Coronavirus : si l’on ne fait rien, l’été sera chaud et… brésilien ?, par Marie Delarue.
À l’aube des temps, voilà une grosse année, il y eut le virus chinois. Il mourut à la fin de l’été avant de renaître, tel le phénix, sous un nouveau plumage. La collection automne-hiver était arrivée : c’est la mode anglaise qui envahit le marché. Nouveau printemps, nouvelle tendance : après une poussée venue d’Afrique du Sud, c’est le Brésil qui est en passe de remporter la mise.