Sur Figaro Live, Paris SANS voitures : Hidalgo extrémiste ?
Anne Hidalgo s'engage à limiter la vitesse des voitures à 30 km/h dans toute la ville si elle est réélue.
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Anne Hidalgo s'engage à limiter la vitesse des voitures à 30 km/h dans toute la ville si elle est réélue.
Les déclarations du ministre de l’Éducation nationale au Sénat le 18 juin ont provoqué quelques remous. En effet il a déclaré, en réponse à un sénateur : « Cela rejoint une logique de vision complète du temps de l’enfant […]. Je suis de plus e plus favorable à une vision où l’emploi du temps de l’enfant serait vu pas seulement sur les heures de cours, mais aussi à ce qui se passe dans sa vie le mercredi et le week-end, sans qu’on arrive à un Big Brother éducatif, mais simplement à une attention à ce qui se passe »
La Convention climat, qui vient de rendre ses conclusions, suscite des réactions diverses, allant de l’enthousiasme au scepticisme. Pourtant, il ne s’élève aucune voix pour dénier l’importance de l’impératif écologique. Le problème est de savoir si ces 150 citoyens tirés au sort pour présenter aux pouvoirs publics les mesures nécessaires afin de répondre à ce formidable enjeu, ont su être à la hauteur de l’objectif. Pour les uns, le pari a été réussi. Des propositions précises pour réduire de 40 % les émissions de gaz à effet de serre ont été formulées « dans un esprit de justice sociale ». Mais pour d’autres rien de vraiment original n’est sorti de ces délibérations.
La « Convention citoyenne pour le climat » qui vient de s’achever a offert une démonstration presque parfaite des raisons pour lesquelles la « démocratie participative » est une très mauvaise idée, qui devrait être rejetée par tous les véritables amis de la liberté politique.
Le cas de cette « Convention » mériterait désormais de figurer dans tout bon manuel de science politique, à titre de contre-exemple et d’avertissement.
Source : http://www.libertepolitique.com/
Depuis quelques jours nous découvrons avec stupéfaction que notre avenir écologique dans les prochains mois va être défini par les décisions arbitraires d’un panel hétéroclite de 150 citoyens tirés au sort et parés de toutes les vertus pour proposer et engager des réformes en matière d’écologie, tout cela pompeusement qualifié de « Convention citoyenne ».
De quelle citoyenneté parle-t-on ? Que signifie cette mascarade démocratique qui consiste à demander à 150 clampins choisis on ne sait comment de prendre des mesures avec autant d’autorité que des représentants élus ?
Source : https://www.transitionsenergies.com/
Les 150 propositions adoptées le week-end dernier par la Convention citoyenne ressemblent à une compilation d’idées recyclées, de solutions qui n’en sont pas, de pensée magique et parfois, rarement, de bonnes intuitions. Il n’est question nulle part de financements, de conséquences économiques, sociales, politiques, de réalités technologiques et industrielles, d’investissements… Et les sujets qui fâchent, le nucléaire, l’Europe et la taxe carbone, ont été soigneusement évités.
Source : https://www.lefigaro.fr/
Les conventionnels qui ont élaboré les 150 propositions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas candidats aux municipales. Leurs travaux pourraient cependant éclairer les électeurs. C’est un dévoilement, en effet, que ce manifeste. L’écologie, assimilée originellement à la liberté, à la bienveillance, à la confiance, à la poésie, même, se montre normative, punitive, intrusive. Elle s’occupe de tout : votre maison sans doute mal isolée, vos déplacements certainement inutiles, votre assiette forcément déséquilibrée.
"A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle..."
Après les 80km/h sur les départementales, les 110km/h sur les autoroutes ? C'est la mesure proposée par les citoyens tirés au sort qui composent la Convention citoyenne pour le climat.
Notre ami Guy Adain nous fait parvenir ce bel article en hommage à Jean Raspail écrit par son correspondant et ami de l'Ile Maurice Jean-Pierre Lenoir pour la Tribune du journal Week-end ainsi que le message qui l'accompagne :
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Les milliards pleuvent comme les printemps s’épanouissent. Mais quand il faudra rembourser, la France sera-t-elle capable de faire face aux échéances ? Impôts, spoliation ou inflation, le gouvernement aura besoin de la confiance des Français…
Depuis le début de la crise sanitaire, l’unité de mesure est devenue la centaine de milliards. Personne ne réussit véritablement à saisir la grandeur que cela représente ; c’est simplement énorme… à la mesure de ce que le Gouvernement fait pour la population ! Sauf, qu’en fin de compte ce sera à la population de payer. À ce moment-là, les successeurs de ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui se poseront la question de savoir comment.
Le quartier des Gresilles à Dijon, le 15 juin 2020 © DOLIDZE SABRINA/SIPA
Source : https://www.causeur.fr/
Après une semaine de violences extraordinaires entre populations immigrées à Dijon, un référendum semble promis aux Français. Mais pas du tout sur la sécurité…
Le film « Peur sur la ville » de Henri Verneuil pourrait à lui seul résumer la semaine qui vient de s’achever. Sauf qu’en 2020, la peur n’est pas suscitée par un tueur en série sadique qui s’en prend aux jolies jeunes femmes, mais par des bandes tchétchènes, des antifas, des black blocks et des racailles de banlieues armées.
Alors que les rassemblements de plus de 10 personnes sont toujours interdits en raison du coronavirus, des concerts ont été constatés dans la capitale avec parfois une foule compacte. Alors est-ce irresponsable ?
Sources : https://www.bvoltaire.fr/
http://marcrousset.over-blog.com/
Baptiser un lycée de la région Grand Est Arnaud-Beltrame, non. Mais Rosa-Parks, oui ! Quand la majorité LR abdique et promeut les revendications des racialistes…
Quel choc, quand nous avons découvert que la région Grand Est, lors de la commission permanente du 19 juin 2020, mettait aux voix un dossier de changement de dénomination des lycées Colbert et Sophie-Germain, à Thionville (Moselle), en Rosa-Parks !