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(Pour ceux qui ne pratiquent pas la langue de Cervantès, traduction de ce message, paru sur le site espagnol www.lasexta à la fin de sa retranscription...)
Jugaba en Rusia : el capitán armenio deja el fútbol para ir a la guerra contra Azerbaiyán
Varazdat Haroyan, capitán de la selección de fútbol de Armenia, ha rechazado fichar por el Larissa griego tras recibir un llamamiento de su presidente para reforzar el ejército en la guerra contra Azerbaiyán.
Annie Laurent me l'avait annoncé il y a peu, elle le fait : voici le premier des deux articles qu'elle a publié dans la Petite feuille verte (le n° 74) et nous recevrons courant octobre le second (n°75).
Bonne lecture, et un grand merci à Annie Laurent !
François Davin, Blogmestre
Il est une affirmation qui se répand : il serait inconvenant de désigner l’islam comme une religion, puisqu’il a une conception totalitaire de l’Etat et qu’il légitime la violence et toutes autres pratiques incompatibles avec les principes hérités du christianisme (esclavage, loi du talion, polygamie, dissimulation, etc.). Cependant, l’islam rend un culte à Allah. Dès lors, comment faut-il comprendre ce qui peut sembler contradictoire ? Autrement dit, l’islam est-il, oui ou non, une religion ? Et comment justifier la réponse à donner à cette question ?
Pour clarifier ce nœud complexe, voici deux nouvelles Petites Feuilles Vertes. Dans la première (n° 74), Annie Laurent aborde l’aspect strictement religieux de l’islam. Dans la suivante (n° 75), qui sera envoyée courant octobre, elle examinera la dimension idéologique de l’islam...
On me pardonnera d’évoquer aujourd’hui la campagne présidentielle américaine alors que je rédige cette chronique avant que n’ait eu lieu cette nuit le débat tant attendu entre les deux candidats. Faut-il dire les deux champions ? Peut-être bien, parce que ce débat, par avance, ressemblait à une sorte de pugilat.
Dans un article du mois d’Août, je laissais apparaître mon pessimisme sur le Liban : « Le « peuple » descend dans la rue mais y a-t-il un peuple libanais qui transcende des communautés qui se sont déchirées durant des siècles ? Massacres, attentats, assassinats écrivent la page longue et sombre de l’histoire libanaise. Le communautarisme était évidemment un moindre mal, mais il condamne aujourd’hui le pays à l’impuissance du consensus impossible.
Quotidien des derniers jours d'#Arstakh. Retour aux refuges, aux épreuves bravement surmontées il y a 30 ans. Un chemin vers la victoire bien connu. Face à l'agression azéro-turque l'esprit du peuple d'Artsakh, sa volonté de vivre libre sur sa terre ancestrale est invincible.
Donald Trump a fait son choix et l’a annoncé solennellement, ce samedi, depuis la roseraie de la Maison-Blanche : la juge conservatrice Amy Coney Barrett a été désignée pour remplacer Ruth Bader Ginsburg à la Cour suprême des États-Unis.
Il est un terme qu’affectionnent certains médias, plutôt de sensibilité de gauche ou progressiste, c’est celui d’icône. Ce terme qui appartient au vocabulaire religieux s’est trouvé transposé sur le terrain politico-idéologique. Une icône, aujourd’hui, c’est une personnalité incontestable, un modèle, une référence qu’il serait malvenu de contester. Le plus souvent, il est attribué à une figure féministe, qui a joué un rôle dans l’évolution de la condition de la femme.
Dans le monde moderne envahi d’anglicismes (merci à Radio Courtoisie d’être une sentinelle implacable), il y a le soft power et le hard power pour qualifier certains comportements dans le cadre des relations internationales. Les nouvelles routes de la soie chinoises par exemple constituent une manière pacifique d’étendre sa puissance (soft power). L’invasion de l’Irak par les États-Unis relève bien sûr de la deuxième attitude (hard power).
Avocat belge réputé, Ghislain Dubois revient dans son livre "Les crimes de l'OTAN - Plaidoyer pour les victimes" sur l'opération "Unified Protector" en mars 2011 en Libye. Jusqu'en octobre 2011, l'OTAN a agi, avec ou sans la bénédiction de l'ONU, quitte à violer les résolutions votées par le Conseil de sécurité. Derrière la mort de Kadhafi, se cache une guerre, ni légitime en fait, ni en droit. Et la mort des victimes civiles dont Ghislain Dubois est devenu le défenseur. Il évoque le massacre de Sorman et le bombardement à huit reprises du général Khouildi El Hamidi. Le livre de Ghislain Dubois est en vente à la boutique officielle de TVLibertés (tvlibertes.com).
Dans son discours, le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a répondu à Eric Zemmour. Il a évoqué une “sorte de créolisation” du “peuple français” bénéfique. Le polémiste la condamne sur CNews.