Un résumé des 26 incendies d'église qui ont eu lieu en France sur une année (vidéo)...
Question politiquement très incorrecte: et, pour 26 églises, combien de mosquées ?
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Question politiquement très incorrecte: et, pour 26 églises, combien de mosquées ?
Depuis la bataille (perdue) contre l’institutionnalisation du mariage entre deux personnes du même sexe, le monde catholique, secoué notamment par des scandales à répétition, est repassé sous les feux de la rampe. Le clergé assez largement gagné par une anomie généralisée s’est engouffré depuis des décennies dans une sorte de post modernisme confortable et normatif, semblant attendre avec résignation la fin du christianisme et sortant parfois de sa torpeur dès qu’ il suspecte le moindre signe de retour à « l’obscurantisme traditionnel chez ses ouailles ».
Charlotte d'Ornellas :
"C'est inouï de se poser la question des racines chrétiennes de la France ! Regardons nos jours fériés où bien le nom de nos villages, c'est une évidence !"
Carte des lieux dont le nom comprends "saint"...
Tout commentaire serait, disons, superfétatoire, non ?
Certes, la plupart du temps, la radicalisation est en réalité un signe de faiblesse : Erdogan a vieilli, il n'est plus le fringant meneur d'autrefois, par la loi de la simple nature; il a aussi perdu les élections dans les deux principales villes du pays (Constantinople et Ankara); la crise économique lui a fait perdre la confiance d'une bonne part de la population - qui lui était acquise - alors qu'elle a renforcé l'opposition de celle qui lui reste hostile, malgré la féroce dictature de fait et la répression à outrance qu'il mène depuis des années contre le peuple...
Source : https://lincorrect.org/
L’implantation du culte musulman en France métropolitaine remonte au début du XXème siècle. Depuis lors, le nombre de mosquées s’est considérablement accru sans que, pour autant, le droit afférent à leur édification n’ait fait l’objet d’une clarification.
LA GRANDE MOSQUÉE DE PARIS
La première mosquée fut celle de Paris (ci dessus), inaugurée le 15 juillet 1926, conjointement par le sultan du Maroc Moulay Youssef et le président de la République Gaston Doumergue. Cette construction répondait à une demande contenue dans un mémoire remis au gouvernement en 1916 par Paul Bourdarie, membre du Comité consultatif des Affaires indigènes.
Place Saint Pierre, Vatican, Rome.
© Antoine Mekary / Godong
En 1950, paraissait un ouvrage fondamental du futur cardinal Yves Congar : Vraie et fausse réforme dans l’Église. Rétrospectivement, on conçoit l’importance du sujet, puisque c’est bien cette réforme qui justifiera largement la décision du pape saint Jean XXIII de réunir le second concile œcuménique du Vatican. Il s’agissait, pour le théologien, de clarifier avant tout ce concept de réforme, en tenant compte de l’identité d’une Église, qui est forcément en mouvement dans l’histoire, mais toujours en fidélité vivante à l’intention divine qui l’a créée.
Le Kosovo-Métochie est une terre où la chrétienté orthodoxe est présente depuis plus de 700 ans. Ce "berceau" du christianisme orthodoxe en Serbie, compte plusieurs monuments placés sur la liste du patrimoine mondial de 'UNESCO mais aussi sur la liste du patrimoine mondial en péril.
Le Kosovo, 'est une chrétienté en péril: depuis 'an 2000 on dénombre près de 150 lieux de culte chrétien pillés, détruits, incendiés...
Source : https://www.riposte-catholique.fr/
Dans une tribune au Figaro, Mgr Michel Aupetit proteste contre la volonté de l’exécutif de faire adopter de façon définitive le projet de loi bioéthique avant les vacances parlementaires :
Sans vergogne, alors que notre pays vient de traverser une crise sanitaire qui l’a mis à genoux, la priorité du gouvernement est de faire adopter à l’Assemblée nationale le projet de loi bioéthique. Celui-ci porte en lui-même des basculements considérables modifiant gravement et dangereusement les fondements de ce que notre civilisation a construit pour le respect de l’homme, de sa dignité, de sa vie et de sa santé.
Primatiale Saint-Jean, vue depuis la Saône.
© Herbert Frank / CC by-sa
Comme beaucoup, j’ai d’abord accueilli la publication de Madame Soupa, candidate à l’Archevêché de Lyon, comme un de ces pamphlets qui offrent si peu de sérieux qu’à peine lus on les jette à la poubelle... Pourtant, même chiffonnée, écartée de ma vue, cette publication laissait en moi une interrogation profonde : comment une femme, partageant la même foi que moi, se disant, comme moi, théologienne, pouvait-elle dire cela ? Comment pouvait-elle prétendre par-là défendre la place des femmes dans l’Église ? Mystère. C’est donc en femme, et en théologienne que je voudrais réagir.