LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1730
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Lu, vu, entendu : l'inconséquence de ceux qui veulent se "débaptiser"; et un nouveau "front", peut-être, avec "l'affaire des jours chômés".....
Et encore, quand on dit "inconséquence", c'est parce qu'on est polis : on pourrait bien dire autre chose !
C'est devenu la mode chez certains "mécanisés", comme dit Pierre Boutang : persuadés par les médias que l'Eglise catholique, décidémment, c'est horrible, ils ou elles veulent se débaptiser. Fort bien.
L'un des derniers en date est René Lebouvier, septuagénaire et ancien président de la Fédération de la Libre pensée : il y tient mordicus, à "renier son baptême".
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Croissance et Austérité, l'analyse économique de François Reloujac.....
(Paru dans le numéro 108, juin 2012, de Politique magazine).
Les deux mots ont dominé l’actualité politico-économique du mois de mai, à Paris comme à Berlin, à Bruxelles comme à New York.
L’austérité est nécessaire parce que les États-Unis d’Amérique, comme tous les pays européens, ont vécu à crédit depuis plus de quarante ans et qu’il faut bien un jour purger ses dettes ou accepter que sa monnaie fasse faillite. La croissance est indispensable car, sans elle, il est vain de penser atteindre le plein emploi. C’est, du moins, le discours officiel. Selon que l’on se trouve avec un excédent de trésorerie, comme l’Allemagne, ou avec un taux de chômage insupportable, comme l’Espagne, on a intérêt à mettre l’accent sur l’assainissement des finances publiques ou sur la nécessaire relance de l’activité économique. Or, s’il est facile d’imposer l’austérité – surtout aux autres –, il est plus compliqué de rétablir la confiance, sans laquelle il est vain d’espérer renouer avec la croissance. La confiance ne se décrète pas, la saine croissance non plus. Car le mot croissance est chargé d’ambiguïté.
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Le "parti immigrationiste" se fiche des "lois" (?), qu'il a lui-même inspirées/imposées......
Les trois documents se passent de commentaires.....
"Célébrons la beauté noire !" C'est l'ambition du concours de beauté original, organisé le samedi 28 avril 2012, salle Wagram, à Paris. La particularité de Miss Black France : recruter en fonction de la couleur de peau ! Sans commentaire(s).... Sélectionnées sur casting parmi 1 000 candidatures, dix-huit jeunes femmes noires, de 17 à 28 ans, en compétition....
...et à La Poste, à Nantes :
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C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) "la France" : Dans les Ephémérides, cette semaine....
"Du passé faisons table rase !..." : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des Idées, et, si possible une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines......
Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire"... :
* Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"
* Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".
Table des Matières Ephémérides - Premier semestre.pdf
Table des Matières Ephémérides - Second semestre.pdf
Musique dans les Ephémérides.pdf
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :
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Ballon rond et "pseudo équipe" de "pseudo-France" : prix orange à Jean-Pierre Pernault.....
...pour la façon dont il a parlé de ces personnages dont on ne sait s'ils sont plus scandaleux que grotesques, ou l'inverse; et qui allient leur nullité au jeu (?) à la vulgarité de leur "être"....
Lundi 25 juin, le présentateur du 13H de TF1 a comparé la "performance" (!) des Bleus à l'Euro 2012 de football avec le résultat d'Italie-Angleterre, qui a été "un très, très beau match, avec des joueurs fiers de porter les couleurs de leur pays... ça change".
Puis Pernault a apporté cette précision sur les primes versées aux joueurs : "...Et sachez que les Italiens, par solidarité avec leurs compatriotes... les joueurs ont décidé de ne pas toucher, de ne pas demander leurs primes de match. Heureusement, il y a des pays où les joueurs ont de l'éducation, du savoir vivre...." "Nos joueurs à nous sont partis en vacances, c'est vrai ils doivent être très fatigués et donc nous, toute la semaine, on va parler des métiers d'été. Ca leur donnera peut-être des idées s'ils veulent changer de métier..."
Ca, c'est envoyé !... Coup au but... pour une "équipe" (?) qui sait si peu ce que c'est que d'en marquer.....
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Hollande, entre ce qu'il savait forcément, et ce qu'il ne voulait pas savoir...
Déchaîné, Ménard, comme à son habitude, ce mardi 26, sur I télé, lorsqu'il reçoit Martin Leprince : durant les 8'44 de son entretien "sans interdit", il ne l'a pas lâché, le pauvre Martin, jusqu'à ce qu'il réussisse à lui faire dire ce qu'il voulait et qu'il fallait : Hollande, Aubry et les autres n'ont pas voulu savoir, pour les "affaires/magouilles" de la Fédération PS du Nord-Pas-de-Calais...
Ajoutons à cela ce qu'ils savaient forcément sur Strauss-Kahn, malgré la pirouette du débat d'entre deux-tours (en substance, tout le monde s'en souvient, Hollande a eu le culot de dire : "...je ne suis pas au courant de la vie privée de DSK..." : dans la série "plus c'est gros, plus ça passe", plus gros que ça, tu meurs !...).
Et nous avons une petite idée du "président normal" qui règne à l'Elysée, avec une "majorité" (!) à l'Assemblée nationale de 52% des sièges, pour 16,5 des inscrits et 29% des suffrages exprimés pour le PS : "monsieur Tiers"...
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Lire Jacques Bainville...(XXII) : Oui, la "paix séparée" avec l'Autriche était possible, mais...
Dans son Journal inédit 1914, note du 4 décembre, pages 209/210/211, Bainville écrit même qu'une paix séparée aurait pu, peut-être, être réalisée... dès la Noël 1914 ! :
Oui, mais voilà : Clémenceau était un républicain farouche, haineusement anti-catholique, de la trempe des Villani et des Jules Ferry (celui qui voulut "organiser le monde sans roi et sans Dieu").
Leur idéologie républicaine et anti-chrétienne passait avant ce qui était pourtant, de toute évidence, le plus élémentaire intérêt national. Clémenceau, Villani, Ferry, et tous leurs semblables, étaient les héritiers de ceux qui n'ont ni compris ni admis le renversement des alliances, opéré par Louis XV : politique véritablement "progresiste" et "révolutionnaire", à laquelle se sont opposé des soi-disant révolutionnaires, en fait "conservateurs" et "rétrogrades"; qui ont ensuite haï l' "Autrichiennne", laissant libre cours à une xénophobie de mauvais aloi; et qui ont déclaré à l'Autriche - et à l'Europe... - une stupide guerre de 23 ans qui a mis la France à genoux, amenant par deux fois les alliés à Paris; et ont enfin, à tout prix, fût-ce celui du sang de millions de jeunes français, détruit cet Empire catholique qu'était l'Autriche-Hongrie, devenu allié naturel de la France depuis Louis XV, et qui aurait probablement bien gêné - peut-être même empêché - Adolf Hitler...
Mais il fallait, pour Clémenceau, que l'idéologie républicaine at anti-chrétienne triomphât, fût-ce en agissant directement contre l'intérêt national.... -
Joyeusetés ministérielles...
1. Ce serait une nouvelle sensationnelle : Montebourg et Moscovici vont-ils demander l'expulsion de Napoléon des Invalides et la dé-panthéonisation de Voltaire ?
Croyant peut-être faire du "neuf", ou se croyant (qui sait ?) "modernes"; pensant sans doute apporter un sang frais au débat politique, ils se sont en effet succédé, sur France info, pour lancer des imprécations contre... le "racisme" et "l'anti-sémitisme".
Oui, mais sans dire que cela ne les gênait pas le moins du monde de savoir Napoléon grandiosement enterré aux Invalides, lui qui disait des juifs qu'ils étaient "des sauterelles et des chenilles qui ravagent la France".
(Illustration : dans un monument grandiose, un monument d'orgueil, en l'honneur d'un antisémite notoire... Mais le reproche d'antisémitisme semble quasi "reservé" par certains au seul Maurras : n'est-ce pas étrange ?...)
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RETOUR SUR NOTRE ALBUM BAINVILLE, UTILE POUR NOTRE TEMPS, SURTOUT POUR LES PLUS JEUNES ….
Voici un point de vue reçu, récemment, dans les commentaires, sur l’album BAINVILLE que nous venons de mettre en ligne (pour le visionner, cliquez sur la photo).
Nous le publions en note, non pas parce qu’il est flatteur pour lafautearousseau, mais parce qu’en effet, il nous paraît utile de faire connaître cet album BAINVILLE, qu’il puisse servir à tous, qu’il soit diffusé et repris sur les sites et blogs amis ou, simplement, intéressés par la pensée et l’œuvre de Jacques Bainville et, au delà, par le grand héritage de l’Action Française, pris non dans ses accidents aujourd’hui historiques mais dans son essentiel pérenne.
"En général, je ne suis pas un "enthousiaste" des "albums", du moins dans le cadre de l’objet avant tout politique de ce blog. Par définition, ils nous ramènent nécessairement vers un certain passé, quel qu’en soit le sujet. Or, selon moi, quelles que soient les vertus de la « Mémoire », nous ne sommes pas un "mémorial". Ceux qui, comme moi, se rattachent, dans son essentiel, à l'héritage de l'Action française, savent que - sans ignorer l'Histoire, parce qu'elle peut servir notre aujourd'hui et notre futur - notre vraie mission consiste, avant tout, , à scruter l'actualité, en France et dans le monde, à y discerner, sous l'écume chaotique et frelatée des informations du jour, les évolutions profondes et les « tendances lourdes », pour actualiser et refonder sans cesse notre politique royaliste. Accorder trop de temps, trop d'espace à des "albums" ne nous en détournerait-il pas ?
Pourtant, comme ce fut déjà le cas pour l’album Mistral, je sors enthousiaste d'une lecture attentive de cet album Bainville. Merveille d‘intelligence de ce grand esprit : sa personnalité, sa vie, son œuvre. Et, par delà Bainville lui-même, merveille d’érudition et d’intelligence de ce que l’Action française fut vraiment. Et de ce qu’elle nous laisse d’essentiel et de pérenne pour aujourd’hui, Il faut en féliciter et surtout en remercier l’auteur, car qui, dans la mouvance qui est la nôtre, a-t-il le courage et la capacité de réaliser, de mettre à la disposition de tous, pareil grand travail ? Il servira surtout, me semble-t-il, aux jeunes-gens qui s’intéresseront vraiment à l’Action française et ne se contenteront pas des simplismes, ou même des sottises, que des aînés inconséquents leur ont souvent enseignées à son propos. Sur lafautearousseau, mais, bien-sur, pas seulement, ils trouveront cet aliment, cette « intelligence » de l’Action française qu’il faut avoir pour y engager sa vie… Et ils puiseront, dans l’œuvre de Bainville des trésors de sagesse, de lucidité et d’expérience qui leur seront bien utiles, en ce temps-ci.
Je ne suis pas sûr que ce qui est anecdotique dans cet album ait le même intérêt. Bainville, à l’inverse de Maurras, ne se raconte pas. Il ne dit rien de sa naissance, de son enfance, de sa jeunesse. Dans son œuvre, il n’est jamais le sujet. Même son Journal traite d’Histoire, de diplomatie, d’économie, de littérature ou de finance, jamais de lui-même. Ce qu’en dit cet album éclairera néanmoins sur qui fut Bainville. Et sur l’essentiel, c'est-à-dire ce qu’il a pensé et ce qu’il a fait, l’album dit tout. On s’incline. Bravo !"
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Nos "amis" sur facebook..... : mercredi, les 1.100 dépassés....
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D'accord avec... Patrice de Plunkett : Environnement : Hollande aggrave Sarkozy
Lu sur le Blog de Patrice de Plunkett, note du mardi 26 juin 2012 :
Pourquoi Nicole Bricq a été évincée :
La sarkozysation de Hollande n'aura pas traîné. D'abord il y a eu l'atlantisme : « OTAN-USA, Hollande au garde-à vous » (ici note du 22/05). Ensuite il y eu le cas Twitterweiler : « le people annexe la politique » (13/06). Maintenant voilà « l'environnement ça commence à bien faire » : l'Elysée évinçant Nicole Bricq du ministère de l'Ecologie, sur injonction des pétroliers.
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L'Editorial du n° 108 de Politique magazine : Bientôt, le désenchantement....
( A consulter : Le Site de Politique magazine ).
Le corps électoral français, qui penche globalement à droite, s’est donc choisi un président de gauche. C’était presque écrit d’avance. Conséquence d’un "vote sanction" contre le président sortant, usé par ses cinq années de pouvoir et par les polémiques incessantes qui auront émaillé son passage à l’Élysée. L’accession de François Hollande à la présidence de la République est une des incohérences fondamentales de ce scrutin. Combien sont-ils à avoir choisi le candidat socialiste par adhésion réelle à l’homme et à ses idées ? Une certaine forme de suffrage universel montre ici ses limites qui consacre un chef de l’État avec près de 20% d’abstentions et plus de deux millions de bulletins blancs ou nuls. Sorti de sa fonction raisonnable de mode de désignation du ou des représentants de la nation, érigé en principe même du pouvoir qui se transforme en réalité en plébiscite du chef de l’exécutif, ce qui est le cœur de notre modèle institutionnel est toujours marqué de cette ambiguïté. La légitimité du président sorti des urnes ? Plus de 11 millions de Français ont refusé de se prononcer pour l’un ou l’autre des deux candidats !
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MAURRAS A LA UNE : CE SERAIT BIEN AUTRE CHOSE S’IL AVAIT « GAGNE »
Nathalie Kosciusko-Morizet est, à l’évidence, une femme intelligente et distinguée. Elle a de la classe et de la tenue; sa beauté séduit. Et puis, elle a, par ailleurs, un passé, des origines ; une famille et une histoire. Ceux qui ne croient pas que nous soyons d’abord des héritiers, mais, plutôt, de libres contractants, feront bien de lire la fiche que lui consacre Wikipédia. Sous toutes réserves, car Wikipédia n’est pas une garantie d’exactitude, nous ajoutons, en fin de note le lien qui y conduit. Lisez-la. Vous y trouverez de solides éléments d’explication.
Explication à quoi ? A ce que son dépit, après la défaite de son camp, avec lequel elle s’est trouvée en désaccord, où son influence ne s’exerçait plus assez à son goût, dont elle désapprouvait les orientations de campagne, ait soudainement trouvé un bouc émissaire, un responsable inattendu, sur lequel transférer ce dépit : Charles Maurras, via Patrick Buisson, le conseiller de Sarkozy, objet de sa détestation !
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La Dizaine de MAGISTRO...
* MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf
* Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/ (Yvan Blot)- http://www.henrihude.fr/ (le Blog de Henri Hude)
* Yves-Marie LAULAN, Economiste, Président de l’Institut de Géopolitique des Populations : L’économie mondiale en perte de vitesse
* Marie-Noëlle TRANCHANT, Journaliste culturelle au Figaro : "Faust" *François JOURDIER, Officier, contre amiral (2S) : Les morts au combat ne sont pas des victimes
* Jacques BICHOT, Economiste, professeur émérite à l’université Lyon 3 : La droite et le marché politique
* Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : Coup de bambou
* Chantal DELSOL, de l'Institut : L’avenir injurié
* Roland HUREAUX, Essayiste : Trois paradoxes de l’élection de Francois Hollande
* Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : La révolte des sans-gradePremières lignes du Delsol, L'avenir injurié :