refusent la moindre observation critique.

    juge-magistrats-president-justice-368e8d3d7fdb2508e6cd82ae536db5a4453588c8.jpgLes deux plus hauts « enrobés » de France, Bertrand Louvel, le premier président de la Cour de cassation, et Jean-Claude Marin, procureur général, sont choqués et au nom de la confrérie sont venus se plaindre à l’Elysée du manque de respect du Président de la République envers eux.

    « Il n’est pas concevable de diffuser parmi les Français une vision aussi dégradante de leur justice », a déclaré Louvel.

    Messieurs les juges, vous êtes les premiers à diffuser une image dégradante de votre profession.

    Chaque fois que l’on se retrouve devant vous, on sort dégoûté de cette justice rendue en notre nom, alors qu’elle n’est rendue que selon votre bon plaisir et vos accointances idéologiques.

    Christiane-Taubira-alors-ministre-Justice-Bertrand-Louvel-premier-president-Cour-cassation-Jean-Claude-Marin-procureur-general-tribunal-.jpgQui n’a pas rêvé de vous poursuivre pour mise en danger de la vie d’autrui quand vous libérez des racailles plus vite que leurs ombres ; pour intelligence avec l’ennemi quand vous mettez sur le même plan les agresseurs musulmans et ceux qui osent se défendre comme Philippe Vardon, comme les deux Corses de Sisco ; pour complicité d’assassinat quand vous laissez dans la nature des terroristes « allahou akbarisés » comme Larossi Abballa, le tueur du couple de policiers de Magnanville (Yvelines) alors qu’il avait été condamné en 2013 pour liens avec une filière d’envoi de combattants dans les zones tribales pakistanaises ; pour atteinte à la liberté d’expression quand vous refusez d’entendre Eric Zemmour ; pour entrave à la justice quand vous acceptez de prendre en compte les plaintes les plus connes contre les patriotes ; pour outrage à la dignité humaine quand vous faîtes embastiller un homme de 82 ans qui a surpris deux cambrioleurs à son domicile et tiré en l’air pour les faire fuir ?

    Entre 1940 et 1944, vos prédécesseurs siégeaient dans les sections spéciales et appliquaient rétroactivement les lois.

    Aujourd’hui, vous hurlez que « l’autorité judiciaire doit s’émanciper enfin de la tutelle de l’exécutif ». On se demande bien pourquoi. Pour être sûrs de votre totale impunité ?

    N’importe quelle profession peut être poursuivie pour faute. Sauf vous.

    Nous avons pu le constater avec le juge Burgaud à peine réprimandé par votre caste pour ses errances qui ont brisé tant de vies. Avec les écoutes illégales que vous employez tout de même pour poursuivre ceux qui vous déplaisent. Avec l’établissement d’ « un mur des cons » où figuraient ceux qui ont dénoncé vos contradictions et vos outrances. Avec vos prises de position sur l’immigration.

    Vous ne jugez pas les Français, vous les détestez. Vous les rêvez en « espèce amoindrie, presque ridicule, une bête de troupeau, quelque chose de bonasse, de maladif et de médiocre » (Nietzsche).

    Vous êtes payés par nos impôts, vous nous appauvrissez en nous prélevant avec des amendes souvent iniques et injustifiés des sommes considérables (Renaud Camus en sait quelque chose) et vous voudriez, contrairement à tous les autres travailleurs, ne jamais rendre compte de rien ?

    « Indépendance des juges », clamez-vous comme des renards réclamant la liberté de la volaille devant un poulailler.

    Laxistes quand c’est l’Autre, sévères quand c’est le Même, vous voulez être intouchables.

    Vous vous sentez humiliés, dites-vous. Parce que ceux qui passent devant vous ne le sont pas quand vous leur faites vos cours de morale à deux balles.

    Hollande vient de formuler ce que la majorité des Français pensent des juges.

    Je conseille à tous ceux qui sont convoqués devant un tribunal parce qu’ils ont dévié du politiquement correct, de la bien-pensance islamophile, de venir avec le passage du livre de Hollande vous concernant et de vous le lire. 

    Merci à Yves BOULON de nous avoir signalé ce texte.

     

    Lire aussi dans Lafautearousseau ...

    livre-Hollande.jpg

    Riposte laïque : « En disant le réel, Hollande a appuyé sur le bouton, tout va sauter…»

  • Au triunal du grand matin ? Le jugement des juges !

     

    Le jugement des juges : c'est l'un des poèmes de Fresnes de Robert Brasillach. Poème d'esprit subversif, mais subversif  d'un certain ordre établi dont nous savons, plus que jamais, ce qu'il vaut.  

    C'est d'ailleurs pourquoi nous le publions ici, aujourd'hui. Ceux qui le souhaitent pourront le lire ou le relire.

    Nous reprochera-t-on de citer Brasillach, comme certains interdits voudraient nous en empêcher ? Sa politique durant la dernière guerre, Maurras, l'Action française, l'ont désapprouvée et combattue. Pendant l'occupation, Maurras qui l'avait rejeté de l'Action française, refusa de recevoir Brasillach qui eût voulu le revoir (« je n'ai rien à vous dire que vous ne sachiez déjà »). Nous n'avons ni leçon ni interdit à accepter sur ce point. Mais ni la politique, ni la condamnation de Brasillach, ne suppriment son talent littéraire, pas plus que son courage face à l'épreuve des prisons et face à la mort.  Lafautearousseau   •

     

    LE JUGEMENT DES JUGES 

    3001353793.png

    Ceux qu’on enferme dans le froid, sous les serrures solennelles,
    Ceux qu’on a de bure vêtus, ceux qui s’accrochent aux barreaux,
    Ceux qu’on jette la chaîne aux pieds dans les cachots sans soupiraux,
    Ceux qui partent les mains liées, refusés à l’aube nouvelle,
    Ceux qui tombent dans le matin, tout disloqués à leur poteau,
    Ceux qui lancent un dernier cri au moment de quitter leur peau,
    Ils seront quelque jour pourtant la Cour de Justice éternelle.

    Car avant même de juger le criminel et l’innocent,
    Ce sont les juges tout d’abord qu’il faudra bien que l’on rassemble.
    Qui sortiront de leurs tombeaux, du fond des siècles, tous ensemble,
    Sous leurs galons de militaire ou leur robe couleur de sang,
    Les colonels de nos falots, les procureurs dont le dos tremble.
    Les évêques qui, face au ciel, ont jugé ce que bon leur semble,
    Ils seront à leur tour aussi à la barre du jugement.

    Quand la trompette sonnera, ce sera le premier travail !
    Mauvais garçons, de cent mille ans vous n’aurez eu tant de besogne
    Pour tuer ou pour dérober vous n’aviez guère de vergogne,
    Mais vous avez bien aujourd’hui à soigner un autre bétail
    Regardez dans le petit jour, c’est le chien du berger qui grogne,
    Il mord leurs mollets solennels, et le fouet claque à votre poigne.
    Rassemblez les juges ici dans l’enceinte du grand foirail.

    Pour les juger, je vous le dis, nous aurons sans doute les saints.
    Mais les saints ne suffisent pas pour énoncer tant de sentences.
    Ceux qu’on a jugés les premiers, autrefois, pendant l’existence,
    Comme il est dit au Livre Vrai, ne seront jugés qu’à la fin.
    Ils jugeront d’abord le juge, ils pèseront les circonstances.
    A leur tour alors d’écouter l’attaque autant que la défense.
    Les juges vont enfin passer au tribunal du grand matin.

    Les tire-laine dans la nuit, les voleurs crachant leurs poumons,
    Les putains des brouillards anglais accostant les passants dans l’ombre,
    Les déserteurs qui passaient l’eau happés dans le canot qui sombre,
    Les laveurs de chèques truqués, les nègres saoûls dans leurs boxons,
    Les gamins marchands d’explosifs, les terroristes des jours sombres,
    Les tueurs des grandes cités serrés par les mouchards sans nombre,
    Avant d’être à nouveau jugés feront la grande Cassation.

    On les verra se rassembler, montant vers nous du fond des âges,
    Ceux qui, les raquettes aux pieds, parmi les neiges du Grand Nord
    Ont frappé au bord des placers leurs compagnons les chercheurs d’or,
    Ceux qui, dans la glace et le vent, au comptoir des saloons sauvages
    Ont bu dans les verres grossiers, l’alcool de grain des hommes forts,
    Et qui, négligents de la loi, confondant l’oubli et la mort,
    Ont rejeté les vieux espoirs de gagner les tièdes rivages.

    Ils s’assiéront auprès de ceux qui ont tiré dans les tranchées,
    Et puis qui ont dit non, un jour, fatigués des années d’horreur,
    Des soldats tués pour l’exemple et des décimés par erreur,
    Et près des durs, des militants de toutes les causes gâchées,
    De ceux qui tombent en hiver sous les balles des fusilleurs,
    De ceux qu’enferment aux cachots les polices des Empereurs,
    Et des jeunesses de partout par leurs chefs en fuite lâchées.

    Oui, tous, les soldats, les bandits, on leur fera bonne mesure
    Ne craignez pas, hommes de bien, ils seront jugés eux aussi.
    Mais c’est à eux, pour commencer, qu’il convient de parler ici,
    Car la parole est tout d’abord à ceux qui courent l’aventure,
    Et non à ceux qui pour juger se sont satisfaits d’être assis,
    De poser sur leur calme front leur toque noire ou leur képi,
    Et de payer d’un peu de sang leur carrière et leur nourriture.

    Les adversaires d’autrefois pour ce jour se sont accordés,
    Les justes traînés au bûcher sont auprès des mauvais enfants,
    Car les juges seront jugés par coupables et innocents.
    Au-delà des verrous tirés qui d’entre eux pourra aborder ?
    Qui verra ses lacets rendus, sa cravate et ses vêtements
    Socrate juge la cité, Jeanne signe le jugement,
    Et à la Cour siègent ce soir la Reine et Charlotte Corday.

    Ils passeront, ils répondront, aux tribunaux des derniers jours,
    Ceux-là qui avaient tant souci de garder leur hermine blanche,
    Et les cellules s’ouvriront, sans besoin de verrou ni clenche.
    À la cour du Suprême Appel, ce n’est pas les mêmes toujours,
    O frères des taules glacées, qui seront du côté du manche.
    Les pantins désarticulés attachés au poteau qui penche
    Se dresseront pour vous entendre, ô juges qui demeuriez sourds.

    Et ceux qui ont passé leurs nuits à remâcher leurs mauvais rêves,
    Les pâles joueurs de couteau, les héros morts pour leur combat,
    Les filles qui sur le trottoir glissent la drogue dans leur bas,
    Ceux-là qui pendant des années ont perdu leur sang et leur sève
    Par le juge et par le mouchard, et par Caïphe et par Judas,
    Ils verront le grand Condamné. roi des condamnés d’ici-bas,
    Ouvrir pour juges et jurés le temps de la grande relève.

    Robert Brasillach
    Poèmes de Fresnes
    13 janvier 1945

  • Pour démentir Mennucci ... La Fédération Royaliste Provençale écrit à J.Cl. Gaudin : Les violences de l'ultra-gauche, ça suffit !

    Jean-Claude Gaudin, Patrick Mennucci  -  La réunion d'Action française du 8 octobre 2016 rue Navarin ...

     

    Nous avons rendu compte à maintes reprises de cette sorte de collusion entre députés PS des Bouches-du-Rhône - dont un certain nombre mis en examen - et le quotidien régional La Provence, collusion en soutien des groupes ultra-violents de gauche radicale dans leurs agressions contre l'Action française à Marseille. De quoi s'agit-il ? En gros, d'interdire ses réunions, d'agresser physiquement ses militants, de saccager périodiquement son local, d'en obtenir la fermeture et, à terme, de faire prononcer l'interdiction pure et simple du mouvement.  

    Nous publions ci-dessous deux lettres qui résument bien cet état de faits.

    Primo, une lettre de Patrick Mennucci à Jean-Claude Gaudin, tout à fait dans l'esprit que nous avons décrit au paragraphe précédent.

    Secundo, un courrier adressé au même Jean-Claude Gaudin par la Fédération Royaliste Provençale. Celle-ci, implantée à Marseille et en Provence depuis des décennies, jouissant dans la région d'une notoriété et d'une estime reconnues , vise dans cette lettre à rétablir la vérité des faits et à garantir la pleine liberté d'expression des idées royalistes et d'Action française.

    Soutien et amitié aux organisations concernées et à leurs militants !  LFAR  •

     

    Lettre de Patrick Menucci

    à Jean-Claude Gaudin

     

    14570495_989752117801547_8412697879107306681_n - Copie.jpg 

     

    Monsieur Jean-Claude Gaudin

    Sénateur-Maire de Marseille,

    Hôtel de Ville de Marseille,

    Quai du Port

    13002 Marseille

     

    Marseille le 21 octobre 2016 

    Monsieur le Maire,

    Depuis deux ans, l'Action Française occupe un local, sis au 14 rue Navarin Marseille 6ème.

    Ce local accueille des réunions rassemblant jusqu'à 50 personnes. Ces manifestations causent un tapage permanent sur le trottoir où se déroulent une partie de la réunion et des débats.

    Par ailleurs, la nature de l'organisation Action Française qui développe des positions d'extrême droite très violentes conduit à des affrontements. des rixes, des blocages du quartier, des nuisances sonores et des graffitis protestataires. La mobilisation régulière des policiers autour de ce local est particulièrement choquante au regard des autres missions sécuritaires des forces de l'ordre.

    De plus, la transformation d'un local commercial en salle de réunion nécessite la production d'un dossier dit ERP (Etablissement Recevant du Public) qui n'a manifestement pas été déposé par l'Action Française. Il m'apparaît donc que la destination ce local ne correspond pas à son utilisation.

    Comme député de la circonscription je réclame que soient contrôlés :

    1/ Les clauses du bail qui autorisent à recevoir du public dans une salle de réunion.

    2/ Le respect des obligations d'accessibilité et de sécurité définis par le code de la construction et de l'habitation et, si tel est le cas, l'existence de l'attestation de conformité déposée en préfecture. 

    Je rappelle que la non conformité aux obligations ERP sont passibles d'une amende de 250 000 € pour les personnes morales qui n'en respectent pas les règles.

    Il me semble qu'en fonction de ce qui précède et après que les vérifications soient engagées, une fermeture administrative de ces locaux s'impose, et, c'est ce que je vous demande afin de préserver l'ordre public et la tranquillité de la rue Navarin. 

    Je vous prie d'agréer. Monsieur le Maire, l'expression de ma considération la plus distinguée.

    Patrick Mennucci

    14570495_989752117801547_8412697879107306681_n - Copie (2).jpg

    Permanence Parlementaire - 2 rue de la République - 13001 Marseille - 04.91.31.10.76 -  pmenucci@asemblée-nationale.fr

     

    La Fédération Royaliste Provençale écrit 

    au Maire de Marseille   

    Nouveau Document Microsoft Word (2).jpg  

     

     

    Marseille le 26 octobre 2016 

    Monsieur le Maire, 

     

    Nous avons eu connaissance - via les réseaux sociaux d'extrême-gauche - du courrier nous concernant que le député PS de la 4ème circonscription des Bouches-du-Rhône, Monsieur Patrick Mennucci, vous a adressé le 21 octobre.  

     

    La présentation des faits motivant la requête qu'il vous transmet nous paraît à ce point tendancieuse et chargée d'erreurs factuelles ou d'omissions que nous y voyons l'occasion et le motif de vous saisir nous-mêmes des graves problèmes que nous rencontrons depuis environ deux ans pour l'utilisation paisible du local de notre association, qui en est propriétaire, 14 rue Navarin. 

     

    Il s'agit de menaces physiques, y compris menaces de mort ; de dégradations et dommages récurrents d'ordre matériel ; d’agressions également récurrentes, interdiction de tenir réunion, interdiction de parole et même de propriété et d'existence « dans le quartier de La Plaine ».  

     

    M. Patrick Mennucci semble ignorer ces agissements et leur origine : des groupes d'ultragauche, ultra-radicaux, de cette même mouvance qui agresse en ce moment les Forces de l'ordre avec la plus extrême violence et motive leur colère et leurs manifestations ; des groupes armés, semi-clandestins, s'exprimant impunément via les réseaux sociaux. 

     

    En imputant aux soi-disant « violences de l'Action Française » la situation dont il vous saisit, M. Patrick Mennucci se fait ainsi sinon le complice au moins le soutien de ces groupes de casseurs de la gauche radicale ainsi que de leurs exactions. A l’instar, d’ailleurs, du quotidien La Provence. Or ce sont ces groupes qui sont à l’origine de l’agitation et des violences qui troublent à l’heure actuelle le quartier et le voisinage et requièrent l’intervention des forces de police. 

     

    Ainsi, encore tout récemment, le vendredi 7 octobre, des jeunes-gens qui quittaient notre siège ont été agressés et frappés en pleine rue. Trois d’entre eux ont dû être hospitalisés, l’un blessé au crâne, deux autres ayant eu le bras cassé ont dû subir une intervention chirurgicale les jours suivants. (Clinique Bouchard). Le vendredi 21 octobre, le jour même où M. Patrick Mennucci vous adressait son courrier, une nouvelle agression du siège de l’association s’est produite en fin de soirée rue Navarin, un jeune-homme a été blessé au front, a dû être conduit à l’hôpital, etc.   

     

    Le rappel de ces faits disqualifie selon nous M. Patrick Mennucci dans sa requête de contrôle et sanction contre l’Action Française Provence.

     

    Nous voudrions dire en conclusion qu’en tous temps l’Action Française a disposé paisiblement de locaux à Marseille (Place Castellane - rue Dieudé - rue Pavillon) qu’elle a organisé de multiples conférences ou grandes réunions comme en son temps à Montmajour et aux Baux de Provence qui se sont toujours déroulées sans incident. La situation dont vous saisit M. Patrick Mennucci – et qui, en effet, gêne le voisinage – n’est manifestement pas de notre fait. 

     

    Enfin, sur l’assimilation d’aspect juridique que fait M. Patrick Mennucci entre un « ERP » et le siège d’une association, nous émettons les plus grands doutes.

     

    Veuillez agréer. Monsieur le Maire, l'expression de notre considération très distinguée. 

    Jean GUGLIOTTA

         Jérémy PALMIERI

    Gérard POL 

    3286987953.jpg

    En Provence, jeunes et anciens lors du banquet du 19 mars 2016,

    dans la tradition des Camelots du Roi 

     

    A lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    L'Action Française Provence a réussi sa rentrée malgré les violences de la gauche radicale 

    Message du Prince Jean de France aux participants de la réunion de rentrée d'Action Française Provence

    Pour en finir avec les dérapages de « La Provence »

    Marseille :  Violences d'extrême-gauche : ça suffit !

    Marseille : Le rôle de « La Provence » dans le cadre des violences d'extrême-gauche

    La Fédération Royaliste Provençale et les dérapages de « La Provence » ...