Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
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Double buteur face à l’Australie ce mardi soir pour l’entrée en lice des Bleus à la Coupe du monde, Olivier Giroud a inscrit ses 50ème et 51ème buts en sélection. Avec ce doublé, il devient co-meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France, à égalité avec Thierry Henry. Un but supplémentaire et il sera le meilleur buteur de France... Gageons que ce Mondial, qu'il commence si bien, lui permettra de le devenir !
Et dire qu'il n'aurait probablement pas joué si un autre avait pris sa place !
A l’affiche : La Conspiration du Caire de Tarik Saleh, avec Tawfeek Barhom (Adam) et Fares Fares (le colonel Ibrahim), un film suédois, comme rien ne l’indique.
La Conspiration du Caire… le synopsis avait attiré mon attention et des neveux me l’ont recommandé. Désolé de devoir leur dire que ce long métrage dure 2 heures, et que je ne le recommande pas. Leur tante, d’ailleurs, encore moins que moi qui, d’habitude, est davantage vigilante et plus compréhensive. Il semble, en l’occurrence, que la VO de cette Vostf lui ait été insupportable. Moi, c’est la Vostf qui me rebute, ne sachant pas à la fois regarder l’image et lire le texte.
« C’est à la fois très simple et très compliqué » nous rabâche vainement le Capitaine Haddock au pays de l’or noir, incapable de poursuivre son propos.
De même ce scénario nous a paru compliqué pour une histoire apparemment simple, à savoir l’intervention du gouvernement égyptien qui veut empêcher l’élection d’un imam proche des Frères musulmans à la tête de l’université sunnite, Al-Azhar, du Caire. J’ai personnellement été impressionné par l’allure militaire, ordre et discipline, de cette école coranique avec tous ces étudiants en rang et « en uniforme »… Malgré leur air pacifique, on se dit que le Djihad n’est pas loin.
Le bâtiment est magnifique, mais il s’agit en fait de la Mosquée Süleymanye d’Istanbul puisque le réalisateur est interdit de séjour en Égypte (où les OQTF sont appliquées). Cela date de 2015, quand il allait commencer à y tourner son précédent film Le Caire confidentiel sur la corruption de la police, réalisation dont je disais déjà que j’aurais pu ne pas la voir !
Bis repetita.
ALLEZ LES BLEUS !
Pas un mot à retirer sur ce que nous écrivions ici-même, sur Olivier Giroud, un grand sportif, un vrai !
Pas de marabout, de salaire délirant et indécent, de frasques en tous genres, de vidéos intimes/graveleuses, de déclarations indignes sur la France... mais tout le contraire !
Les jambes, mais aussi - mais surtout ! - la tête !...
• Les jambes et surtout la tête : Olivier Giroud, un champion et une personnalité...
A l’affiche : Les Amandiers, un film de Valeria Bruni Tedeschi, avec Sofiane Bennacer (Étienne) et Nadia Tereszkiewicz, à savoir Stella, en fait Valeria Bruni Tedeschi qui filme ses souvenirs des années 80 à Nanterre, étudiante aux Amandiers dont Pierre Romans est le directeur de l’école, et Patrice Chéreau directeur du théâtre, interprétés respectivement par Micha Lescot et Louis Garrel.
« L’important, c’est le travail (…) et je vous le dis tout de suite, je pourrai pas être démocratique avec vous ».
Comment ne pas applaudir à ces propos introductifs de Patrice Chéreau, qui continue « C’est pas un passe-temps de jouer, c’est pas… rien » !
"Dessine-moi un mouton"... Aux Louveteaux, tout d'abord, j'ai commencé par mimer Le Petit Prince, puis j'ai interprété le renard dans Les Animaux malades de la peste (...)
"et flatteurs d'applaudir".
Au lycée, j'ai joué notamment du Courteline, traduit devant les tribunaux pour avoir, à Notre-Dame de Lorette, "vendu du cresson pour du buis".
Plus tard, adulte et père de famille, j'ai participé à une troupe de théâtre amateur, m'incarnant dans différents rôles, du Docteur Parpalaid, dans Knock, jusqu'à du René de Obaldia et de l'Anouilh, dans La Belle vie où j’étais un commissaire du peuple... ce qui m'a conduit, naturellement, comme dans la comedia del arte, à abandonner la scène pour une autre comédie, les bancs d'un Conseil Régional, à "l'extrême droite" évidemment.
Maintenant, à ma manière, je "commente" des films.
J'ai, au fond de moi, toujours regretté de ne pas avoir étudié l'art dramatique pour devenir acteur.
J'en veux aujourd'hui à Valeria Bruni Tedeschi de détruire mes rêves d'une autre vie.
Comment aurais-je pu me perdre dans cette école des Amandiers ? "Que diable (serais-je) allé faire dans cette galère" ? "Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère " pour aller me vautrer dans celle putride de ces étudiants avec lesquels je ne partage rien ?
Sex and love, drogue, sida, tout le monde couche avec tout le monde, hétéros et homos... c'est le triste univers dans lequel nous immerge la réalisatrice.
Mon épouse a davantage apprécié que moi ce long métrage d'ambiance (plus de 2 H), tout en regrettant de ne pas voir en entier le Platonov de Tchékhov autour duquel s'exercent ces apprentis comédiens.
Moi, j'ai la tristesse des illusions perdues... mais ça, c'est une autre histoire, un autre film sur la comédie humaine.
De Guillaume Bigot, sur les associations qui aident les migrants mineurs isolés : "C’est la première fois dans l’histoire qu’un pays finance sa propre invasion..." :
(extrait vidéo 3'03)
https://twitter.com/CNEWS/status/1594250827224555521?s=20&t=9JnQtG9oVvcV6Dwyinr11Q
Annonce du semble-gouvernement (qui a fermé Fessenheim, 5% de la production d'élélectricité française !) : rien à craindre, à priori (?), pour novembre et décembre. Merci, la météo et les températures relativement clémentes ! À quoi en sommes-nous réduits, par le Système de folie, en folie ! Par contre, risque sévère de "délestage" pour janvier : "délestage", mot poli et savant pour dire : COUPURE, UN POINT C'EST TOUT ! DÉBROUILLEZ-VOUS ET CIRCULEZ, Y'A RIEN À VOIR !
Merci, Borne ! Merci Macron !
Et nos chers ennemis allemands du quatrième Reich ont déjà prévenu : ils ne livreront pas d'électricité à la France. Conclusion : le risque de panne est énorme pour janvier (et février). Tout cela pour un simple caprice : la fermeture de Fessenheim, centrale ultra sûre et ultra moderne, qui pouvait servir encore dix ans au moins; par calcul stupide et bassement politicard, un cadeau insensé fait à des escrolos qui ne représentent guère plus que leur cinglerie. Le Pays légal a cassé EDF, et avec le projet Hercule, Macron prépare l'achèvement du démantèlement de notre électricien...
A l’affiche : Armageddon Time, un film américain de James Gray, avec Anthony Hopkins (le grand-père Aaron Rabinowitz), Jeremy Strong et Anne Hathaway (son gendre et sa fille, Irving et Esther Graff), Ryan Sell et Banks Repeta (ses deux petits-fils, Ted et Paul), et Jaylin Webb (Johnny Davis, le copain de Paul).
Armageddon Time… Un titre prétentieux, qui signifie l’heure de la bataille finale entre le Bien et le Mal, pour un film de série B, dont le premier et dernier propos sont de ne pas vouloir vivre l’élection de Ronald Reagan… en intégrant dans le scénario, comme persona grata d’une école privée, Fred et Maryanne Trump, parents de Donald…
J’ai lu que le réalisateur raconte son enfance dans une famille d’origine juive, de la classe moyenne à New York, où persiste un certain racisme à l’égard des « nègres » (en VF).
Les parents semblent débordés par l’insolence et la désobéissance de leurs enfants et, en fait, je suis sorti en me demandant ce que voulait nous dire James Gray.
Malgré l’avis favorable de mon épouse, ce long métrage, qui dure près de deux heures, ne me paraît pas susceptible de ramener le public dans les salles obscures… le CGR et l’Apollo de Châteauroux y tiennent-ils d’ailleurs qui nous ont indiqué que le Reste un peu de Gad Elmaleh n’était pas prévu à l’affiche…
L’édito politique d’Alexis Brezet sur Europe1 (avec Dimitri Pavlenko), dit l'essentiel : la "relation personnelle" avec Poutine n’a rien donné; en Afrique, la France se fait tailler des croupières; en Algérie, notre main toujours tendue n’est jamais saisie; au Liban, l’Histoire s’écrit sans nous; en Europe, la rupture avec l’Allemagne est consommée…
(extrait vidéo 4'0")
https://twitter.com/abrezet/status/1593152946841489410?s=20&t=dD34OjNB9RBK0B3ZEiuDfA
• La vérité, c'est que (pour re-citer Alexis Brézet) : "...Un pays criblé de dettes, de déficit, un pays malade de sa désindustrialisation, de son immigration est un pays dont l’influence décline dans le monde"...
• La vérité, c'est ce qu'a dit Ernest Renan dans son discours prononcé sous la Coupole, le 21 février 1889, à propos de la célébration du centenaire de 1789 :
"...Si, dans dix ou vingt ans, la France est toujours à l’état de crise, anéantie à l’extérieur, livrée à l’intérieur aux menaces des sectes et aux entreprises de la basse popularité, oh ! alors, il faudra dire que notre entraînement d’artistes nous a fait commettre une faute politique, que ces audacieux novateurs, pour lesquels nous avons des faiblesses, eurent absolument tort. La Révolution, dans ce cas, serait vaincue pour plus d’un siècle. En guerre, un capitaine toujours battu ne saurait être un grand capitaine : en politique, un principe qui, dans l’espace de cent ans, épuise une nation, ne saurait être le véritable..."