Sur Boulevard Voltaire, mieux vaut en rire #38.
Toutes les semaines, nous vous présentons 5 faits d'actualité les plus ridicules. Découvrez le numéro 38 de notre "Mieux vaut en rire".
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Toutes les semaines, nous vous présentons 5 faits d'actualité les plus ridicules. Découvrez le numéro 38 de notre "Mieux vaut en rire".
Les Grands Débats du Matin du lundi au vendredi de 8h45 à 9h45 sur sudradio.fr.
Avec Elisabeth Levy, Alexis Poulin et Grégory JORON, Secrétaire général du syndicat Unité SGP Police FO.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Mais elle est aussi ouverte à d'autres groupes, pas forcément royalistes, ou exclusivement royalistes, qui mènent des actions allant dans le sens de la défense du Bien commun : SOS Éducation, le Collectif Némesis / La Cocarde étudiante /Jeunesse, si tu savais-Poussières d'étoiles / Baguette Musette / le Cercle d'Artagnan / Les Chemises blanches / Défendons notre Patrimoine...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
Le pouvoir et les médias mainstream pensent-ils vraiment que la grande majorité des Français sont dupes ? Certes, la politique de la peur fonctionne auprès d’un certain nombre d’entre eux, notamment auprès de l’électorat macronien, qui est, par définition, un électorat frileux, timoré, car c’est la peur de perdre son capital qui le caractérise, qu’il s’agisse de ses sous ou de sa santé qui, chacun le sait, est un capital comme un autre.
Le diagnostic sur la paupérisation des enseignants est enfin posé.
Hannah Assouline
La promesse d’Anne Hidalgo de doubler le salaire des enseignants à l’échelle d’un quinquennat relève d’une partition somme toute classique. Voilà déjà longtemps que les socialistes, comme les autres partis, ont abandonné toute réflexion sur l’école. Pourtant, sur ce sujet, il faut une de ces remises à plat que seules permettent les ruptures historiques, estime Natacha Polony. Pour une fois, nous pourrions ne pas attendre la catastrophe.
Toute dette publique est d'abord et au final une décision politique, et donc une décision de violence politique : violence de l'impôt, surtout quand il est justifié par des considérations extra-nationales et moralisantes. Une violence qui s'exerce surtout à l'encontre des classes pauvres.
Si on laisse faire les classes primaires, nous nous retrouverons en finale avec un roitelet issu de la grande foire électorale.
L’élu sera sans aucun doute le pire ! A force de s’assassiner entre eux, il nous restera le plus inapte à la fonction présidentielle, mais assurément le plus arriviste, le plus mauvais ambitieux, celui qui tuerait père et mère pour arriver en haut du mât de cocagne élyséen, et être roi ou reine sous le déguisement présidentiel !
Pour avoir fait, jadis, l’éloge de l’inutilité, je ne m’élèverai pas contre des gestes vains, et encore moins contre la défense des causes et des combats perdus d’avance. À l’instar de Cyrano de Bergerac, je trouve que c’est encore plus beau lorsque c’est inutile.
« La lecture du journal est la prière du matin de l’homme moderne » disait Hegel. Notre collaborateur David L’Épée, médiavore boulimique, priant peu mais lisant beaucoup et archivant tout ce qui lui tombe sous les yeux, effeuille pour nous la presse de ces dernières semaines.
Parmi les actualités qui auront marqué cet été 2021, on se souviendra de l’affaire Mila, à la fois si emblématique et si banale d’une France où certaines communautés, loin de s’assimiler à la population qui les ont accueillies, réclament d’elle qu’elle s’assimile à leurs mœurs et à leur vision du monde.
© Maria Teneva – Unsplash
Le monde d’avant n’aura pas lieu, ni celui de demain d’ailleurs ; pour la raison que ni l’un ni l’autre n’existent autrement que dans la représentation fantasmatique que nous en avons et qui nous fait regretter l’un et craindre l’autre. Regretter quoi d’ailleurs ?