Actualité France - Page 218
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Gang des Traoré/Gangs ethniques de Dijon : même combat !
"Tant que nous n’aurons pas la justice, vous n’aurez pas la paix." C’est le mot d’ordre du mouvement qui, au côté de l’extrême gauche, mène un combat de plus en plus politique avec un discours identitaire et victimaire de plus en plus affirmé. "Il est important de faire des alliances fortes... En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France ? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution."
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Il est là depuis... 1983 ! Et il a popularisé la notion de "Dégagisme" : qu'il se l'applique à lui-même !
Avant-hier, Mélenchon s'est discrédité complètement, en mettant un genou à terre lors de la manif de Dame Assa. Il a quelque chose à se reprocher, ou à se faire pardonner ? Mais pardonner quoi, et par qui, et pourquoi ?
Hier il s'est à nouveau discrédité, demandant que l'on désarme la police ou, du moins, qu'elle soit "aussi désarmée que possible" (sic !).
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Sur le site officiel de l'Action française, dire qu'il va falloir attendre Juillet pour connaître la suite !, l’éditorial de François Marcilhac.
L’allocution d’Emmanuel Macron, ce dimanche soir, n’avait-elle d’autre objectif que de nous annoncer sa prochaine, en juillet ? Que d’entretenir le suspens sur ce « nouveau chemin » qu’il ambitionne d’ouvrir aux Français, à coup sûr pour les conduire au « nouveau monde » qui, tel l’horizon, semble reculer à mesure que le quinquennat avance ? Cette allocation devait être « solennelle » : du moins, le premier cercle élyséen l’avait-il répété à satiété à des médias qui avaient complaisamment relayé l’information.
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Un pays aux esprits divisés, par Gérard Leclerc.
Rassemblement à Paris contre le racisme et les
violences policières, 13 juin.
CC by : Jeanne Menjoulet
S’il est vrai, comme l’écrit l’éditorialiste du Monde, que la France en voie de déconfinement est un pays profondément divisé, il est à craindre que la situation ne s’améliore pas. À coup de déclarations incendiaires, nous risquons de nouvelles déchirures.
Les paroles d’Emmanuel Macron dans son discours de dimanche soir concernant l’incendie qui s’est déclenché chez nous à propos de l’affaire Adama Traoré étaient soigneusement balancées.
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Dénoncer « la réécriture haineuse et fausse du passé » après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité »… il l’a fait !, par Gabrielle Cluzel.
« Son problème, c’est qu’il adore les déguisements : en militaire, en aviateur, etc. Il ne faudrait pas que les Français finissent par croire qu’il s’est déguisé en Président », raillait un proche du Président – désireux de rester anonyme, on le comprend un peu – dans les colonnes du Parisien, le 5 avril dernier.
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«Territoires perdus et faiblesse d’État». L’éditorial du Figaro, par Vincent Trémolet de Villers.
L’éditorial du Figaro, par Vincent Trémolet de Villers.
Source : https://www.lefigaro.fr/vox/
Nous en étions à la statue de Colbert, à la contextualisation d’Autant en emporte le vent, aux propos coupables de Jules Ferry sur la colonisation ; aux «hommes et femmes qui, selon la chanteuse Camélia Jordana, vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau», aux «violences systémiques» de la police qu’il faudrait «désarmer» selon les mots, une fois encore prophétiques, de Jean-Luc Mélenchon.
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Une statue n’est pas un livre d’histoire, par Aristide Renou.
Revenons un peu sur ces histoires de statues vandalisées ou bien, pire encore, retirées à titre « préventif » pour ne pas risquer la colère des « antiracistes ».
Quel est le problème ?
Accordons à tous ces modernes iconoclastes qu’une statue n’est pas un livre d’histoire : elle ne vise pas simplement à rappeler tel ou tel fait ou évènement du passé, elle est une manière d’attirer l’attention sur ce fait ou cet évènement.
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Délires en série, par Jacques Myard.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
L’actualité politique est stupéfiante, délirante, donnant lieu à des actions irrationnelles, dangereuses pour la paix civile.
Délire racial : le racisme prospère sur fond de règlements de comptes anti-établissement du modèle dominant, en l’occurrence celui des sociétés occidentales.
Il est évident que le racisme qui se développe n’est pas l’apanage d’une couleur de peau mais est partagé par des hommes noirs imprégnés de frustrations et de ressentiments idéologiques, en désir de vengeance.
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Sur TV Libertés, BCE : le coup d'état rampant - Politique & Eco avec Philippe Béchade (BFM).
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Sur le Média pour Tous, MANIF ADAMA TRAORÉ : oui ! MANIF PATRIOTE : non ! – Lapierre, brut !
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Aujourd'hui Dijon, demain toute la France : les violences ethniques ? le fruit pourri d'une politique pourrie menée par un Système pourri...
Depuis 1975 et les scélérats décrets Chirac, validés par le Président Giscard d'Estaing, la hideuse alliance du Fric et de la Révolution a fait entrer en France des millions et des millions d'étrangers : le Fric, pour payer moins cher des quasi esclaves, la Révolution pour dissoudre la Nation historique France.
Politique folle et suicidaire, volontairement et méthodiquement appliquée par le Système, qui a ainsi "libanisé", ethnicisé le pays, chaque entité s'attribuant une part du territoire national.
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Macron ou l’impuissance du discours !, par Christian Vanneste.
Il a osé crier victoire ! Dans le fond, Macron, c’est comme Napoléon, qui voudrait se relancer après Waterloo, se réinventer, prendre un nouveau chemin, bref continuer à exercer le pouvoir, mais avec cette différence abyssale qu’il n’y a pas eu d’Austerlitz, ni aucune autre bataille gagnée auparavant, ni aucune restauration de l’Etat, ni aucun élan donné à la Nation, ni aucune prééminence de la France en Europe. La seule victoire de Macron, c’est l’élection volée de 2017 par un socialiste ami des milliardaires, et qui a poursuivi le travail de sape commencé dans les cabinets obscurs : la démolition de la France !
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"Mythes et réalités des violences policières", par Yves Michaud.
Source : https://frontpopulaire.fr/
Le philosophe Yves Michaud réagit aux accusations de violence et de racisme contre la police en huit remarques qui échappent à l’hystérie actuelle sur ce sujet.
Beaucoup de choses que l'on sait très bien, excepté nos sociologues islamo-gauchistes (dont certains ont eu des pères fachos bon teint. - ils se reconnaîtront, j'espère...).
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Sortie de crise : vers un élan national ?, par Gérard Leclerc.
Le discours d’hier soir du président de la République est significatif non plus d’une opération de déconfinement mais de sortie de crise et de définition d’un élan national qui suppose unité et solidarité. Emmanuel Macron sera-t-il compris de l’opinion publique ?
Qu’on l’accepte ou pas, le discours qu’a prononcé hier soir le président de la République marque une redéfinition globale de la politique du pays. L’épisode sans précédent que nous avons vécu, à l’unisson de l’Europe et du monde entier, entraîne, en effet, un réexamen de ce qu’on peut appeler la philosophie qui doit présider au déploiement de toute notre activité.