Au Cinéma : Revoir Paris, par Guilhem de Tarlé
A&C : Revoir Paris, un film français de Alice Winocour, avec Virginie Efira (Mia), Grégoire Colin (Vincent, son « compagnon ») et Benoît Magimel (Thomas).
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A&C : Revoir Paris, un film français de Alice Winocour, avec Virginie Efira (Mia), Grégoire Colin (Vincent, son « compagnon ») et Benoît Magimel (Thomas).
Quand Gilles-William Goldnadel tacle PapNdiaye, à bon droit, et lui donne la claque qu'il a bien méritée, à propos de sa scandaleuse déclaration aux USA :
"C'est une déclaration malveillante et sotte. Ce n'est pas l'extrême-droite qui a pondu en France le racialisme obsessionnel, c'est au contraire l'extrême-gauche."
Ce ministre est un ministre de guerre civile ! Il n'agit pas en personne venant instruire les enfants mais en militant politique dangereux, tenant un discours de haine. Il aurait mieux fait, plutôt que d'élucubrer depuis des années, de lire Bainville et sa magistrale Histoire de France, dont le premier paragraphe du premier chapitre s'achève sur ces mots, qui démolissent les cingleries du pauvre semble-ministre :
"...La tradition des druides enseignait qu’une partie des Gaulois était indigène, l’autre venue du Nord et d’Outre-Rhin, car le Rhin a toujours paru la limite des Gaules. Ainsi, la fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation..."
(https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_de_France_(Jacques_Bainville)/Chapitre_I)
(extrait vidéo 0'57)
https://twitter.com/wnicolasf/status/1572657452243648512?s=20&t=08oJ9Y7iWUkBEEwt3HqOzQ
Et en plus, non content d'être un pyromane haineux envers la France, ce semble ministre qui tient des propos misérables est un fieffé hypocrite, qui méprise à ce point le Ministère qu'il est censé diriger, les principes et idéaux qu'il est censé promouvoir, le savoir qu'il est censé dispenser, qu'il met ses enfants... dans le privé !
Scandaleux, révoltant jusqu'au bout !
Zemmour a raison : parlons français, parlons clair :
A l’affiche : Canailles, un film français de Christophe Offenstein, avec François Cluzet (Antoine), José Garcia (le professeur d’Histoire, Elias Leblanc) et Doria Tillier (Lucie),
adapté du roman anglais « Une canaille et demie », de Lain Levison (2006).
Vous lirez ci-après la charge de notre ami Marc Rousset sur la von der Leyen.
Mais, voici que l'on apprend que la députée Virginie Joron envisage une procédure pénale contre celle qui se rêve, dans ses fantasmes, comme la reine de l'Europe ou la présidente de ses États désunis... :
Von der Leyen se prend pour la Présidente des États-Unis d’Europe lorsqu’elle déplace à Kiev pour déclarer aux côtés de Volodymyr Zelensky : « Vous aurez vos amis européens à vos côtés aussi longtemps qu’il le faudra ». Et le bouquet, c’est lorsque lors d’un entretien avec la chaîne de télévision Bild, elle se permet de plaider d’une façon très narcissique en faveur d’une comparution du président russe, véritable chef d’Etat, ce qu’elle n’est pas, devant la justice internationale : « Il faut que Poutine perde cette guerre et réponde de ses actes, c’est très important pour moi ».
Von der Leyen est victime de l’hubris des dirigeants occidentaux qui croient qu’une hirondelle fait le printemps : la victoire chanceuse et tactique de l’OTAN plus que de l’Ukraine dans le cul de sac de Kharkiv, sans grand intérêt stratégique véritable, après une défaite sanglante dans la très stratégique région de Kherson, avec en outre 2000 soldats ukrainiens tués et quatre fois plus de blessés à Kharkiv par l’aviation et l’artillerie russe, ne va pas mener les Ukrainiens jusqu’à Moscou !
A l’affiche : A propos de Joan, un film français de Laurent Larivière, avec Isabelle Huppert et Freya Mavor (Joan Verra).
Labourance et pâturance
Inconscients que nous étions ! Nous batifolions avec insouciance au milieu de l’abondance sans nous rendre compte que nous vivions les dernières heures d’un fragile et égoïste bonheur. Mais Macron est venu nous avertir.
Le prophète du malheur français, entre deux repentances africaines, nous a expliqué que nous allions accoucher d’un nouveau monde, dans la douleur. Mais une noble douleur ! Une douleur de progrès, une douleur de générosité, une douleur d’avenir ! Une douleur électrique, citoyenne, responsable et durable ! On n’est pas chez les Capétiens, les gars, nous a expliqué, le regard écarquillé, le prophète de l’Union européenne. La suite ICI
Cliquez sur l'image pour l'agrandir et pouvoir lire le texte...
"Tout le mensonge est en train de s'effondrer devant nos yeux" : l'intervention saisissante d'Alexis Poulin :
(extrait vidéo 2'01)
https://twitter.com/Planetes360/status/1572103605196587010?s=20&t=gZLKuZ6I8993d9YaSJc1Lw
Mais, qui préside à ce "retour à la toute puissance de la bourgeoisie du XIXème" (héritière de celle du XVIIIème, qui a fait la Révolution) ? Le Système, évidemment, la République idéologique, établie par ces bourgeois "encyclopédistes" qui ont renversé notre Royauté traditionnelle pour établir le règne de l'Argent-Roi, c'est-à-dire leur règne, à eux; le règne de "leur" Argent. Ce que Maurras appelait la lutte des "forces du Sang" (Royauté, Église, Culture, Moeurs et Traditions...) contre les "Forces de l'Or" (dans L'Avenir de l'Intelligence).
Pour l'instant, et depuis 1875 (quand ces bourgeois ont fait échouer la restauration monarchique) l'Or est au pouvoir, il a pris le dessus et les apparences nous sont contraires : nos forces, celles du Sang, paraissent vaincues.
Mais, tant qu'il reste du temps, on peut voir ce Système s'effondrer sur lui-même, victime de ses propres "imperfections en politique" (pour reprendre l'expression de Chateaubriand), victime de ses propres erreurs et folies, sclérosé et comme pétrifié par sa propre idéologie mortifère, mortifère envers lui également. Comme cela s'est passé pour l'URSS, qui semblait toute puissante quelques années avant son effondrement cataclysmique).
Alors, oui, malgré les apparences qui nous sont contraires, aujourd'hui, plus que jamais, Boutang a raison :
"...Notre société n'a que des banques pour cathédrales; elle n'a rien à transmettre qui justifie un nouvel “appel aux conservateurs”; il n'y a, d'elle proprement dite, rien à conserver. Aussi sommes-nous libres de rêver que le premier rebelle, et serviteur de la légitimité révolutionnaire, sera le Prince chrétien."
À BAS CE SYSTÈME QUI TUE LA FRANCE !
VIVE LA FRANCE, ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,
VIVE LE ROI !
A l’affiche : Citoyen d’honneur, un film français de Mohamed Hamidi, avec Kad Merad (Samir Amin), Fatsah Bouyahmed (Miloud), Oulaya Amamra (Selma)et Jamel Debbouze (le gardien du cimetière),
adapté – un « remake » en franglais – d’un film argentin éponyme de 2016, par le réalisateur du bon La Vache de la même année 2016.
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Ça barde à LFI : "il y a le feu au lac", écrivions-nous ici-même il y a quelques semaines, lorsque Coquerel fut accusé par l'inquisitorial "mitou". Il n'a pas démissionné de son poste de Président de la Commisssion des Finances de l'Assemblée, qui devait revenir au Rassemblement national et au très compétent Jean-Philippe Tanguy, mais, avez-vous remarqué comme il est calme, discret, silencieux, lui qui, avec les pouvoirs qu'il a, peut débarquer n'importe quand chez n'importe qui pour vérifier ce que bon lui semble ? On pensait que, au parti des Enragés qu'est LFI, cette puissance promettait moult grabuge : "que nenni !", comme dit "le Z", notre Coquerel reste coi, à tel point qu'il ne faut plus l'appeler "Coquerel" mai "Coi-Querel"... Il est vrai que lorsque le gros matou "mitou" vous a dans le collimateur, il vaut mieux rester dans son trou de souris !
Quand nous avons écrit, donc, qu'il y avait "le feu au lac" à LFI, c'était aussi le moment ou "mitou" venait d'avoir la peau du sinistre Tahar Bouhaf, qui avait osé se promener dans les rues lors d'une manif avec, au bout d'une pique, un chiffon/poupée représentant la tête de Marine Le Pen. Ce sinistre personnage était investi par LFI, mais dut reculer devant "mitou" après la révélation de ses agressions sexuelles sur de nombreuses femmes et LFI lui retira l'investiture : depuis il "monte" tous les musulmans qu'il peut contre Mélenchon et sa clique en particulier, contre LFI en général. Ce qui est très dangereux pour ce parti qui, c'est bien connu, capte 70% du vote musulman...
Ces affaires semblaient donc, depuis lors, comme recouvertes d'une sorte de sarcophage, "à la Tchernobyl", et on n'entendait, à priori, plus trop parler de rien. Patatras : voilà qu'Adrien a giflé Céline ! Et "mitou", du coup, de se réveiller de sa torpeur, de sortir ses griffes et de prendre son visage menaçant des mauvais jours, ceux où il va sauter et attaquer en griffant de partout.
D'autant plus que Méluche a cru bon, dans un premier temps de tweeter - en substance - "ça va, c'est bon, Adrien a craqué mais il reconnaît les faits et donc, ça va, c'est bon...". Sauf que, justement, ça ne va pas du tout et ce premier tweet - calamiteux, il faut bien le reconnaître - a suscité l'indignation générale, dans et hors LFI. À tel point que Méluche a du faire un second tweeet, où là, s'il réaffirme son"affection" (?) pour Quattenens, il admet qu' "une gifle est inacceptable dans tous les cas" : trop tard, le mal est fait et "mitou" se déchaîne, des inévitables Caroline de Haas et Clémentine Autain à l'inénarrable Sandrine Rousseau, en passant par Manon Aubry soi-même, porte-parole de LFI - excusez du peu ! - qui dit carrément "La parole de Mélenchon n'est pas celle de LFI".
Alors, là, n'en jetez plus ! Venant du sein même du parti, ce propos-qui-tue fait qu'on est passé du "feu au lac" à l'éruption du Piton de la fournaise !
Que va-t-il se passer, maintenant ? Il est probable que "les lignes vont bouger", que du monde va quitter LFI (scissions ou adhésions à d'autres partis...) et que la NUPES, qui a déjà du plomb dans l'aile (elle en avait dès le premier jour, d'ailleurs...) va se trouver fragilisée : elle avait déjà le coco-pour-un-peu-sympa, Roussel, à gérer, elle doit maintenant faire face aux turbulences de LFI en proie au cataclysme "mitou" et, pourquoi pas, à son implosion prochaine : ce matin, à 6h45, France info nous a appris que les éléphants du PS (emmenés par Stéphane Le Foll, entre autres) voulaient "renverser" (sic !) Faure et le virer du Secrétariat du PS pour rebâtir, à partir de ce même PS (on peut toujours rêver !!!!!) la force dirigeante et "inspirante" de la nouvelle gauche...
Ce n'est pas nous qui nous plaindrons si l'héteroclite NUPES et ce parti d'enragés qu'est LFI explosent, à cause de dissensions internes prévisibles et de... "mitou" !
Ce serait une sorte de version moderne de "l'arroseur arrosé", en quelque sorte : le parti du gifleur... giflé !
Dans mon ouvrage « Comment sauver la France/Pour une Europe des nations avec la Russie » je défends et démontre l’idée jamais lue, jamais vue, jamais entendue, comme quoi la France, depuis 40 ans, gaspille chaque année, au minimum, le chiffre énorme de 200 miliards d’euros de dépenses publiques.
La France doit prioritairement redresser ses finances publiques en intervenant prioritairement sur les trois premiers postes de dépenses suivants :
1) l’immigration (coût annuel de 84 milliards d’euros, selon Polémia);
2) la sur-administration inefficace en France avec le trop grand nombre ahurissant de 5,6 millions de fonctionnaires (2 millions de fonctionnaires en trop selon Agnès Verdier-Molinié, soit un coût de 84 milliards de plus par rapport à la moyenne de l’OCDE et 97 milliards de plus par rapport à l’Allemagne (3 millions seulement de fonctionnaires en Allemagne pour un pays de 83 millions d’habitants);
3) Les retraites, avec le retour de la retraite à 65 ans, supprimée stupidement et démagogiquement par Mitterrand en 1981, avec la fin des régimes spéciaux et des subventions pour la retraite des fonctionnaires, soit un gain d’environ 50 milliards d’euros