Sur le Cercle Aristote, Romain Bessonnet : Retour sur le Haut-Karabagh (hors-série).
Romain Bessonnet revient sur les tensions entre l'Arménie et Azerbaïdjan dans la région du Haut-Karabagh.
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Romain Bessonnet revient sur les tensions entre l'Arménie et Azerbaïdjan dans la région du Haut-Karabagh.
Le vent a tourné. Il souffle dans la direction des peuples qui ne veulent pas mourir
Cette fois, la Russie a bougé. Alors que l’on s’inquiétait de son attentisme dans la guerre du Haut-Karabagh, elle a frappé un grand coup.
L’aviation russe a, en effet, attaqué et détruit un camp d’entraînement islamiste en Syrie, relate Le Monde. Dans ce camp s’entraînaient des volontaires islamistes de la milice Faylak al-Cham contrôlée par la Turquie.
De 1609 à 1614, après avoir vainement tenté une politique d’assimilation-intégration, l'Espagne procéda à l’expulsion des Morisques (convertis au catholicisme mais demeurant secrètement musulmans), et des Mudéjar (musulmans demeurés en Espagne après la Reconquista). Fernand Braudel a justement écrit à ce sujet qu’ : « II ne s'agit point de savoir si l'Espagne a bien ou mal fait en expulsant les Morisques, mais de savoir pourquoi elle l'a fait. »
Les insultes de Recep Tayyip Erdoğan à l’adresse d’Emmanuel Macron ne sont pas qu’une simple querelle entre deux chefs d’État, un dérapage incontrôlé. Cela va bien au-delà et s’inscrit dans la volonté du nouveau khalife ottoman de prendre la tête d’une croisade islamique contre la France, nation impie et laïque. La politique d’Erdoğan ne peut surprendre que les naïfs qui ont refusé de regarder l’évolution de l’actuel homme fort – pour ne pas dire dictateur – d’Ankara.
Clémentine Autin en 2011. BERTRAND GUAY / AFP
Le média tunisien Meem, proche des Frères musulmans, se sert d'une interview de la députée LFI dans laquelle elle dénonce l’islamophobie de responsables politiques pour alimenter la campagne de boycott des produits français.
Nous voyons s’exciter, depuis quelques temps, devant nous une marionnette à la fois inquiétante et pitoyable, un petit Hitler hystérique, lequel, non content de s’en prendre à nos alliés, en Lybie, en Grèce, en Syrie, en Arménie, se mêle de notre politique intérieure (mesures envisagées sur la réglementation de l’Islam, après la décapitation en pleine rue d’un Français en France) et insulte notre président. Il demande maintenant le boycott des produits français et compare le traitement des musulmans à celui des juifs sous les nazis.
Malgré le cessez-le-feu que les Russes avaient laborieusement fait conclure, il y a quelques jours, entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, les combats se poursuivent dans le Haut-Karabakh. Cette enclave arménienne située en territoire azéri a été conquise par l’Arménie en 1994 et l’Azerbaïdjan rêvait, depuis, de la reconquérir.
Balkans, Chypre, Grèce, Syrie… La Turquie veut redevenir une puissance méditerranéenne. Faut-il la laisser faire ?
Une crise, qui couvait depuis des années, est passée en quelques mois au centre des préoccupations internationales : celle qui oppose la Turquie à la Grèce et à Chypre, et dans laquelle la France se trouve très impliquée. Résumons le contexte. Grecs et Turcs ne sont pas d’accord sur leurs frontières maritimes respectives (eaux territoriales et zones d’exploitation économique exclusives), autour des nombreuses îles grecques qui se trouvent tout près du littoral turc.
Romain Bessonnet décrypte l'affaire Navalny.
Dans le nord du Mali, j’écris depuis des années que le problème n’est pas d’abord celui de l’islamisme, mais celui de l’irrédentisme touareg. Cette donnée de longue durée enracinée dans la nuit des temps se manifeste depuis 1962 à travers des résurgences périodiques[1]. Selon le rapport de force du moment, elle s’exprime sous divers drapeaux. Aujourd’hui, c’est sous celui de l’islamisme.
Les choses bougent en Amérique du Sud, Luis Arce, fidèle d'Evo Morales, vient d'emporter largement les présidentielles en Bolivie, dès le premier tour. L'occasion pour Romain Migus de faire le point sur la situation de ce pays et de ce continent, théâtre historique des affrontements entre forces impérialistes et régimes souverainistes.
Le compte à rebours a commencé, aux États-Unis, et le président sortant est donné largement battu par tous les instituts de sondages : environ dix points, parfois plus, rappelle Le Parisien. L’affaire semble entendue.