Il nous a accompagné, de Belphégor au Commissaire Moulin : requiescat in pace !
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Jean-Luc Reichmann avec Yves Rénier
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Jean-Luc Reichmann avec Yves Rénier
Nous sommes en 1919. L’encre du traité de Versailles est à peine sèche. Un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix déplore ses faiblesses dans une formule qui restera célèbre: «Une paix trop dure pour ce qu’elle a de doux ; trop douce pour ce qu’elle a de dur.»
Les proclamations péremptoires des matamores qui nous “gouvernent” sont insupportables, et pourtant, à chaque attentat, à chaque éruption de violences dans les “quartiers”, à chaque nouvelle victime, les Français on droit au “nous ne céderons rien”, alors que depuis des années l’oligarchie qui règne dans notre prétendue démocratie cède tout, laisse entrer en masse des immigrés, les régularise à tour de bras, les naturalise à la chaîne, émascule tout discours de résistance, culpabilise et condamne toute affirmation identitaire des autochtones, des Français qui se sentent de moins en moins chez eux dans leur propre pays, la France, que certains n’appellent plus que “république” comme il y en a tant d’autres !
Ce n’est pas nouveau, mais ça empire : dans des collèges fréquentés par des élèves d’origine turque, l’enseignement du génocide arménien ne peut être évoqué sans susciter de vives contestations, encouragées par des associations franco-turques. C’est ce que nous révèle un article du JDD. Erdoğan voudrait-il imposer sa loi jusque dans les écoles françaises ?
Des tags christianophobes et invoquant Satan ont été découverts, samedi 17 avril, sur les murs de la basilique Saint-Sernin, à Toulouse. Le père Bogdan Velyanyk, curé de Saint-Sernin, réagit au micro de Boulevard Voltaire.
Ces dernières semaines, toujours marquées par la crise sanitaire et les controverses qui l’accompagnent, furent l’occasion, si besoin était, de nous rappeler, via les rapports Stora et Duclert sur l’Algérie et le Rwanda, l’importance de l’étude de l’Histoire.
Ancien Vice-président de l’Association Massenet Internationale, le chef Jean-Pierre Loré nous convie à une bénéfique incursion dans la musique sacrée du célèbre compositeur.
Parmi plus d’une vingtaine d’opéras, Manon, Werther, Thaïs, Cendrillon continuent de faire les beaux soirs des théâtres du monde entier. La faveur dont ils jouissent auprès des amateurs ombrage la production religieuse de leur auteur. L’oratorio consacra pourtant le jeune Prix de Rome que le public parisien ne connaissait que par deux opéras-comiques : La Grand’Tante (1867) et Don César de Bazan (1872).
Le musée Ingres Bourdelle à Montauban prépare actuellement, en collaboration avec le musée du Louvre, une exposition exceptionnelle intitulée « Ferdinand-Philippe d’Orléans (1810-1842). Images d’un prince idéal ». Cette exposition, rassemblant des œuvres historiques provenant des plus belles collections publiques et privées, sera proposée aux visiteurs du 18 juin au 24 octobre 2021. Fils aîné du Roi Louis-Philippe Ier, le Prince héritier du trône français de 1830 à 1842, fut surnommé par ses contemporains “le prince idéal” et jouissait d’un rayonnement considérable en son siècle.
30 secondes pour connaître son histoire
Gilles-William Goldnadel raconte l'instruction à décharge dont a bénéficié l'assassin de Sarah Halimi : "J'aurais préféré mille fois que la justice française fasse son travail... Je suis un avocat qui ne baisse pas la tête et je suis un juif qui ne baisse pas la tête. Nous avons eu droit à un déni de justice et même à une parodie de justice"
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