On vous en a parlé sur lafautearousseau : le tweet de Corinne Lepage sur l'affaire Lubrizol...

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https://www.causeur.fr/arret-maladie-assa-traore-rothschild-178173
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Le déconfinement judiciaire est plus rapide que le déconfinement liturgique.
La vie des audiences a repris au Palais de Justice. Le port du masque a cédé devant les impératifs de l’art oratoire. Ni président, ni juges, ni même greffiers – qui, pourtant, par fonction, sont silencieux – n’en portaient, pour mes audiences, au jour de la reprise. Un vent de liberté soufflait dans les locaux bien impersonnels du nouveau Tribunal de Paris : joie de reprendre une profession, joie de se retrouver autrement qu’en visio-conférence.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
Déboulonner des statues ou en ériger de nouvelles… Le mouvement racialiste souhaite la disparition des représentations de Colbert, accusé d’esclavagisme, ou de Churchill pour racisme. Certains imaginent, plutôt que supprimer, mettre à l’honneur de nouveaux personnages comme l’émir Abdelkader.
Réaction de Jean Sévillia au micro de Boulevard Voltaire.
Source : https://www.lepoint.fr/
Il juge que certaines obligations à la charge des opérateurs de plateforme Internet sont attentatoires à la liberté d'expression et de communication.
Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi le cœur de la loi sur la lutte contre la haine en ligne, jugeant que certaines nouvelles obligations à la charge des opérateurs de plateforme Internet étaient attentatoires à la liberté d'expression et de communication.
Le général Charles de Gaulle au micro de la
BBC à Londres, 30 octobre 1941.
© BBC
Quatre-vingtième anniversaire de l’appel du 18 juin du général de Gaulle ! Comment son auteur a-t-il vécu cet évènement et quelle leçon en a-t-il tirée pour lui-même et le pays ? Au-delà du suffrage populaire, comment entendre cette légitimité historique ?
18 juin 1940 - 18 juin 2020 ! C’est donc presque un siècle qui nous sépare de cet acte fondateur qui propulsa Charles de Gaulle dans notre histoire. Le mieux est de se référer à lui-même afin de comprendre ce qui s’est passé ce jour où la France est tombée au fond de l’abîme et où un homme s’est retrouvé en charge de son destin : « Le 18 juin 1940, répondant à l’appel de la patrie éternelle privée de tout autre recours pour sauver son honneur et son âme, de Gaulle, seul, presque inconnu, avait dû assumer la France. »
Le 18 Juin, ce devrait être une Fête nationale. Ce jour-là un homme a cru en la France plus que la plupart des Français, et presque seul parmi ceux qui exerçaient ou avaient exercé des responsabilités. Il a affirmé haut et fort que la France n’était pas vaincue et qu’elle devait poursuivre le combat aux côtés de ses alliés. Cette attitude s’appuyait sur deux piliers inébranlables : un patriotisme qui mettait l’intérêt supérieur de la Patrie au-dessus de toute autre considération politique et une clairvoyance qui anticipait les moyens dont les ennemis de l’Allemagne disposeraient pour la vaincre.
La probabilité d’une abstention massive aux élections municipales accuse la conscience diffuse des électeurs de participer à un jeu de dupes. La perception d’une illusion collective entretenue à tous les niveaux, politique et économique, national et européen, conduit les français à renoncer aux seules prérogatives concrètes qui leur sont encore attachées.
Un pays virtuel cosmopolite pousse dans les fractures avérées du pays légal. La Banque Centrale Européenne impose aux états l’hyperinflation d’une économie virtuelle. Cette larve se nourrira de l’économie réelle au lieu de la cultiver.
Choisir un nouveau maire, c’est rompre librement avec les illusions du monde virtuel qui nous dévorent. Choisir un nouveau maire, c’est repousser l’anarchie comme la tyrannie, dans un espace circonscrit par la mémoire de son histoire. Choisir un nouveau maire, c’est donner une tête au corps réel que nous habitons.
La scène semble irréelle. Hier soir à Dijon, une voiture fonce sur un attroupement, fait des tonneaux, une petite foule armée de barres de fer converge vers le véhicule. Un nouvel épisode spectaculaire dans la guerre que se mènent les communautés tchétchènes et maghrébines. À l'origine du conflit inter-bandes: un conflit sur fond de trafic de stupéfiants. Un document BFMTV du lundi 15 juin 2020.
L'ex-Premier ministre a accordé un entretien à « Valeurs actuelles » paru ce jeudi 18 juin, dans lequel il revient sur les tensions raciales observées ces dernières semaines : selon lui, la « guerre entre "races" » va remplacer la lutte des classes.
Que penser de cette vaste offensive qui aux
États-Unis et en Europe s’en prend à des
statues emblématiques du passé de nos
nations ?
© Cezary p / CC by-sa
Depuis quelques jours, nous assistons aux États-Unis et en Europe à une vaste entreprise iconoclaste. Il faut prendre le mot au sens purement étymologique. L’iconoclaste c’est simplement un briseur d’images. Si l’on consulte le Petit Littré, on est renvoyé à tout un contexte religieux ancien, notamment à cette secte qui sévit au VIIIe siècle pour faire la guerre aux saintes images. Voilà qui parle d’ailleurs directement à nos amis orthodoxes qui célèbrent, chaque année, le triomphe de l’orthodoxie, précisément sur l’iconoclasme, c’est-à-dire l’interdit jeté sur la vénération des icônes du Christ, de la Vierge et des saints.
La mosquée de la Fraternité, où a eu lieu la rencontre entre les communautés tchétchène et maghrébine. - © Capture d'écran Google Maps.
Source : https://www.marianne.net/
Dans la soirée du 16 juin, une quinzaine de représentants des communautés tchétchène et maghrébine de Dijon étaient réunis dans la banlieue de la capitale bourguignonne. Leur objectif : convenir d’un arrêt des affrontements, en présence du père de I., 19 ans, dont l’agression a mis le feu aux poudres.
A quoi rime le déboulonnage des statues voulue par les indigénistes ?
Défenseur des chrétiens d’Orient et décoré par la France : et si une statue de l'Emir Abdelkader à Paris avait un sens ?
"Le jour d'après ne sera pas celui d'avant", disent nos dirigeants. Et pourtant...
Ce soir, les même groupes de black-boches qu'en décembre pourrissent la manifestation des soignants. Ils sont trois cent, tous les services de police les connaissent, et les médias tournent en boucle autour de cette poignée de provocateurs de basse police et dévalorisent, aux yeux des Français, l'action et les justes revendications de ceux qui ont sauvé tant de vies. A la plus grande satisfaction des nains de Bercy qu'effrayait la perspective d'augmenter les rémunérations dans l’hôpital public. Comme pour les GJ, comme lors des manifestations contre la réforme des retraites, les mêmes méthode, les mêmes mercenaires, les mêmes médias complices, les mêmes faces de carême sur les plateaux télé pour dénaturer le combat de tant de Français et pour ne rien lâcher...