Sur BFM TV, Didier Raoult face à Jean-Jacques Bourdin.
Jean-Jacques Bourdin reçoit Didier Raoult, directeur de l'IHU Méditerranée Infection, dans "Bourdin Direct" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 25 juin 2020.
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Jean-Jacques Bourdin reçoit Didier Raoult, directeur de l'IHU Méditerranée Infection, dans "Bourdin Direct" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 25 juin 2020.
Le lycée Colbert-Sophie Germain de Thionville,
renommé Rosa Parks.
© Google Street View
Ainsi, la région Grand Est vient de valider le changement de nom du lycée Colbert-Sophie Germain de Thionville, qui s’appellera désormais Rosa Parks, du nom d’une militante afro-américaine, cette personne ayant vécu de 1913 à 2005. Il semble que les élèves de ce lycée aient été associés à ce choix, que l’on peut juger hautement politique et idéologique. Est-il sage et raisonnable d’entraîner les élèves dans ce type de controverses, au risque de les engager dans un militantisme passionnel, sans le contrepoids d’une véritable formation historique, voire philosophique.
Source : https://www.causeur.fr/
Déboulonner les statues de personnages “controversés”, c’est le nouveau hobby de bobos qui voient dans la défense des “racisés” un combat indépassable. Alors que tout n’est pas à décrier dans l’héritage colonial. L’analyse de Driss Ghali.
La dernière mode en date en France est de partir à l’assaut des statues des grands héros français. Colbert, Faidherbe et Gallieni, entre autres. On les accuse d’avoir tué des Africains et d’avoir à rendre des comptes pour cela à titre posthume. Ceux qui pratiquent ce nouveau sport n’ont pas conscience du ridicule de leur situation, ni du danger qu’il y a ouvrir la boîte de Pandore des blessures coloniales.
Source : https://lincorrect.org/
En quelques jours, le concept de « privilège blanc », jusqu’ici principalement cantonné aux cercles indigénistes, a traversé l’Atlantique plus franchement pour s’inviter avec force dans le débat public en France, dans le contexte de la mort tragique de George Floyd.
Assa Traoré, lle 13 juin 2020 lors d'une manifestation à Paris contre les violences policières à l'appel du comité Adama Traoré en mémoire de celui-ci et de George Floyd tué aux Etats-Unis. (NATHANAEL CHARBONNIER / RADIO FRANCE)
Source : https://www.francetvinfo.fr/
Une fresque en hommage à Adama Traoré et George Floyd a été inaugurée le 18 juin dernier à Stains (Seine-Saint-Denis). Le syndicat de police dénonce une mention "calomnieuse" et appelle à un rassemblement.
Le syndicat Alliance 93, majoritaire au sein de la police en Seine-Saint-Denis, a appelé samedi sur ses réseaux sociaux à effacer une phrase associant les termes "racisme" et "violences policières", inscrite sur une fresque en hommage à Adama Traoré, située à Stains.
Le Cercle Aristote vous propose un débat animé par Maxime Le Nagard entre Michel Onfray, philosophe et fondateur de la revue Front Populaire et Julien Aubert, député Les Républicains et fondateur du mouvement Osez La France.
"A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle..."
Anne Hidalgo s'engage à limiter la vitesse des voitures à 30 km/h dans toute la ville si elle est réélue.
Les déclarations du ministre de l’Éducation nationale au Sénat le 18 juin ont provoqué quelques remous. En effet il a déclaré, en réponse à un sénateur : « Cela rejoint une logique de vision complète du temps de l’enfant […]. Je suis de plus e plus favorable à une vision où l’emploi du temps de l’enfant serait vu pas seulement sur les heures de cours, mais aussi à ce qui se passe dans sa vie le mercredi et le week-end, sans qu’on arrive à un Big Brother éducatif, mais simplement à une attention à ce qui se passe »
La Convention climat, qui vient de rendre ses conclusions, suscite des réactions diverses, allant de l’enthousiasme au scepticisme. Pourtant, il ne s’élève aucune voix pour dénier l’importance de l’impératif écologique. Le problème est de savoir si ces 150 citoyens tirés au sort pour présenter aux pouvoirs publics les mesures nécessaires afin de répondre à ce formidable enjeu, ont su être à la hauteur de l’objectif. Pour les uns, le pari a été réussi. Des propositions précises pour réduire de 40 % les émissions de gaz à effet de serre ont été formulées « dans un esprit de justice sociale ». Mais pour d’autres rien de vraiment original n’est sorti de ces délibérations.
La « Convention citoyenne pour le climat » qui vient de s’achever a offert une démonstration presque parfaite des raisons pour lesquelles la « démocratie participative » est une très mauvaise idée, qui devrait être rejetée par tous les véritables amis de la liberté politique.
Le cas de cette « Convention » mériterait désormais de figurer dans tout bon manuel de science politique, à titre de contre-exemple et d’avertissement.
Source : http://www.libertepolitique.com/
Depuis quelques jours nous découvrons avec stupéfaction que notre avenir écologique dans les prochains mois va être défini par les décisions arbitraires d’un panel hétéroclite de 150 citoyens tirés au sort et parés de toutes les vertus pour proposer et engager des réformes en matière d’écologie, tout cela pompeusement qualifié de « Convention citoyenne ».
De quelle citoyenneté parle-t-on ? Que signifie cette mascarade démocratique qui consiste à demander à 150 clampins choisis on ne sait comment de prendre des mesures avec autant d’autorité que des représentants élus ?
Source : https://www.transitionsenergies.com/
Les 150 propositions adoptées le week-end dernier par la Convention citoyenne ressemblent à une compilation d’idées recyclées, de solutions qui n’en sont pas, de pensée magique et parfois, rarement, de bonnes intuitions. Il n’est question nulle part de financements, de conséquences économiques, sociales, politiques, de réalités technologiques et industrielles, d’investissements… Et les sujets qui fâchent, le nucléaire, l’Europe et la taxe carbone, ont été soigneusement évités.