Quel paradoxe ! Nous fêtons la formidable résurrection du Christ, la plus grande fête chrétienne dans le confinement le plus triste et le plus affligeant qui soit, d’une société sûre d’elle, matérialiste, consommatrice à outrance, ayant instauré le Graal du libre échangisme et de la loi des marchés comme vertu planétaire. Cette société incapable de faire face à un virus est prise de vertige, particulièrement en France, fille ainée de l’Église mais apostâte, infidèle aux promesses de son baptême. La France laïciste, LGBT et amorale est démoralisée.
L’état est, quant à lui, dépassé et arc-bouté sur les dogmes médicaux des « sachants » de la médecine, des « Diafoirus » raisonnables et moralisateurs.
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