UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1734

  • Rire ou sourire un peu... Examen de logique

    Cet étudiant a obtenu 0/20 à cet examen : pourquoi n'a-t-il pas eu 20 ?

    Q1. Dans quelle bataille Napoléon est-il mort ?
    - A sa dernière bataille.

    Q2. Où a été signée la déclaration d'indépendance ?
    - Au bas de la page.

    Q3. Dans quel état se trouve la rivière Rio-Grande ?
    - Liquide.

    Lire la suite

  • Assez, de ces travestissements de l'Histoire, de cette flagellation/repentance aussi inepte que malsaine. Ou : Cette France où l'on a tant sauvé de Juifs (I/II)

    (En réponse aux récents propos scandaleux de François Hollande, qui, finalement, ne font que rejoindre l'obsession de BHL, qui ne cesse de critiquer le "maurrassisme" et de dénigrer une France, selon lui, aigrie et haineuse... Une bonne façon, ces pages redécouvertes au hasard des lectures et relectures d'été, de rester dans l'actualité immédiate, et de mettre une fois de plus "les points sur les i"...)

     

    Des fleurs en enfer  (1/2)

     

              Dans une pleine page du quotidien La Provence (1), Catherine Estève a mis avec bonheur à la portée du plus grand nombre ce qu’elle appelle, avec  justesse,  « une incroyable histoire », jusqu’alors connue seulement de l’Ordre des Dominicains et de quelques témoins.

              Il s’agit de ce que l’auteur appelle « L’histoire secrète des jeunes juives de la Sainte-Baume » (tel est le titre de son article), ou comment une vingtaine d’Allemandes et de Polonaises furent sauvées de la déportation par les frères dominicains. Catherine Estève avait commencé par rendre compte du récent ouvrage de Didier Nebot,  paru aux Editions Pascal (2) , « Et les enfants furent sauvés … »

    Lire la suite

  • Ca se passe comme ça, sur notre page Facebook

    1. Après notre note Soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas (Soyez royalistes ou ne vous plaignez pas.pdf ), ces trois commentaires postés presqu'aussitôt :

    Martin Peltier C'est très bien. Je ne sais pas qui vous êtes, mais vous posez bien la question et profitez judicieusement de l'actualité. Peut-être internet et fb vous permettront-ils de convertir ces ânes de Français au bon sens, ce que d'autres avant vous n'ont su faire. Je vous le souhaite.

    mardi, à 11:35 · · 1

    Lire la suite

  • (Presque) cent-trentenaire d'un discours : extraits, mais sans commentaires, qui seraient tout à fait superfétatoires !

    Notre République idéologique adore donner des leçons de morale : à la terre entière, à l'extérieur comme à l'intérieur; elle adore juger, moraliser, condamner (1); mais si elle balayait un peu devant sa porte, au lieu de ne pas être gênée du tout par ses profondes contradictions internes ?  Si elle regardait un peu ce qu'ont dit - et fait ... - ses grands hommes, ses grands ancêtres ? Car c'est, plus que souvent, très édifiant !

     Ainsi, on ne compte plus les Rues, Places, Lycées, Bâtiments et Edifices divers portant le nom de Jules Ferry; un "grand ancêtre" qui, pourtant, dans les extraits du texte suivants, explique, développe, justifie tranquillement rien moins que... le colonialisme et le racisme !

    De Jules Ferry, Discours sur la colonisation (28 juillet 1885, extraits) :

    "...On peut rattacher le système (d'expansion coloniale, ndlr) à trois ordres d’idées : à des idées économiques, à des idées de civilisation... à des idées d’ordre politique et patriotique". 

    (1) : le cas le plus emblématique étant la condamnation de Maurras pour "Intelligence avec l'ennemi", alors qu'un Otto Abetz déclarait : "L’Action Française est l’élément moteur, derrière les coulisses d’une politique anti-collaborationniste, qui a pour objet, de rendre la France mûre le plus rapidement possible, pour une résistance militaire contre l’Allemagne".

    Lire la suite

  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) "la France" : dans les Ephémérides, cette semaine...

    "Du passé faisons table rase !" : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des Idées, et, si possible une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines......

    Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire"... :

    * Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"

    * Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Pourquoi des Ephémérides.pdf

    L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes...

    Musique dans les Ephémérides.pdf

    Table des Matières - 1er semestre.pdf

     Table des Matières - Second semestre.pdf 

     

           Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :       

    LOGO 9 LFAR copie.jpg

    Lire la suite

  • Le prince Gaston à la une de "Point de vue", cette semaine

    Le-prince-Gaston-dans-point-de-vue.jpg 
    Voici le commentaire du blog "La Couronne" :    
     
            Dans son édition de cette semaine, le magazine People des têtes couronnées, consacre un bel article à l'héritier du royaume des lys, S.A.R. le prince Gaston.

              Celui qui sera un jour "comte de Paris" ou bien "Gaston 1er" est donc à l'honneur cette semaine dans une nouvelle série "Les dynasties qui ont fait l'Europe". Un numéro à ne pas manquer.

     

  • Statistiques : Grand soleil sur toute la France, température en hausse : même chose pour lafautearousseau, sur un petit nuage...

            Nous sommes au coeur de l'été : tout ou presque est en mode vacance, en veille, en sommeil...

            Tout ? Non, car un Blog fait de la Résistance et ne dort pas, et n'est pas en mode veille, bien au contraire : lafautearousseau "explose" ses statistiques : 20.371 pages lues et 7.874 visites en 5 jours, du 21 au 25 juillet : 

    21.07.2012 1 376   6 298  
    22.07.2012 1 115   2 184  
    23.07.2012 1 856   5 173  
    24.07.2012 1 812   3 502  
    25.07.2012 1 715   3 214  

             Voici le tableau quotidien donné par Hautetfort : à côté du jour, la première colonne donne le nombre de "visites" et la deuxième le nombre de "pages lues".

             Le record des "visites" est donc tombé : c'était jusque là le 3 juin 2011, avec 1603 visites/9563 pages lues (record, lui, inchangé, pour l'instant)...

    LAFAUTEAROUSSEAU STAISTIQUES EN HAUSSE.jpg

     

  • Lire Jacques Bainville (XXV) : Jean-Jacques Rousseau

     (Comme tous les textes publiés dans cette Catégorie, celui-ci, aussitôt paru, est incorporé à notre Album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville.)

     

    rousseau "Qu'est-ce que la célébrité ? Voici le malheureux ouvrage à qui je dois la mienne." Je ne vous donnerai pas en plus de trois ou quatre le nom de l'auteur de ces lignes et vous avez déjà reconnu cet accent de désanchantement et d'orgueil. C'est l'homme que le gouvernement de la République fêtera bientôt au Panthéon qui inscrivait ces mots en tête d'une réédition de son premier ouvrage, ce célèbre et absurde "discours" où il niait la civilisation et l'art dans le pays et le temps même où l'art et la civilisation étaient parvenus au degré d'achèvement le plus haut. On imagine assez bien une sorte de dialogue, pareil à ceux où Rousseau se faisait le juge de Jean-Jacques et dans lequel l'auteur du Contrat social examinerait la séance de la Chambre où il a été question de lui, et où il répéterait, l'appliquant à toute son oeuvre, ses paroles d'une amertume et d'un amour-propre incurables : "Voici le malheureux ouvrage à qui je dois ma célébrité."

    Lire la suite

  • Notre ami Jean de Mello nous a quittés

      Messe ce vendredi, 10 heures,  

    à Saint François Xavier, Paris VIIème

     

    photo.jpg

     

            Notre ami Jean de Mello, âgé de 57 ans, nous a quittés le 20 juillet. Fils de Xavier et d’Anne de Mello, d’une famille où la cause nationale et royale n’a compté et ne compte que des amis, il avait, dans la suite de son père, offert ses services et son temps à l’œuvre commune. Que de dévouement ! Que d’intelligence, de cœur et d’énergie dans l’organisation des réunions, dans le rassemblement des amis et en particulier des jeunes gens.

             Il avait été un des maîtres d’œuvre des magnifiques banquets donnés chaque année par la Restauration nationale. Il avait aidé au départ de Politique Magazine. C’était un entraîneur d’hommes. Le service d’ordre du mariage du Prince Jean et de la Princesse Philoména avait été efficacement mis en place par ses soins attentifs. Il n’avait cessé d’aider Gens de France et d’assurer le secrétariat de l’Oeillet Blanc bien qu’il fût déjà  frappé de la terrible maladie qui devait avoir raison de lui. Cela faisait plus de trois ans qu’il l’avait abordée à sa manière à lui, toujours crâne, en vrai Mello qu’il était. Il en parlait avec humour, il la défiait, laissant stupéfaits médecins et infirmières. Ses amis n’en revenaient pas de recevoir courriel sur courriel, un journal toujours vif et enlevé de son état et des péripéties qu’il devait subir, puis presque jusqu’au dernier mois de le voir apparaître, toujours souriant et calme, dans leur réunion, muni de son petit appareil respiratoire et de sa bouteille d’eau. Nous nous en souviendrons longtemps, comme d’un modèle de courage et d’abnégation.

            Sa famille admirable, mère, frères et sœurs, tous des amis, l’a soutenu dans sa longue épreuve. Son frère, l’abbé Vincent de Mello, achevait de dire la messe dans la chapelle qui jouxtait sa chambre au moment où il expira, entouré de sa mère et de sa sœur Hélène.

            La messe d’obsèques sera célébrée par l’abbé Vincent  de Mello vendredi 27 juillet à 10 heures à Saint-François-Xavier à Paris.

           Nous assurons sa mère et toute sa famille de nos condoléances les plus émues. Nous avons un compagnon de plus là-haut où se dirige et s’organise le vrai combat.

           Hilaire de Crémiers

  • Trois réflexions sur la "Politique de la Ville"

    1. Amusant, la Cour des Comptes contre le sacro-saint principe d'Egalité !

            Eh, oui ! La Cour des Comptes ne serait-elle plus "républicaine" (horresco referens...) : elle vient de proposer de réserver l'argent de la "politique de la ville" à 6 Départements particulièrement sinistrés. Mais on a recensé officiellement plus de 1.500 zones "sensibles", "de non-droit", "de priorité absolue" ou comme on voudra les appeler... : les milliards gaspillés en pure perte depuis des dizaines d'années vont-ils continuer à l'être, mais en dérogeant au principe numéro 2 de l'impossible devise "Liberté, Egalité, Fraternité" ?

            Sacrés Sages de la Cour des Comptes ! Mais, gare au Conseil Constitutionnel !

    Lire la suite

  • Chronique d'une nécessaire politique de dechéance/expulsion mettre en place, seule solution possible au point où les choses en sont arrivées

             "Viens ou je te plante !": Abdessalem Béchir est un costaud de 19 ans, qui sort son couteau ce matin-là, deux de ses "potes" étant avec lui; la gamine à qui il parle n'a que quatorze ans et demi, elle est avec une amie de son âge et réussit à partir à toutes jambes. On imagine à quel genre d'activité il voulait la faire participer....

           Abdessalem va donner sept versions différentes de "l'invitation au voyage" aux enquêteurs, et son avocat, Saïd Benhamed va le présenter comme "un enfant" (sic !) : précoce, et décomplexé, l'enfant, quoique pas très courageux (pour s'attaquer à trois de 19 ans à deux fillettes de quatorze) et finalement pas très dégourdi, pour les avoir laissé filer, dans ce Parc de Font Obscure (Marseille, 14ème, les fameux "quartiers nord"...).

    Lire la suite

  • Soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas. Ou : sur deux phrases du Blog d'Ivan Rioufol...

    1. "...Découragée à force de n'être ni entendue ni soutenue dans son combat républicain, Malika Sorel, française d 'origine algérienne, vient de jeter le gant..."

    2. "Faudrait-il se résigner à la "chute du modèle français", qui accable l'écrivain Richard Millet ? "La France est le seul pays d'Europe dans lequel la terreur communiste ait réussi, en l'occurrence sous la forme de l'anti-racisme", écrit-il (De l'anti-racisme comme terreur littéraire, Éditions Pierre-Guillaume de Roux). Il réclame le droit de défendre ses racines et sa culture sans être pour cela insulté et trainé dans la boue. Mais l'unanimisme médiatique l'a rendu détestable. On veut rendre inaudible un écrivain qui entend "dire littérairement la vérité sur la France"....."

    Lire la suite

  • "Ce sont des gens qui ne savent pas ce que c'est que d'être Français, l'honneur d'être Français et l'honneur de l'Histoire de France"

    "Ce crime a été commis en France et par la France" : François Hollande, mettant ses pas dans les pas de Jacques Chirac, vient, en ces termes, d'accuser la France d'avoir commis le crime du Vel d'Hiv., sans tenir le moindre compte du fait qu'elle était alors un pays vaincu, occupé depuis 1940, et sous le joug du vainqueur, dont elle subissait, comme tout vaincu, les exigences et les diktats. 

    Si cette accusation présente un avantage c'est, au moins, en ceci qu'elle dispense d'établir d'abord les responsabilités premières; de chercher à savoir pourquoi et comment l'Allemagne s'est trouvée, à partir de 1940, occuper la France, et y régner à son gré...

    Sans entrer dans trop de détails, il est évident que la responsabilité première et fondamentale du désastre de 1940, dont les horreurs suivantes découlent, incombent à la IIIème République. Dès 1918, ce régime a saboté la Victoire et trahi le sacrifice d'un million et demi de jeunes Français, en ne faisant pas la politique qui s'imposait alors et que cette Victoire si chèrement acquise nous permettait; en ne démembrant pas l'Allemagne, comme elle le fut - mais mal - en 1945; puis en la laissant se réarmer sans réagir: en ignorant superbement les avertissements que lançait un Bainville, clairvoyant, signalant le premier "l'énergumène" Hitler - dès qu'il eût gagné les élections; en n'armant pas, ou pas suffisamment, la France, alors que, de toute évidence, l'Allemagne d'Hitler préparait méthodiquement sa  revanche sur le traité de Versailles. Il y avait bien longtemps que Bainville avait pronostiqué  l'apparition, en Allemagne, d'un parti "social nationaliste". Il ne s'était trompé que dans l'ordre des mots...

    Au delà des gouvernants, les responsablités sont aussi ailleurs. A vrai dire, elles sont partout : au sein de l'Etat-Major prospéraient de vieilles ganaches aux conceptions obsolètes; l'opinion publique, les Français dans leur ensemble, à droite comme à gauche, furent notoirement insouciants et inconscients du danger, préférant la semaine de 40 heures et les Congés payés à l'effort qui s'imposait, alors qu'Hitler transformait l'Allemagne en forge de Vulcain... A l'issue de la guerre, c'est à la semaine de 54 heures, ou plus, à quoi ils ont du revenir. 

    La Chambre de juin 1936, la dernière de la IIIème République, celle du Front populaire où siégeaient les ancêtres idéologiques de François Hollande, a, de toute évidence, achevé de désarmer la France, politiquement, moralement et, naturellement, par son pacifisme, sur le plan de notre défense.

    Évidemment, il n'est pas très plaisant pour François Hollande de reconnaître cette "paternité"-là.

    François Mitterrand était d'une autre trempe. Il connaissait l'Histoire. A vrai dire, il en était pétri, comme de littérature. Il avait un sens quasi charnel de la France. Il n'eût pas, sur elle, laissé dire n'importe quoi, comme en témoigne, l'enregistrement, dédié à François Hollande, que nous mettons en ligne ci-dessous.

    Il nous donne quelque raison de conserver une certaine admiration, voire une certaine reconnaissance, envers ce vieil homme impavide, bourré de défauts, qui dit un jour à Georges-Marc Benamou : "vous savez, je suis le dernier des grands présidents".

    A noter que la phrase qui sert de titre à cette note est de François Mitterrand. Ecoutez donc cet enregistrement !

       

  • Economie libérée et souveraineté nationale par François Reloujac

    Trois jours avant le second tour des élections législatives, le nouveau président de la République, François Hollande, est intervenu pour appeler les électeurs grecs (!) à bien voter ; c’est-à-dire à voter pour des personnes désignées par des partis politiques favorables à l’euro.

     

            Que ces partis aient conduit la Grèce à la faillite avec constance et qu’ils soient, aujourd’hui, devenus les exécuteurs des instances financières internationales pour imposer aux Grecs une austérité insupportable, ne semblait pas gêner outre mesure le nouveau président. Mais ce qui est le plus choquant, c’est le principe même que le président d’un état se permette d’inciter les citoyens d’un autre pays à voter en ne tenant d’ailleurs compte que de la situation économique de partenaires de moins en moins solidaires.

    Lire la suite