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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Le sourire du dimanche....

    Un instituteur en classe de CP s'adresse à ses élèves :
    - Alors Laurent, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation ?

    - Je me suis amusé dans le bac à sable, Monsieur.
    - Très bien, Laurent. Si tu réussis à écrire au tableau le mot "sable" sans faute, je te mets 20 en orthographe.
    Laurent passe au tableau :
    - C'est très bien, Laurent, félicitations.
    L'instit se tourne vers un autre élève:
    - Et toi Paul, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation?
    - Je me suis amusé dans le bac à sable avec Laurent, Monsieur.
    - Très bien, Paul. Si tu réussis à écrire au tableau le mot "bac" sans faute, je te mets 20 en orthographe.
    Paul passe au tableau :
    - Excellent Paul !
    L'instituteur se retourne :
    - Et toi, Rachid, qu'est-ce que tu as fait à la récréation?
    - Alors, moi, missiou, jé volu m'amusi dans l'bac à sable, mais Paul et Louren y z'ont pas volu, m'ont dit di mi casser ou sinon y mé pitaient la gueule !
    - Mais, mon dieu ! C'est ignoble ! C'est la manifestation d'une discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause, et en plus, dans ma classe !
    - Ecoute, Rachid, si tu réussis à écrire au tableau "discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause", je te mets aussi un 20 !!!

  • Dans votre quotidien, cette semaine....

                         LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg                         Après La Syrie et la France.pdf que nous avions déjà mis en PDF, afin d'en faciliter la consultation, voici maintenant, à son tour en PDF, L'Iran et l'atome.pdf que nous a donné Champsaur, cette semaine. Il se propose, dans les jours qui viennent, de nous livrer une Histoire du pétrole, avec des documents parfois inédits, sur un sujet somme toute fort peu connu...

            De lundi à vendredi, nous donnerons le récit détaillé de notre rencontre - à sa demande - avec Georges Bourquart, journaliste au Dauphiné Libéré, lequel, suite à nos relations de la journée d'hommage à Maurras, a voulu parler à des royalistes, afin de se faire une idée par lui-même de ce que nous étions, de ce que nous proposions... La brièveté obligée de son article ne pouvait évidemment pas rendre compte de la quantité de choses que nous nous sommes dites, pendant ces presque deux heures de conversation franche et cordiale, à bâtons rompus, ni de certaines nuances et subtilités indispensables concernant certains points évoqués : ce que nous souhaitions pour la maison du Chemin de Paradis; le royalisme et l'extrême-droite, l'antisémitisme de Maurras; sa condamnation en 45...  

            Et puisqu'on reparle de cette journée du 1er septembre, vous disposerez très vite - mercredi ou jeudi... - d'un PDF réunissant la totalité de ce qui s'est passé ce jour-là : le récapitulatif des différents moments, la vidéo contenant l'intégralité des quatre interventions, le texte de Jean-François Mattéi, le reportage "en trente photos" (autant de photos que de "beautés de Martigues"...) et notre Album Une visite chez Charles Maurras...  

           Lundi, mardi et mercredi, on parlera d'Anne Hidalgo (qui préfère évoquer "1945" plutôt que la situation catastrophique dans laquelle le Sytème, qui échoue sur tous les plans, plonge notre pays...); de la sur-administration - fléau peut-être numéro un du Système... - en s'amusant de certaine loi parmi les 8.000 et les 400.000 textes réglementaires; de RESF, qui veut ouvrir le marché du travail aux Roms, alors que c'est par charrettes entières que les travailleurs français sont mis au chômage; des signes avant-coureurs de l'exaspération populaire face à ces Roms, justement, qui risque fort, très vite, de dégénérer...

           On continuera à Lire Jacques Bainvillevendredi.  

             On aura, évidemment, les Ephémérides, car c'est "tout cela, tous ceux-là, aussi, la France"de la construction du Pont Valentré au Prix Nobel de médecine pour Luc Montagnier et François Barré-Sinoussi, en passant par la deuxième loi de Lazare Carnot organisant le Génocide vendéen (voir notre Album Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerres de Géants"... 94 photos) et la conférence de Renan faite en Sorbonne, le 11 mars 1882, "Qu'est-ce qu'une Nation ?",  bien d'actualité aujourd'hui...  

            Notre rubrique Activités France entière (mise à jour quotidiennement...) a pris son rythme de croisière et propose en permanence une trentaine d'activités diverses : elle a été déplacée, vous l'avez remarqué, en haut à gauche de la page d'accueil, afin d'être plus immédiatement visible et consultable; elle est à votre disposition pour annoncer et répercuter tout ce qui se fait chez vous, "sans nostalgie ni folklore", pour un royalisme intelligent. Lafautearousseau se veut la maison commune de toutes les bonnes volontés : il vous suffit de nous informer, sitôt reçu, sitôt publié...  

              Et, bien sûr, on réagira "en temps réel" (comme on dit dans le jargon) à l'actualité immédiate, et on parlera de tout ce dont on ne sait pas encore que l'actualité nous amènera à évoquer...   

            Bonne lecture, et bonne semaine sur votre quotidien ! 

  • Après son ”Dôme” à Marseille : le ”programme” Hollande ? Recherche économies, désespérement....

     Au fond, l'un des principaux sujets de François Hollande, à Marseille, a été les banlieues, les Cités, les zones sensibles, les "jeunes"; et, cela, d'une drôle de façon : en substance, il n'y a qu'à supprimer ces appellations de "jeunes", de "zones sensibles" etc..., afin de ne pas "stigmatiser" : le mot est archi à la mode en ce moment, mais surtout archi-bateau : un vocabulaire pas étonnant, d'ailleurs, pour celui que Mélenchon qualifie de "capitaine de pédalo..." ! 

    hollande,ps

     Ses partisans n'ont pas hésité à dire et à écrire un "Je vous salue, Marseillle", de très mauvais goût, et il ne les a pas désavoués..; il a enchaîné : "mettre un terme au zonage, qui est une stigmatisation. Finies les ZRU, les ZUS, les ZRR !..." Ben, voyons !....

            Au fond, l'un des principaux sujets de François Hollande, à Marseille, a été les banlieues, les Cités, les zones sensibles, les "jeunes"; et, cela, d'une drôle de façon : en substance, il n'y a qu'à supprimer ces appellations de "jeunes", de "zones sensibles" etc..., afin de ne pas "stigmatiser" : le mot est archi à la mode en ce moment, mais surtout archi-bateau : un vocabulaire pas étonnant, d'ailleurs, pour celui que Mélenchon qualifie de "capitaine de pédalo..." !

             En cessant, donc, d'employer ces termes, les problèmes qu'ils véhiculent disparaîtront ! On s'est demandé si on avait bien entendu, mais, oui, on avait bien entendu.... C'est, exactement, la politique de l'autruche : nions les réalités, enfonçons boen la tête dans le sable, et, hop ! Plus de problèmes ! Elle est pas belle, la vie ? (du reste, et "on" a insisté lourdement là-dessus, une bonne part des acteurs de "Plus belle la vie" était présente au Dôme : qui se ressemble....).

             Oui, sauf que c'est tellement facile, tellement simple, que c'en devient simpliste; et tellement simpliste que c'en devient... simplet !

             Pour le reste, et par quelque bout qu'on le prenne, le programme Hollande, ce soir-là, à Marseille, offrait plein de choses, la plupart déjà anciennes, d'autres dont on sait très bien qu'elles sont irréalisables ou que ce serait une catastrophe de plus si on essayait de les réaliser.

            Mais ce qui est sûr et certain, sans aucune polémique, c'est que le mot "économies" n'y était pas. Or, l'un des tous premiers maux dont souffre la France, est structurel, car tenant à la nature même du Régime, du Système, et donc idéologique : c'est la sur-administration.

              Et, là, dans le camp de ceux qui ont eu la géniale (!) idée des 35 heures, c'est silence radio : on veut bien tout : augmenter les impôts (merci pour nous, les moutons tondus), on veut bien créer des postes supplémentaires, mais sans les créer, parce qu'on va re-déployer, mais tout en en créant quand même quelques uns parce qu'il ne faut pas qu'en redéployant on lèse tel ou tel Ministère (ici, les deux comprimés d'Alka seltzer s'imposent...).

            Bref, tout sauf la seule chose qu'il faut comemncer par faire : E. CO. NO. MI. SER....

            Qu'est-ce qu'on répondrait à quelqu'un qui, dans une maison toutes portes et toutes fenêtres grandes ouvertes, en plein hiver, quand il fait moins 10 ou moins 20 dehors, vous dirait : "vous avez froid ? Ce n'est pas grave, je sais ce qu'il faut faire, je vais mettre le thermostat à fond pour augmenter le chauffage..." ?

            Mais, surtout, ne dites pas qu'il fait froid, et que portes et fenêtres sont grandes ouvertes !.... 

            Avec un programme pareil, et avec un tel capitaine à la barre du pédalo, "Sian poulit", comme on dit à Marseille !....

  • Claude Guéant a ”choqué”. Mais, au fait, pourquoi y a-t-il 80.000 comoriens à Marseille ?....

           Dans tout ce que l'on compte de politiquement/historiquement/moralement et n'importequoiment correct, on s'étrangle, on frôle l'infarctus, voire, carrément, l'AVC. Pourquoi ? A cause de Claude Guéant. Et qu'est-ce qu'il a fait, ou dit, Claude Guéant ?

           Horreur et damnation : il a osé, oui, il l'a fait : il a "choqué". Choqué : le mot est écrit plusieurs fois, en différents caractères, dans différents propos de différentes personnes, mais toutes unanimes sur ce point : Claude Guéant a "choqué" !

           Bien. Mais, dira-t-on, pourquoi, et en quoi ?

           En ceci : il a dit "Il y a une immigration comorienne importante, qui est la cause de beaucoup de violences. Je ne peux pas la quantifier". 

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    Souriez, vous êtes à......

             En tout cas, pour ce qui est de la communauté comorienne à Marseille, La Provence, "choquée" évidemment, se charge de la quantifier : François Tonneau parle de "la communauté qui compte quelques 80.000 âmes, résidant pour l'essentiel dans les quartiers Nord".

             Et si, en réalité, le "choc" - puisque choc il y a, ou il doit y avoir... - si le choc, donc, était là : mais pourquoi donc, pour quelles raisons, 80.000 comoriens à Marseille ? Quelles justifications trouve-t-on à cette hallucinante proportion d'habitants d'un pays dans une ville d'un autre pays ?

            On sait que tous les chiffres offciels concernant l'immigration sont interdits de publication; on se demande même, d'ailleurs, vu l'état de pétaudiérisation très avancée dans lequel le Système a mis notre pauvre société, si quelqu'un sait, ou est capable de dire, combien il y a de personnes arrivées de fraîche date à Marseille, en particulier, et en France, en général...

            Mais, il n'y a pas si longtemps, la même Provence parlait de "200.000 musulmans vivant à Marseille". Faut-il y ajouter les Comoriens ?

            On nage en pleine folie, en plein surréalisme : là doit être le vrai choc, dans cette délocalisation insensée de population, et non dans ce qu'a dit un ministre d'un gouvernement qui, au moins en partie, ne doit même pas avoir lui-même une connaissance tout à fait exacte du phénomène migratoire dans son ampleur. Et dans sa démence....

    PS : Deuxième chose : toujours sur le même sujet, et sur la même page 3, Guéant a, d'après le même journaliste, aggravé son cas. Il a osé dire, ce que tout le monde sait, qu' "une partie des délinquants roumains qui sont interpellés sont des mineurs, le plus souvent exploités par des adultes". Horreur et indignation du même tonneau du même François Tonneau : "(les propos du ministre) vont à l'encontre des droits de l'enfant en France" ! Mais Tonneau ne dit pas en quoi. Il l'affirme, et puis c'est tout, cela lui suffit. 

    Et le droit des français en France ? Il y a pensé, François Tonneau, au droit des français à vivre dans des villes sûres et propres et "vivables", eux qui sont de plus en plus écrasés par des impôts de plus en plus lourds, et qui payent des Taxes d'Habitation et des Taxes Foncières qui sont chaque année en forte augmentation, jusqu'à devenir démentielles, alors qu'ils vivent dans des villes dont plusieurs quartiers sont franchement invivables ?

             Il y a pensé, François Tonneau ? A la lecture de l'article, on dirait que non...  

  • Deux ”français” arrêtés ? Français de plastique, seulement. Nuance.....

               Ils allaient probablement commettre un (ou des..) attentat(s). Horetfeux a mêle déclaré, en substance, qu'on avait évité le pire ! Petit retour en arrière, sur ce flash de  France info, du samedi 10 octobre: on nous martèle qu'il s'agit bien de deux "français" arrêtés: le journaliste l'a répété au moins dix fois en moins d'une minute....

                Le journaliste en question nous permettra de lui répondre que c'est peut-être ce qu'il pense, lui (qu'ils sont français), mais que nous sommes, nous, d'un avis radicalement contraire.....

              En effet, et ne vous en déplaise, monsieur le journaliste de France info, ils ne sont pas "français", ces deux voyous, délinquants de coeur, apprentis terroristes, et assassin par conviction (probablement, les pires). C'est-à-dire, entendons-nous bien, qu'ils ne sont pas "français" au fond, vraiment et véritablement français, dans leur coeur et dans leur tête. Ils ne sont français légaux que parce que le Système idéologique qui nous gouverne leur a follement glissé dans la poche un petit rectangle de plastique avec, écrit dessus: nationalité française. Mais qu'est-ce que ça vaut, un petit rectangle de plastique ? Ce n'est pas ça, être français. Être français, c'est se savoir -et s'accepter- héritier d'une longue Histoire, d'une Culture et de Traditions particulières et spécifiques. C'est recevoir pleinement cet Héritage et l'assumer, et accepter de le prolonger, en continuant l'aventure.

               Rien de tel avec les apprentis-assassins dont France info nous rabâche à l'envi qu'ils sont "français". Ils ne le sont pas, tout simplement parce qu'ils ne sont pas venus chez nous -sans qu'on leur demande de venir....- pour se fondre dans notre creuset, et devenir des nôtres; mais pour nous fondredans leur creuset, et faire de nous de nouveaux "eux". Et nous imposer leur Islam, leur charia, leur polygamie, leur excision, leur burqa, on en passe et des meilleures !.... Merci bien, on n'est pas demandeurs !

                Qui ça, nous ? Mais les français, voyons ! Les français de souche, pas les français de plastique...

                Et s'il vient à l'idée de quelqu'un de nous objecter que, malheureusement pour ce que nous affirmons, il ya des français de souche qui sont "pour" ces "français de plastique", et pour leur présence ici, nous répondrons que c'est, en effet, vrai. Mais que, pour en avoir le coeur net, eh bien, justement, la meilleure solution est d'organiser un référendum, et de demander son avis au Peuple souverain.

                La CGT et plusieurs organisations de gauche ne viennent-elle pas d'organiser ce qu'elles présentent comme une consultation populaire sur l'avenir de la Poste ? Et de présenter ses résultats comme émanant de la volonté populaire ? Eh, bien, reprenons la balle au bond, et demandons donc que l'on organise (si la CGT veut s'en charger !...) une consultation directe du peuple français sur ce sujet si sensible de la violence et de l'immigration: que le peuple français soit enfin autorisé à donner son avis !

                Est-il d'accord pour la présence -et en aussi grand nombre- des immigrés en France ?

                Est-il d'accord pour ces naturalisations à la tonne qu'on a follement distribuées depuis trente cinq ans ?

                Est-il d'accord pour qu'on fabrique automatiquement -par le jeu de mécanismes administratifs inventés par on ne sait quels fonctionnaires- des pseudo français qui, bien souvent du reste, n'ont rien demandé et n'ont que mépris ou, au mieux, désintérêt, pour notre Patrie ?

                Alors, chiche, qu'on la pose donc, la question, au Peuple souverain..... Et, là, on en aura le coeur net...

  • Olivier Besancenot, ou le syndrome de l’écrevisse…

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               Lors d’une récente réunion de lancement de son NPA , Olivier Besancenot, n’a pas été gêné un seul instant d’exprimer des propos démentis par la chute des révolutions et des régimes directement issus d’elles : en Russie, ex URSS, et dans l’ex empire est-européen du « génial petit père des peuples » ; en Chine, où de toute évidence le marxisme-léninisme, même accomodé  à l’indigeste sauce mao , est parfaitement soluble dans le nationalisme chinois hérité de la Chine éternelle et (horresco referens) de la politique traditionnelle héritée des empereurs ;  et, demain, dans les derniers vestiges confettis d’un empire révolutionnaire appartenant  de fait au passé , comme le Viet Nam et Cuba, où seul l’épuisement des populations et la militarisation policière des régimes donne un répit et un semblant de force à des systèmes dont, en réalité, la seule et dernière force est la force d’inertie…..

     
              Besancenot , donc, n’a pas été gêné par cette simple observation du monde et du réel. Soit il n’a pas la radio ni la télé, et il ne lit aucun journaux ; soit il vit dans sa bulle, la partageant avec ses copains bulles ; soit, et c’est le plus probable, il est le dernier avatar de l’idéologue type, du révolutionnaire qui ne peut pas, ne sait pas et ne veut donc pas changer : car, comme tout bon révolutionnaire qui se respecte, Besancenot préfère ses mythes au réel. Et, comme le disaient les grand ancêtres, périsse plutôt vingt fois la France que la république une et indivisible !.....

              Ce long développement pour en arriver, enfin, à ce qui a motivé cette note, à savoir la phrase du « postier de Neuilly » : « Ce qu’il nous faut, c’est une bonne vieille révolution !» (1). Texto ! Sclérose intellectuelle, quand tu nous tiens ! Congélation des cerveaux, que de ravages tu causes ! Ainsi donc, à l’heure où plus personne n’en veut, de la révolution ; à l’heure où la Russie a canonisé le Tsar assassiné ; à l’heure où la Chine fait une cérémonie d’ouverture des Jeux sans parler une seule fois de la révolution (il faut le faire, tout de même !…) mais au contraire en exaltant les trois mille ans d’histoire de la Chine, en appuyant lourdement sur le confucianisme, ce qui est bien la seconde , et cette fois définitive, mort de Mao ; eh bien ici, chez nous, ce pauvre Besancenot, se croyant peut-être moderne, répète inlassablement qu’il nous faut « une bonne vieille révolution ». C’est consternant : on dirait, soit un vieux disque rayé (qu’est-ce qu’on fait des disques rayés ?.....), soit une illustration désolante du psittacisme dans ce qu’il a de plus déconcertant.

              Le titre du futur parti de Besancenot n’est toujours pas choisi. En tout cas, on peut déjà lui proposer son logo, son emblème, sa mascotte : l’écrevisse. Vous savez, celle qui se déplace en reculant….. On dit bien, en effet, familièrement « aller comme les écrevisses », pour parler d’affaires qui  n’avancent pas mais reculent, comme elles. Le livre de chevet d’Olivier est-il « A reculons, comme une écrevisse » de Umberto Eco ?.....

    (1)    Jean-Christophe Cambadélis  a eu un mot assez cruel, mais au moins lucide et très juste : « Le gauchisme compassionnel de Besancenot est un cri, mais ce n’est pas une alternative." 

  • Patrice de Plunkett : « Les politiques doivent réapprendre à parler d'avenir »...

     

    Mais comment le pourraient-ils ? Telle est la question pertinente à laquelle Patrice de Plunkett a tenté de répondre dans son blog. Et nous sommes d'accord avec lui, d'accord avec son analyse.  Le Système ne met pas les politiques en position de parler d'avenir. Il est impossible de les y encourager, sauf clause de style. Sauf oxymore. Plunkett conclut comme nous que le Politique est à ressusciter, ou mieux : à réinventer. C'est à quoi Pierre Boutang s'était essayé dans son Reprendre le Pouvoir [1977] ...   LFAR

     

    hqdefault.jpgDécomposition du PS,  aphasie devant les problèmes de l'Hexagone, dislocation rampante de "l'UE", montée des "populismes" : l'actualité donne la migraine à la classe politique. C'est l'échec de la recette post-démocratique installée depuis dix ans ("avancées sociétales" + "gouvernance" euro-libérale). Les officiels donnent des signes d'inquiétude. Cette semaine c'était à propos de la présidentielle autrichienne qui pourrait être remportée par le FPÖ...

    Nos éditorialistes tournent donc tous autour de la même idée (encore reprise ce matin [1]) : "Les partis de gouvernement [2], de droite comme sociaux-démocrates [3], doivent réapprendre à parler d'avenir à leurs concitoyens." Cette phrase est lourde de sens. S'il faut "réapprendre" à parler d'avenir, c'est qu'on en avait perdu l'habitude. Depuis quand, et pourquoi ? et qu'est-ce que "parler d'avenir" ?

    Quand de Gaulle parlait d'avenir, il parlait du bien commun dans la durée (c'était l'objet du politique). Depuis les années 1990 et le rachat du politique par le financier, il n'est question que d'instant présent et d'intérêts particuliers. Ce marketing du laisser-faire est une véritable désertion du politique : un abandon de poste.

    Comment la classe post-politique pourrait-elle parler d'avenir ? Les embryons de programme de MM. Juppé, Sarkozy, Fillon et Le Maire sont pure et simple myopie libérale : aggravation de ce qui détruit la société depuis vingt-cinq ans. MM. Hollande et Valls sont crispés sur leur échec. Quant à M. Macron, il est "dans le story-telling" : le "récit" publicitaire à propos de soi-même. Dans l'idiome pub, "récit"  veut dire auto-promotion. Il s'agit de posture individuelle dans l'instant, non de projet collectif pour l'avenir. La classe post-politique n'a pas cette hauteur de vue ! Elle est donc incapable d'affronter les conséquences de ses vingt-cinq ans de débâcle...

    L'une de ces conséquences est la fameuse "montée-des-populismes" : la classe post-politique n'est pas le remède à cela, puisqu'elle en est la cause. Les éditorialistes n'en sont pas innocents non plus. A force de nier toutes les réalités, ils en ont fait cadeau aux populistes [4] qu'ils appellent à combattre aujourd'hui ; une fois de plus, c'est Ubu Roi.

    Oui, le politique doit nous "parler d'avenir". Mais il lui faut d'abord exister. Ou plus exactement : il lui faut ressusciter. Encore plus exactement : on doit le réinventer, et l'économique aussi ! C'est ce que nous disait le pape en juillet 2015 dans son discours de Santa-Cruz... 

    _______________

    [1] Johan Hufnagel (éditorial de Libération).

    [2] C'est oublier que le FPÖ est devenu lui-même un "parti de gouvernement" depuis 1999.

    [3] Convergence centre-droit/centre-gauche... Elle accrédite en apparence le vieux slogan lepéniste "UMPS". En réalité, elle correspond à la situation créée par l'abdication du politique (de gauche et de droite) au profit du financier : d'où ce libéralisme transversal... et partagé par les trois quarts des lepénistes.

    [4]  Que les populistes aient  "ramassé" ces réalités dans le "caniveau", comme ils disent, ne veut pas dire qu'ils soient capables de gouverner. Ni qu'ils rompraient avec un libéralisme auquel adhèrent nombre d'entre eux...

    Patrice de Plunkett : le blog

  • Noël tragique

     

    par Hilaire de Crémiers

     

    2771589182.jpgBerlin est en deuil. Un lourd camion pris en main par un djihadiste a semé la mort le 19 décembre dernier dans le plus fameux marché de Noël de la ville. Un attentat islamiste qui est en lui-même un signe évident, signé Daech, revendiqué comme tel.

    Oui, l’acte est conçu, voulu en lui-même. Comme en France, à Nice, le jour du 14 juillet. Comme toutes les fois précédentes. Les circonlocutions ne servent plus à rien. L’ennemi est connu. Il fait la guerre comme il l’a toujours faite, y compris et surtout sur ses propres territoires – les pauvres gens, du Proche-Orient au Maghreb et au Sahel, en savent quelque chose – par la terreur, l’arme des faibles qui jouent aux forts.

    L’ambassadeur de Russie à Ankara, Andreï Karlov, le même jour a été assassiné à bout portant au cri de « Allahou Akbar » et « N’oubliez pas Alep ». L’assassinat est pareillement signé. En dépit des discours larmoyants et lénifiants des Occidentaux, la Russie menait la guerre où il fallait pour liquider une poche terroriste et assainir le nord-ouest de la Syrie. Toutes les composantes de l’islamisme terroriste représentent le même danger, d’Al Qaida, al-Nosra, Fatah al-Cham et autres à Daech.

    Elles pratiquent, toutes, la même stratégie de l’enfermement des civils dans leurs bastions. Partout les mêmes tactiques en Asie comme en Afrique : l’utilisation des gosses comme bombes vivantes, des femmes comme esclaves sexuelles ou comme instruments guerriers et des populations tantôt comme boucliers, tantôt comme champs de batailles. Il en est et sera à Mossoul, bientôt à Idlib, comme à Alep. Refuser de voir la réalité comme le font bureaucrates et politiciens de nos prétendues diplomaties et gouvernances européennes, c’est être complice actif de ces « salopards ».

    D’où les réactions. Comment ne pas être lassé, exaspéré par les commentaires indéfinis de nos commentateurs patentés aux ordres de la gouvernance officielle de la mondialisation heureuse ? Ils auront beau dire ce qu’ils veulent de Poutine, les Russes préfèreront pour leur part Poutine qui, du moins, est un chef d’État qui sait ce qu’il doit et veut faire.

    Et la même chose pour Trump : l’homme a su se choisir une équipe de fortes personnalités, hommes d’entreprise, de combat, de conviction, généraux éprouvés au feu de la guerre ; l’Amérique se sent à nouveau elle-même, grande et déterminée, comme le proclamait le slogan de campagne du nouveau président.

    Les peuples européens frémissent : ils en ont assez des gnomes qui leur dictent leur loi. Qu’est-ce que Juncker et sa commission de grands benêts qui n’ont de ruse que pour leur carrière ? Loin de faire l’Europe, ces bureaucrates et technocrates l’ont détruite, en la saccageant à l’intérieur et en l’ouvrant, désarmée, à tous les vents financiers, à toutes les compétitions sauvages et à tous les flux migratoires.

    L’Angleterre s’en est retirée pour se sauver. La Pologne qui renoue avec son passé et qui s’est publiquement et en foule vouée, le 19 décembre, au Christ-Roi (personne n’en a parlé !), ne se laissera pas anéantir. La Hongrie a décidé d’être elle-même.

    Il s’en est fallu de peu que l’Autriche reprenne son destin en main. Demain, les Pays-Bas ? Et les pays du Sud minés d’absurde démocratie qui littéralement les tue ? Et, peut-être, l’Allemagne ?

    Et la France ? Elle qui a subi déjà tant d’attentats ? Et qui est visée plus particulièrement ? Alors que tout la fragilise : une économie en berne, une agriculture sinistrée, une industrie en grave déclin, des finances publiques grevées de dettes insupportables, un système de santé au bord de la faillite, une immigration incontrôlable, des territoires hors la loi. Eh bien, ses politiciens en sont à jouer comme des gosses à celui qui aura la place, à ceux qui auront les places. Spectacle ridicule dont les honnêtes gens ne peuvent être que dégoûtés.

    Que nous réserve 2017 ? Ceux qui ont le sens de la patrie, savent bien qu’au-delà des jeux stériles et des oppositions vaines, la France n’a d’avenir comme toute nation qui se respecte, que si elle retrouve son esprit. Un Français sait quel il est ? Noël ne peut que le lui rappeler. 

    Politique magazine

  • Le prix des Impertinents contre l’hostilité médiatique : Entretien avec Jean Sévillia

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    La proclamation du prix des Impertinents 2014 aura lieu le 3 novembre.

     

     

    Vous êtes à l’origine du prix des Impertinents. Depuis combien de temps ce prix existe-t-il, et pourquoi l’avoir créé ?

    Nous avons créé le prix des Impertinents avec quelques amis, en 2009, avec une idée simple. Si la pensée dominante bénéficie du soutien du système médiatique, nombreux sont les francs-tireurs intellectuels qui sont édités sans difficulté – car il existe plus de liberté d’esprit qu’on le croit dans le monde de l’édition – mais dont les livres ont du mal à percer en raison de l’hostilité qu’ils rencontrent sur le plan médiatique.

    Le prix des Impertinents se donne, par conséquent, pour but de soutenir des auteurs et des livres dont la pensée s’inscrit à contre-courant du politiquement correct et des tabous médiatiques. En 2009, notre premier prix a couronné Voyage au bout de la révolution, de Pékin à Sochaux (Fayard), les souvenirs de Claire Brière-Blanchet, une maoïste repentie. En 2010, nous avons donné le prix à Michèle Tribalat, la courageuse démographe, pour Les Yeux grand fermés (Denoël), un essai sur l’immigration. En 2011, un an avant qu’il ne soit la cible d’une campagne de diabolisation, à l’écrivain Richard Millet pour Fatigue du sens (Éditions Pierre-Guillaume de Roux). En 2012 à Denis Tillinac, qu’on ne présente pas, pour Considérations inactuelles (Plon). Et en 2013 à Shmuel Trigano, un universitaire auteur d’un livre qui a été une vraie découverte : La Nouvelle Idéologie dominante (Éditions Hermann).

     

    Qu’est-ce qui différencie ce prix des autres prix littéraires décernés chaque année ?

    Le prix des Impertinents est parfaitement indépendant, et échappe à toutes les combines et arrière-pensées commerciales qui caractérisent trop de prix. Il a surtout valeur de symbole, puisqu’il n’est pas doté. Comment évaluerait-on, d’ailleurs, la liberté d’esprit ? Notre seule aide matérielle vient du Montparnasse 1900, une sympathique brasserie parisienne qui accueille nos débats et nous reçoit chaque année avec le lauréat pour la remise du prix. Le prix des Impertinents est surtout le reflet de la qualité de son jury, que j’ai l’honneur de présider, et qui réunit des écrivains, des essayistes et des journalistes qui ont en commun de ne pas aimer les idées toutes faites, mais qui représentent autant de personnalités diverses, dont les avis peuvent diverger sur de nombreux sujets : Christian Authier, Jean-Marc Bastière, Bruno de Cessole, Jean Clair, Gabrielle Cluzel, Louis Daufresne, Chantal Delsol, Paul-François Paoli, Rémi Soulié, François Taillandier et Éric Zemmour.

     

    Quels sont les essais que vous avez retenus cette année et sur quels critères de sélection fondez-vous votre choix ?

    Chacun des membres du jury peut proposer un ou plusieurs titres qu’il a repérés. Nos avis se recoupent souvent, mais pas toujours. Nous visons à la fois le fond et la forme, en privilégiant quelque peu le fond toutefois, puisque nous récompensons des essais et non des romans. Nous venons d’arrêter notre première sélection. Je ne peux pas la commenter, car je laisserais deviner mes préférences. Je me contenterai donc de vous en donner la liste par ordre alphabétique d’auteur : Nicolas Baverez, Lettres béninoises (Albin Michel) ; François-Xavier Bellamy, Les Déshérités (Plon) ; Christophe Guilluy, La France périphérique (Flammarion) ; Pierre de La Coste, Apocalypse du progrès (Perspectives libres) ; Gabriel Matzneff, Les Nouveaux Émiles de Gab la Rafale (Léo Scheer) ; Denis Moreau, Pour la vie ? Court traité du mariage et des séparations (Seuil) ; Philippe Nemo, Ésthétique de la liberté (PUF). Le 20 octobre, nous arrêterons une liste de trois titres. Et le 3 novembre, ce sera le vote final et la proclamation du prix.  u

     

     

    Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel.

    Source : Boulevard Voltaire

     

  • Nous rebâtirons Notre-Dame ? C’est plutôt elle qui nous rebâtira !

    Par Gabrielle Cluzel 

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    Abandon. Il en va de l’incendie de Notre-Dame Paris comme du décès d’une grand-mère. Comme on l’a toujours connue, vaillante et debout, on a fini par la croire immortelle.

    On s’occupait à peine d’elle, la visitant distraitement de loin en loin. Et puis, soudain, on apprend, coup de tonnerre dans le ciel clair, qu’elle est en train de disparaître. On plaque tout pour aller la veiller. Comme des centaines de catholiques, je suis allée à Notre-Dame dans la nuit. Tout autour des cordons de policiers, des catholiques chantaient, récitaient le chapelet, debout ou agenouillés, les yeux rivés sur les points encore embrasés, ils ne se connaissaient pas mais ils partageaient leur écran de téléphone pour retrouver des couplets oubliés de vieux cantiques, ne s’interrompant que pour applaudir au passage des camions de pompiers. Une de ces soirées où le temps est suspendu et dont on se souvient trente ans après.

    Inquiétude. La rumeur a couru toute la soirée : avait-on eu le temps de mettre à l’abri la couronne d’épines ? Des informations contradictoires circulent. L’oncle du voisin de la belle-sœur de la cousine pense que oui, non, ne sait pas, ne sait plus.

    Cet incendie en début de Semaine sainte prend une dimension eschatologique. Si, en sus, cette relique de la Passion rapportée par Saint Louis et offerte à la vénération à cette période de l’année venait à disparaître, c’est toute notre génération qui semblerait maudite. On apprend, enfin, avec soulagement que le père Fournier, aumônier des pompiers de Paris, est allé sous bonne escorte sortir la couronne d’épines… et surtout le Saint-Sacrement. L’écrin est consumé mais le bijou est sauvé. Même le coq-reliquaire qui surplombait la flèche aurait été retrouvé.

    Interrogation. Pour tous les médias, l’origine ne fait pas un pli : accidentelle. Même le Parquet semble connaître la conclusion avant même le début de l’enquête évoquant un « incendie involontaire ». Sans doute a-t-il en sa possession des éléments que nous n’avons pas pour être aussi catégorique. Qu’il en fasse, dans ce cas, état pour rassurer les catholiques qui, eu égard aux multiples églises récemment vandalisées, sont légitimement en droit de se poser des questions.

    Honte. Pour notre temps, qui se croit si malin, si tatillon avec le sacro-saint principe de précaution, qui impose au moindre pavillon son détecteur de fumée, au plus petit hôtel ses extincteurs et son système de sécurité dûment contrôlés… et a été incapable de conserver, comme un enfant trop gâté qui ne prend pas garde à ses jouets, ce que huit siècles et demi lui avaient confié. Si la cause est bien accidentelle, il y a de lourdes responsabilités. Partagées, notamment, par des gouvernants bien négligents pour notre patrimoine. Et il se dit que ce sont les inénarrables embouteillages dans Paris qui auraient retardé l’intervention des pompiers…

    Évidence. On se grattait la tête, on dissertait à l’infini pour savoir comment recoller les morceaux d’un pays disloqué, pour faire France, comme on dit pour faire chic, à quelle « poudre de perlimpinpin » Emmanuel Macron allait accommoder les Français pour les rabibocher… C’est cette identité méprisée de fille aînée de l’Église, soudain ranimée, qui l’a doublé par la droite pour enfin rassembler. Qu’est-ce qu’être français ? C’est être meurtri par ce spectacle de Notre-Dame embrasée.

    Colère. Contre les remugles ricanants remontant des bas fonds des réseau sociaux. L’UNEF, notamment, rendra-t-elle des comptes ?

    Espérance. Les dons – modestes ou spectaculaires – affluent. On se sent pousser une âme de bâtisseur de cathédrale. C’est la matrice de notre culture, cette mission divine confiée « pour toujours » à l’Occident qu’évoquait, il y a quelques jours, sur Boulevard Voltaire, le cardinal Sarah. Lorsque les portes ont été poussées ce mardi matin, au loin, derrière les décombres, est apparue la Croix. Lumineuse, brillante, intacte. Après la Passion, la résurrection. Nous rebâtirons Notre-Dame… ou peut-être est-ce elle qui nous rebâtira. L’ami qui m’a soufflé ces mots se reconnaîtra.  

    Ecrivain, journaliste
  • Promotion bienvenue de l'apprentissage : ”On a dit à Martin...”, l'excellente pub de la Caisse d'Epargne

    La Caisse d'Epargne passe en ce moment une série d'excellentes pubs, dont une traite de l'apprentissage, à partir du cas d'un jeune, nommé ici Martin, qui veut devenir mécanicien. Tous (parents, amis, copine...) se moquent de lui et tentent de l'en dissuader, alors que, pour Martin, c'est une passion :

    Le jeune Martin veut devenir mécanicien. Mais on lui a dit plein de choses : tu plaisantes ou quoi ? qu'est-ce que tu vas devenir si tu deviens mécanicien ? Avec les notes que tu as, tu pourrais être médecin. La banque lui a répondu qu'il n'y a pas d'études supérieures et d'études inférieures.

    Rien que pour cette pub, on devrait décorer son inventeur, son concepteur : là, en effet, dans le mépris du travail manuel, et donc, son corollaire, dans le sous-développement de l'apprentissage, se trouve l'une des causes profondes de notre chômage de masse.

    Pas la seule, certes, mais l'une des principales : pour s'en convaincre, il suffit de comparer Franc et Allemagne; en Alllemagne, à la louche, il y a très largement plus du double d'apprenti qu'en France, et, toujours à la louche, le chômage en général, et celui des jeunes en particulier, est très largement inférieur.

    Pourquoi en dire des tonnes, quand une simple comparaison, d'un seul coup d'oeil, suffit ?

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    En France, le Système préfère garder les ados le plus longtemps possible à l'école puis à l'Université, d'où un nombre effarant d'élèves sortent, après de nombreuses années perdues - mais très chères pour la collectivité... - sans aucun diplôme, aucune qualification : direction, Pôle Emploi !

    Aujourd'hui, il faut le dire, l'un des cancers qui ronge notre Société s'appelle Ministère de la des-Education nationale, avec son budget qui ne cesse de monter, année après année, décennie après décennie. Un budget dont le service rendu est inversement proportionnel à ce qu'il nous coûte en impôts !

    Un mot aussi pour les parents, et la pub en parle très bien : parents, cessez de vouloir imposer votre vision à vos enfants. S'ils veulent être mécanicien, paysagiste, pâtissier... laissez-les vivre leur passion ! Mieux vaut un jeune avec un vrai métier dans les mains qu'un pseudo-élève, affalé au fond d'une classe ou d'un amphi, où il ne retire aucun bénéfice, qui perd son temps et, peu à peu, l'estime de lui-même, pour se retrouver au final sans rien...

    Il faut le dire sans cesse : IL N'Y A PAS D'ETUDES SUPERIEURES ET D'ETUDES INFERIEURES ! Il y a seulement le bonheur individuel des personnes, qu'elles trouveront grâce à l'épanouissement que leur apportera la possibilité de concrétiser leurs dons, leurs aptitudes, leurs goûts, dans le domaine qu'elles ont choisi...

    En tout cas, un grand bravo au concepteur de cette Pub de la Caisse d'Epargne, et tous nos voeux pour les ados qui vont se lancer joyeusement et courageusement dans le plus beau des métiers, celui qui leur correspond, qu'ils aiment et qu'ils ont chois...

    Aujourd'hui, l'apprentissage semble commencer - enfin ! à être mieux considéré : hausse de 7,7% dans l'ensemble, et nombre global d'apprentis atteignant les 437.000 : espérons pour eux, pour leurs familles et ceux qui les aiment, pour la France et son économie, que cette tendance va s'amplifier et devenir irréversible : c'est très certainement l'une des pistes majeures de l'amélioration de notre situation générale qui se joue là...

  • La faiblesse de l’État, meilleure alliée du lobby pro-migrants, par Marie d'Armagnac.

    Le 23 novembre dernier, l’évacuation des 500 Afghans de la place de la République, à Paris, avait fait couler beaucoup d’encre. Au terme d’une tragi-comédie médiatique, et après le désaveu de la par le président de la République et le ministre de l’Intérieur, ces immigrés clandestins soutenus et instrumentalisés par de nombreuses associations comme Utopia56 ou Médecins du monde, mais aussi par des élus d’extrême gauche, ont obtenu ce qu’ils voulaient :

    10.jpgun logement, promis par , ministre de la Citoyenneté, et Emmanuelle Wargon, ministre du Logement. La farce tragique, bien rodée, s’est déroulée sans accroc : les associations de soutien aux migrants ont obtenu gain de cause et les pouvoirs publics ont cédé face à un groupe de pression minoritaire mais très actif, qui compte de puissants appuis dans les médias.

    Qu’est-ce que cela nous dit du mode de fonctionnement de l’État, et de ce gouvernement en particulier ?

    Cette séquence est révélatrice de la faiblesse et de la fébrilité de l’État face à toute force contestatrice, dès lors qu’elle est violente. Elle est également emblématique du prisme idéologique imposé par des lobbys pro-migrants, relayé par les médias, qui fausse complètement la réalité de l’immigration en France. En clair, ils ont peu à peu imposé une grille de lecture des faits qui n’a que peu à voir avec la réalité… et même dicté l’agenda politique du gouvernement en matière d’immigration.

    Prenons, par exemple, le cas des mineurs isolés, évalués à 40.000 en France, pour un coût de prise en charge de deux milliards d’euros. En janvier 2019, le gouvernement prend la décision de créer un fichier biométrique d’appui à l’évaluation de la minorité des étrangers, dont la gestion serait alors assurée par les préfectures, donc le ministère de l’Intérieur, en amont de l’entretien de demande d’aide sociale à l’enfance (ASE) auprès de l’administration départementale. L’objectif est de rationaliser, un peu, cet accès à l’ASE gérée par les départements : ce sont, en effet, les structures locales qui, jusqu’alors, évaluaient la minorité des étrangers demandant l’ASE, minorité évaluée le plus souvent par un simple entretien. Clairement, il s’agissait de combattre la fraude, mais aussi la gestion politique de ce volet de la politique migratoire. En effet, selon un rapport public de 2018 cité par Le Monde, le taux de reconnaissance de la minorité varie de 9 à 100 % d’un territoire à l’autre… Ce fichier visait donc à empêcher un clandestin de se présenter dans plusieurs départements jusqu’à ce que l’évaluation lui soit favorable, car s’il n’est pas déclaré mineur, il peut alors faire l’objet d’une mesure d’éloignement du territoire.

    Branle-bas de combat des associations : une vingtaine d’entre elles, dont l’UNICEF, Médecins sans frontières, le Secours catholique, la CIMADE, le Syndicat de la magistrature, auxquelles se joint le Défenseur des droits Jacques Toubon, saisissent le Conseil d’État pour faire annuler ce décret de création du fichier biométrique, tandis qu’elles portent également ce texte devant le Conseil constitutionnel. Ce dernier validera finalement la création de ce fichier biométrique.

    Que croyez-vous qu’il arriva ? Quinze départements, dont la Seine-Saint-Denis, ont déclaré alors qu’ils ne mettraient pas en œuvre ce nouveau système.

    Un des très nombreux exemples du lobbying pro-migrant exercé par les associations, qui parvient, dans les faits, à détourner ou annihiler les timides tentatives de l’exécutif de réprimer l’immigration clandestine. Mais aussi l’exemple d’un État pléthorique et mal organisé qui gouverne selon les humeurs d’une petite partie de l’opinion publique, cède devant les groupes de pression et renonce ainsi, chaque jour un peu plus, à l’exercice de son pouvoir régalien.

    Il y a quelques jours, un « mineur isolé » a été arrêté à Nîmes, après plusieurs agressions et cambriolages sur des personnes âgées. Affirmant aux policiers être âgé de 15 ans, sous la foi de faux papiers d’identité, il avait été relâché. Ce n’est que l’obstination d’un juge pour enfants du tribunal de Nîmes qui a permis de découvrir que le délinquant, multirécidiviste, était âgé de 22 ans. Comment ? Grâce à un examen osseux qui n’avait jamais été réalisé auparavant.

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    André Bercoff
     
    "#BacNord. Enfin un film français rendu au sol, allant à l’os, avec la réalité rugueuse à étreindre. Loin du misérabilisme racoleur des uns et du nombrilisme angélique des autres. Un miroir qui fait réfléchir. Il n’était que temps."

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    1. On l'a souvent dit ici : comparer "la grande clarté du Moyen-Âge" et l'horreur des situations produites par une certaine religion est aberrant. D'accord avec Gabrielle Cluzel :

    Gabrielle Cluzel
    "Le jour où les dealers et les consommateurs de crack se mettront à bâtir des cathédrales qu’il nous fasse signe. Un jour Kaboul, le lendemain le XVIIIe, la comparaison permanente avec le Moyen Âge devient un peu lassante…"
     
    (extrait vidéo 1'27)

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    2. "Qui colonise qui ? Qui est colonisé ? Eux, ou nous ?..." : Bernard Lugan a relu - au Camp Maxime Real del Sarte - la critique prophétique faite par Maurras, le 13 juillet 1926, dans L'Action française, alors que le Système édifiait "la grande Mosquée", en plein coeur de Paris :

    (extrait 2'19)

    https://twitter.com/OutOfLugan/status/1430915915722412037?s=20

    Nous donnions cet extrait dans lafautearousseau, le Merveilleux Maurras ! Que disait-il de la Grande Mosquée de Paris lorsqu'elle fut construite ?

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    3. Tribune de Pierre-Marie Sève, , délégué général de l'Institut pour la Justice, dans Valeurs : "L’accueil d’Afghans en France mènera inévitablement à une hausse de la délinquance..."

    https://www.valeursactuelles.com/societe/tribune-laccueil-dafghans-en-france-menera-inevitablement-a-une-hausse-de-la-delinquance/

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    4. Marseille : des clandestins pris en flagrant délit de vol puis relâchés !... :

    G-William Goldnadel
    "La lamentable preuve que l’État part en quenouille. Un référendum pour changer les lois sur l’immigration et quitter la Cour Européenne des Droits de l’Homme ou la mort."

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    5. Le Diocèse de La Rochelle informe :

    Diocèse de La Rochelle
     
    @Catholiques17
    "Depuis 1910, les catholiques du diocèse se rassemblent pour un pèlerinage vers l’île Madame. Ils vénèrent le martyre de prêtres déportés durant la Révolution. Ce 26 août 2021, près de 1 000 personnes ont répondu à l’appel"

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    6. En Grèce, il y aura bientôt un an que la cruauté envers les animaux est passible de 10 ans de prison : c'est le 5 novembre 2020 que le Parlement grec a voté à l’unanimité une loi qualifiant la cruauté animale de crime "passible d’une peine allant jusqu’à 10 ans de prison", assorti d'amendes, de 25 000 à 50 000 euros... Qu'est-ce qu'on attend en France, l'autre pays de François d'Assise (par sa mère, provençale...)

    https://www.30millionsdamis.fr/actualites/article/20137-en-grece-la-cruaute-animale-passible-de-10-ans-de-prison/

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    7. Et on terminera cette série d'aujourd'hui par la petite touche d'humour bienvenue de ce restaurateur breton dont nous parlions ici-même hier :

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    À DEMAIN !

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie...

    1 Nice : un Imam/Recteur gonflé ! Et même archi-gonflé, genre Bibendum de Michelin ! Impudence absolue de l’imam UOIF de Nice : alors que 3 chrétiens ont été égorgés dans une église, ce sont "les musulmans de Nice (qui) vivent un climat très inquiétant"  Toujours la victimisation et les procès en islamophobie...

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    2 La France est le dernier pays européen à accueillir encore des migrants, alors que les autres ont freiné ou stoppé l'entrée de nouveaux arrivants. Le livre de Patrick Stefanini Immigration (Robert Laffont) dévoile ce scandale, chiffres à l'appui...

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-folie-migratoire-une-specificite-bien-francaise-125870

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    3 Réfléchissons un peu, et récapitulons (1/2) :

    - des attestations à remplir pour sortir de chez soi;

    - un décret ministériel pour autoriser la vente des sapins de Noël;

    - des coupures d’électricité cet hiver...

    On pensait que le gouvernement était libéral ? Il fait plutôt furieusement furieusement penser à l'ex-URSS...

    4 Réfléchissons un peu, et récapitulons (2/2) :

    - liberté d’enseignement ? : fin de l’instruction à domicile;

    - liberté de conscience ? : supprimée dans la "clause IVG";

    - liberté d’expression ? muselée par la Loi Avia (réforme de la loi 1881);

    -liberté de manifestation ? elles sont interdites, sauf pour le gang des Traoré et les clandestins rebaptisés "sans-papiers", ou les envahisseurs, rebaptisés "migrants"; 

    - liberté de culte ? : interdiction "temporaire";

    Alors, franchement : "libéral", ce gouvernement ? Et, derrière lui, ce Système ?

    5Incompétents ? Faillis ? Fous furieux ? L'OMS déconseille maintenant le Remdesivir, après que l'UE en ait acheté pour 1 milliard: qui sont les responsables de cet achat ? Et si on les jugeait ?

    https://www.journaldemontreal.com/2020/11/19/covid-19--loms-opposee-a-lutilisation-du-remdesivir

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    6 Dans la série "les Turcs sont des nazis qui ont réussi" : les chrétiens représentaient encore 20 % de la population turque au début du XXème siècle: ils ne sont plus que 0,2 % aujourd’hui... Lire l'excellent article de Joseph Yacoub ci-après, dans Figaro Vox :

    https://www.lefigaro.fr/vox/monde/comment-la-turquie-a-eradique-ses-minorites-chretiennes-20201119?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1605821928

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    7"L'horreur du quotidien" à Barbès : Victime d'une agression, la réalisatrice Jeanne Labrune lance une pétition contre l'insécurité. Dans le passé, elle signa des pétitions en faveur des migrants. En somme, elle a fait tout ce qu'elle pouvait pour créer la situation qu'elle dénonce maintenant ! Qu'est-ce qu'on va dire ? "Bien fait !" ou "Faute avouée, faute pardonnée" ?

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    La pétition de Jeann Labrune réclame le "rétablissement de l’Etat de droit dans ce quartier de Paris". Elle dénonce les ventes de cigarettes à la sauvette, le marché aux voleurs, les trafiquants, les mineurs isolés qui se battent entre eux et agressent les passants, les vol, la situation explosive. le ras-le-bol des habitants, le tout amplifié par le confinement, alors que la délinquance, elle, devient plus exponentielle, encore : "Nous sommes passés de la petite délinquance de rue à l’horreur du quotidien. J’ai le souvenir, alors que nous partagions un café entre copains, dans le quartier, de cette femme, accompagnée de son mari, qui a tété insultée, s’est pris un jet de chaise dans les jambes, et un café brûlant. Jeanne Labrune a aussi vécu l'agression dans sa chair : un de ses colliers lui a été arraché, "avec ma peau. J’ai été blessée, quand ils ont coupé à la pince le collier... Cela a été très traumatisant, on ne se rend pas compte… J’ai eu le cou blessé. Coupé. »

    8Aurélien Taché, député hors-la-loi ? La loi française interdit la polygamie. Les chers amis musulmans du-dit Taché la pratiquant allègrement, le député déclare tranquillement :  "C’est un mode de vie... le législateur n’a pas à s’ingérer dans les mœurs" ! Qu'il se convertisse à l'islam, si cela lui chante, mais qu'il respecte les lois françaises, ou alors : qu'il dégage

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    https://www.valeursactuelles.com/societe/video-cest-un-mode-de-vie-le-legislateur-na-pas-singerer-dans-les-moeurs-les-propos-scandaleux-daurelien-tache-sur-la-polygamie-125863

  • Dans le monde, et dans notre Pays légal en folie : la revue de presse de lafautearousseau...

    1. Terrorisme islamiste en Bavière : impayable Libé !  "on ignore encore ses motivations précises" (à gauche) mais "il a crié "Allah Ahkbar" (à droite). Et, bien sûr, il s'agit d'un "psychiatrique". Qu'est-ce qu'il y a comme "psychiatriques", en terre d'Islam ! Presqu'autant que d'églises qui brûlent, en terre de chrétienté !...

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    1 BIS. lafautearousseau une fois de plus entièrement d'accord avec la réaction de Gilles-William Goldnadel : le terroriste somalien de Wurtzburg a affirmé avoir "réalisé son djihad" en poignardant des innocents dans la rue. Au moins trois femmes sont mortes sous les coups de couteau, dont une âgée de 82 ans. C'est cela et rien d'autre le djihad islamique... Réaction appropriée de Goldnadel :

    G-William Goldnadel
    "Rien sur la radio active de service public à 9h, rien à minuit. Les trois femmes assassinées ne sont pas victimes de féminicides puisqu’elles n’existent pas. Peut-on m’expliquer gentiment pourquoi elles comptent moins que George Floyd puisqu’elles non plus ne peuvent plus respirer ?

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    3. Les "touiteurs" ont, parfois, de l'humour ! En voici deux exemples :

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    "La Hongrie se croyait débarrassée des chars après l’effondrement de l’URSS mais en adhérant à l’UE elle n’imaginait pas avoir affaire aux chars de la Gaypride !"
     
    2. Dans un tout autre domaine, Stéphane Séjourné, le compagnon de Gabriel Attal a demandé (si, si !) aux chaînes radios/télés de ne plus inviter Zemmour. Réponse d'un touiteur :
     
    "Ses nuits contre Attal, Séjourné contre Zemmour"
     
    Excellent, non ?

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    4. Éric Zemmour à BHL, lors de son débat avec lui, vendredi dernier, dans Face à l'info :

    1. "Vous favorisez l’immigration ! Vous prônez la guerre chez eux, et vous les faites venir chez nous. Moi, je veux exactement le contraire..." 

    https://twitter.com/tvlofficiel/status/1408673938427854851?s=20

    2. Zemmour à BHL : "Vous considérez que les occidentaux ont la responsabilité mondiale de faire le bien des autres peuples. C'est la définition même du colonialisme..."

    https://twitter.com/GenerationZ_off/status/1408482620627947520?s=20

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    5. Le Pays légal, la République idéologique, le système... ? Prêts pour la grande Soumission !

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    On le dira dix fois par jour s'il le faut, cent fois, mille fois. On le dira "à temps et à contre-temps" : la seule action qui vaille la peine d'être menée est

    "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet) 

     

    6. (dans Mediapart) Affaire Veolia-Suez : le secrétaire général de l’Élysée refuse de répondre à la convocation de l’Assemblée nationale pour expliquer son rôle dans l’OPA de Veolia sur Suez. Cela conforte les soupçons : cette OPA est bien une affaire d'Etat...

     

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    7. Les "limites" de la Marche des fiertés : d'accord avec Zohra Bitan !

    "La seule lesbienne qui n’a pas eu droit au respect lors de cette #MarcheDesFiertes c’est #Mila ! Elle, elle n’a pas droit au respect de ce qu’elle est, de sa sexualité ni de s’être élevée contre l’homophobie ! À Mila, ils préfèrent les ennemis des LGBT déguisés en tolérants !"
     
    Accessoirement, et en annexe, en quelque sorte, écoutez Élise, enseignante (?) dire (sic) : "C'est hyper important que les profs SONT là..." On espère seulement, pour ses élèves, qu'elle n'est pas prof de français ! :
    (extrait vidéo 0'41)
     
     

    À DEMAIN !

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