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Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
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Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
Mme D. R-M, de Guilherand Granges, bien reçu votre chèque au siège de l'Association lafautearousseau : toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François Davin, Blogmestre
Comme on dit sans Kamaalot : C'est pas faux !
Magnifique reportage de TF1 ce mardi 30 mars à 13h, "envoyé" par Marie-Sophie Lacarrau pour clôturer - en beauté ! - le Journal...
… Il est même institutionnel. Si le régime doit s’effondrer dans un désastre, c’est la vraie question qu’il conviendrait de régler. Faisons un court bilan.
La France – et donc les Français – pensait avoir une politique de santé. La France s’imaginait même que cette politique de santé publique était la meilleure du monde. L’état républicain la persuadait que c’était grâce à lui ; elle en était fière. En fait, d’excellentes formations dotaient le système médical français d’un personnel compétent, même s’il était insuffisant ; et les professionnels s’ingéniaient à se procurer les moyens adaptés. Tout autant qu’ils en avaient le pouvoir.
Le plus éprouvant pour qui se réclame de l’esprit français, l’esprit cartésien fondé sur le bon sens et la liberté raisonnable, c’est de ressentir l’impression de vivre dans un pays qui devient fou. On croit se trouver dans la peau d’un personnage de la pièce de Ionesco où tout le monde devient Rhinocéros sauf un original qui est le seul à avoir gardé le sens commun.
1. Bien plus qu'un magnifique symbole : notre Être profond, notre essentiel, sur cette terre chrétienne depuis quasiment deux mille ans, dans notre cathédrale Notre-Dame-de-toute-la-France qui revit ! La Messe du Jeudi Saint, ce 1er avril, sera diffusée en direct de la Cathédrale Notre-Dame de PARIS, à 11h45, sur @KTOTV et @CNEWS
L’analyse de la politique du président de la République est riche d’enseignements sur son psychisme, et notamment sur son sentiment profond à l’égard de la France. En relevant point par point ses propos, il apparaît que ses décisions, ses déclarations illustrent des sentiments très mélangés à l’égard de la France, de sa culture et de son histoire récente ou coloniale. Il n’est pas exagéré d’y déceler une aversion, voire une hostilité quasi viscérale au récit national.
Emmanuel Macron est pris, de nouveau, à son propre piège : celui du « en même temps », une posture philosophique qui se prête peu à l’art de gouverner et condamne, même à court terme, aux promesses non tenues. Lorsqu’il avait décidé de l’organisation d’une Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron entendait, en réalité, donner l’impression d’une démocratie réelle et authentique parce que directe… bien que ne reposant sur aucun mandat électif.
L’assemblée des évêques de France a décidé, la semaine dernière, de mesures pratiques importantes pour lutter contre le fléau de la pédophilie. Elle poursuit ainsi un long travail de prise de conscience qui ne la concerne pas toute seule parce que c’est la société dans son ensemble qui est en cause. Mais l’Église a une responsabilité particulière qui lui confère des devoirs considérables.
Site officiel : Solidarité Kosovo
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Directeur général de l’Observatoire d’études géopolitiques
L’eurocratie n’a honte de rien, c’est même ce qui la caractérise. Ainsi, les eurocrates n’aiment pas Poutine et la Russie, c’est sans doute leur droit mais cela ne les autorise pas à dire n’importe quoi. C’est dans ce contexte qu’un certain Thierry Breton, commissaire européen qui serait chargé de la vaccination a eu le culot d’affirmer, le 21 mars dernier, que les nations membres de l’Union européenne n’auraient pas besoin du vaccin russe pour mener sa campagne de vaccination.