Sur Valeurs Actuelles, comment fonctionnent les élections américaines ?
Grands électeurs, scrutin indirect, campagnes électorales,… Si vous ne savez pas comment fonctionne le scrutin américain, nous vous l’expliquons !
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Grands électeurs, scrutin indirect, campagnes électorales,… Si vous ne savez pas comment fonctionne le scrutin américain, nous vous l’expliquons !
Les combats se poursuivent au Haut-Karabakh et l’armée azerbaïdjanaise poursuit sa progression, malgré une farouche résistance arménienne. Sa supériorité en hommes et en matériel lui a permis de pénétrer dans le territoire proprement dit du Haut-Karabakh et de menacer la ville clé de Chouchi (appelée aussi Shushi).
Dernier bastion de l’armée blanche, durant la guerre civile, qui a opposé les monarchistes et les bolchéviques entre 1917 et 1922, le Grand-duc George Romanov, s’est rendu en Crimée le 31 octobre. L’héritier de la maison impériale a rendu hommage à ces russes qui sont morts pour la sauvegarde de l’idée impériale et a inauguré un monument érigé en mémoire de Nicolas II et de sa famille, victimes de la haine bolchévique.
L’année 2020 aura plongé la planète entière dans une confusion inouïe. On pourrait y voir la principale séquelle de la pandémie qui continue de sévir en Europe, notamment. Certains ne manqueraient pas d’y déceler l’effet délétère du “virus chinois”. Sans verser dans l’hypothèse du complot, force est cependant de constater les trois évolutions politiques majeures qui marquent notre époque, et qui sont à la fois accélérées par le covid et masquées par l’obsession médiatique qu’il a suscitée.
Deux jours après le scrutin de la présidentielle américaine qui oppose Joe Biden à Donald Trump, l'issue demeure incertaine. Le pays paraît plus fracturé que jamais. En cause notamment : l’usage controversé du vote par correspondance... Régis de Castelnau décrypte.
Dans l’incertitude du résultat final de l’élection américaine, une inquiétude sérieuse se fait jour. Pour l’éditorialiste du Monde, la démocratie est en danger, du fait de l’attitude de Donald Trump, intervenant de façon brutale dans le processus électoral. Il est vrai que pour le quotidien progressiste, le président américain ne fait que poursuivre sa trajectoire, celle qui bouleversé complètement le jeu politique depuis quatre ans. De ce point de vue, on ne peut qu’accorder le caractère atypique – le mot est faible – de Donald Trump.
Le combat de coqs que se livrent actuellement Coquefredouille* et Coqueplumet** n’est pas à la hauteur du pays qu’ils représentent, c’est triste à voir !
Transformer leurs États en gallodromes pour s’y battre comme des chiffonniers est indigne d’eux.
Paradoxalement, il faut savoir, que le combat de coqs est interdit au Pays de l’Oncle Sam ! Interdit pour les animaux, pas pour les humains !
Plusieurs dizaines de djihadistes ont été mis « hors d’état de nuire », le 30 octobre dernier, a annoncé Florence Parly, ministre des Armées, au cours d’une conférence de presse. L’opération, qualifiée « d’opportunité » (autrement dit, non planifiée mais en réaction immédiate à un renseignement), a mobilisé d’importants moyens : avions de chasse, drones (enfin utilisés !), hélicoptères et commandos au sol.
« Nous croyons en Dieu », la devise américaine.
© roszred / Pixabay
L’élection présidentielle américaine est sans aucun doute celle qui nous passionne le plus, en dehors de nos frontières, en raison, bien sûr, du rôle prééminent que continuent à jouer les États-Unis dans le monde. Il se trouve, par ailleurs, que l’élection surprise de Donald Trump il y a quatre ans a affolé nos sismographes, parce que, de toute façon, des bouleversements profonds étaient intervenus pour permettre l’avènement d’un personnage en dehors des normes.
A quelques heures du résultat des élections présidentielles américaines, Front Populaire fait un point sur la situation. Rejet de Trump, affaire "Hunter Biden", conséquences pour l'Europe... un décryptage en compagnie d'André Bercoff et Franz-Olivier Giesbert.
Philippe Rossi avec Philippe Bilger, Philippe David et Françoise Degrois.
Nous n'avons ni à nous réjouir ni à nous lamenter du résultat de l'élection présidentielle aux États-Unis, pays évidemment souverain, dans les affaires intérieures duquel nous n'avons pas à nous ingérer. Et, de toutes les manières, le Président élu agira en fonction des intérêts de son pays, ce qui est bien naturel : tous les pays du monde font la même chose, il n'y a que notre république idéologique, notre Nouvelle Religion Républicaine pour agir non pas en fonction de l'intérêt national, du Bien commun, mais en fonction de ses nuées, de ses chimères, le plus souvent directement opposées à nos intérêts supérieurs...