Éditorial essais de septembre : le monde d’avant n’aura pas lieu, par Rémi Lélian.
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© Maria Teneva – Unsplash
Le monde d’avant n’aura pas lieu, ni celui de demain d’ailleurs ; pour la raison que ni l’un ni l’autre n’existent autrement que dans la représentation fantasmatique que nous en avons et qui nous fait regretter l’un et craindre l’autre. Regretter quoi d’ailleurs ?