USA/TRUMP : Bis repetita placent ? Après l'immense claque de 2016, celle de 2020 pour la cléricature médiatique ?
Nous n'avons ni à nous réjouir ni à nous lamenter du résultat de l'élection présidentielle aux États-Unis, pays évidemment souverain, dans les affaires intérieures duquel nous n'avons pas à nous ingérer. Et, de toutes les manières, le Président élu agira en fonction des intérêts de son pays, ce qui est bien naturel : tous les pays du monde font la même chose, il n'y a que notre république idéologique, notre Nouvelle Religion Républicaine pour agir non pas en fonction de l'intérêt national, du Bien commun, mais en fonction de ses nuées, de ses chimères, le plus souvent directement opposées à nos intérêts supérieurs...
Cependant, s'il est encore trop tôt pour "donner" Trump vainqueur, il y a bien une chose que nous pouvons faire, comme en 2016, c'est nous réjouir de cette "immense claque" donné à la morgue, à la suffisance, à l'arrogance, toutes également "imbuvables", si l'on nous permet l'expression, de notre caste journalistique, aussi prétentieuse que, décidément, mal inspirée dans ses pronostics ! Leur "immense vague bleue", leurs "dix à douze points d'avance pour Biden dans tous les sondages et dans tous les cas de figure", cela et d'autres fadaises du même tonneau, c'est... c'était... "du pipeau" : quelque chose nous dit qu'il va y avoir quelques licenciements, ici ou là, dans les instituts de sondage et les rédactions, non ?
Je ne résiste pas au plaisir de vous redonner le petit billet que j'avais passé le 10 novembre 2016, il y a quatre ans, lorsque nous nous étions tous couchés en tenant Hillary Clinton comme l'élue (les médias nous l'avaient tellement seriné !); et ce n'est qu'au réveil que nous apprenions (ce fut, d'ailleurs, la même chose pour le Brexit...) que finalement c'était Trump, l'élu (comme, pour le Brexit, alors que la victoire du "remain" avait été proclamée sur toutes les ondes).
Voici ce court billet : remplacez seulement "Hillary " par "Joe" !
François Davin, Blogmestre
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