Corse : LA FÉDÉRATION, Mouvement fédéraliste français, communique...
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Scandale Mac Kinsey : d'accord avec Gilbert Collard... :
"En mars 2017, le Parquet National Financier faisait du zèle sur l'affaire Fillon : il doit immédiatement se saisir du #McKinseyGate, scandale d'État oh combien plus important qu'une assistante et quelques costards !"
Zemmour veut un "Ministère de la Remigration" : expulser en masse ceux dont nous ne voulons pas, oui, c'est possible !...
L'expulsion des morisque d'Espagne en est une preuve parfaite. En mai, juin et juillet 2009, lafautearousseau a "raconté" comment l'Espagne, envahie en 711 par les tribus maures d'Afrique du Nord, avait réussi, après huit siècles de lutte, tout de même, à chasser l'envahisseur musulman du pays. Et se retrouvait victorieuse - enfin ! - en 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques, de cette immense guerre entre la Croix et le Croissant.
Aujourd'hui, Zemmour parle d'une expulsion de masse des gens dont nous ne voulons pas chez nous.
Et bien entendu les bonnes consciences du migrantisme/sans-papierisme hurlent à l'horreur absolue, et disent que, de toutes façons, cela ne se fera pas car, disent-ils, ce serait impossible.
Faux et archi-faux : expulser une masse importante d'un corps étranger à un pays est parfaitement possible : une preuve ? Les Espagnols l'ont fait, en 1609, sous le règne du roi Philippe III, qui décida d'expulser les 500.000 Morisques (descendants des envahisseurs, mais restés en Espagne). La population de l'Espagne était, alors, de huit millions d'habitants. Un rapide calcul montre donc - "à la louche", et si l'on ramenait ces chiffres à la France d'aujourd'hui - qu'il y a huit fois plus d'habitants dans la France d'aujourd'hui que dans l'Espagne de Philippe III; le nombre des expulsés s'élèverait donc à huit fois plus, soit quatre millions de personnes !...
Approuvant sans réserve la proposition d'Éric Zemmour, lafautearousseau va donc redonner, cette semaine, et au rythme de un par jour, chacun des six épisodes de cette sorte de feuilleton, écrit il y a treize ans maintenant, et qui témoigne de la constance de notre position sur ce sujet : le point de départ en est une réponse à un lecteur, qui devint, finalement, prétexte à une sorte de présentation d'ensemble de la lutte titanesque entre la Croix et le Croissant, commencée par les invasions musulmanes à partir de l'hégire... Nous avons décidé de ne rien changer à cette série, pas un mot, même si tous les articles ne se réfèrent pas, directement, à la proposition de Zemmour, aujourd'hui... C'est, en quelque sorte, un "document d'archives" !...
Aujourd'hui : 2/6...
1. "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...
3. "Les expulser, oui, mais pour où ?" (3/6) : Un exemple historique, l'expulsion des Morisques d'Espagne en 1609...
4. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
5. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
6. "Les expulser, oui, mais pour où ?...": Une défense des Croisades, par Chateaubriand...(6/6)
À l’affiche : Belfast, un film anglais de Kenneth Branagh, avec Jude Hill (Buddy), Jamie Dornan, Caitrona Balfe, Ciaran Hinds et Judie Dench (respectivement ses père, mère, grand-père et grand-mère)
GRAND TEXTE (48) :
D'où vient la France ? Éloge des Celtes, qui ont su saisir la chance de la romanisation...
par Charles Maurras et Jacques Bainville
Il s'agit donc bien d'une fusion, au meilleur sens du terme, entre deux grands peuples, d'une addition de leurs qualités, en quelque sorte, et non simplement de la conquête des uns (les Celtes) par les autres (les Romains), quelles que soient les qualités intrinsèques de ces derniers et ce qu'ils apportaient de bon et de fécond...
Le trésor qu'apportaient les romains n'a pu fructifier à ce point que parce qu'il tombait sur une terre tout à fait apte et disposée à le recevoir et à le faire produire au centuple.
C'est ce que dit fort bien Jacques Bainville, dès les premières lignes de sa magistrale Histoire de France :
"La fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. Le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une nation..."
Voilà pourquoi, à partir de Jules César, conquérant des Gaules, qui a mis rudement les deux peuples en contact, nous évoquerons d'abord, avec Jacques Bainville, l'apport romain dans cette merveilleuse fusion de deux peuples. Mais, sitôt après, nous lirons un beau texte de Charles Maurras, exaltant les vertus ancestrales et la grandeur évidente de ces Celtes, sans lesquels, redisons-le, rien de ce à quoi l'on a assisté par la suite ne se serait passé de la même façon...
GRAND TEXTE (48) :
D'où vient la France ? Éloge des Celtes, qui ont su saisir la chance de la romanisation...
par Charles Maurras et Jacques Bainville
Il s'agit donc bien d'une fusion, au meilleur sens du terme, entre deux grands peuples, d'une addition de leurs qualités, en quelque sorte, et non simplement de la conquête des uns (les Celtes) par les autres (les Romains), quelles que soient les qualités intrinsèques de ces derniers et ce qu'ils apportaient de bon et de fécond...
Le trésor qu'apportaient les romains n'a pu fructifier à ce point que parce qu'il tombait sur une terre tout à fait apte et disposée à le recevoir et à le faire produire au centuple.
C'est ce que dit fort bien Jacques Bainville, dès les premières lignes de sa magistrale Histoire de France :
"La fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. Le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une nation..."
Voilà pourquoi, à partir de Jules César, conquérant des Gaules, qui a mis rudement les deux peuples en contact, nous évoquerons d'abord, avec Jacques Bainville, l'apport romain dans cette merveilleuse fusion de deux peuples. Mais, sitôt après, nous lirons un beau texte de Charles Maurras, exaltant les vertus ancestrales et la grandeur évidente de ces Celtes, sans lesquels, redisons-le, rien de ce à quoi l'on a assisté par la suite ne se serait passé de la même façon...
"Front populaire" présente le programme commun des Souverainistes (270 propositions pour changer la vie dans notre pays) :
Zemmour veut un "Ministère de la Remigration" : expulser en masse ceux dont nous ne voulons pas, oui, c'est possible !...
L'expulsion des morisque d'Espagne en est une preuve parfaite. En mai, juin et juillet 2009, lafautearousseau a "raconté" comment l'Espagne, envahie en 711 par les tribus maures d'Afrique du Nord, avait réussi, après huit siècles de lutte, tout de même, à chasser l'envahisseur musulman du pays. Et se retrouvait victorieuse - enfin ! - en 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques, de cette immense guerre entre la Croix et le Croissant.
Aujourd'hui, Zemmour parle d'une expulsion de masse des gens dont nous ne voulons pas chez nous.
Et bien entendu les bonnes consciences du migrantisme/sans-papierisme hurlent à l'horreur absolue, et disent que, de toutes façons, cela ne se fera pas car, disent-ils, ce serait impossible.
Faux et archi-faux : expulser une masse importante d'un corps étranger à un pays est parfaitement possible : une preuve ? Les Espagnols l'ont fait, en 1609, sous le règne du roi Philippe III, qui décida d'expulser les 500.000 Morisques (descendants des envahisseurs, mais restés en Espagne). La population de l'Espagne était, alors, de huit millions d'habitants. Un rapide calcul montre donc - "à la louche", et si l'on ramenait ces chiffres à la France d'aujourd'hui - qu'il y a huit fois plus d'habitants dans la France d'aujourd'hui que dans l'Espagne de Philippe III; le nombre des expulsés s'élèverait donc à huit fois plus, soit quatre millions de personnes !...
Approuvant sans réserve la proposition d'Éric Zemmour, lafautearousseau va donc redonner, cette semaine, et au rythme de un par jour, chacun des six épisodes de cette sorte de feuilleton, écrit il y a treize ans maintenant, et qui témoigne de la constance de notre position sur ce sujet : le point de départ en est une réponse à un lecteur, qui devint, finalement, prétexte à une sorte de présentation d'ensemble de la lutte titanesque entre la Croix et le Croissant, commencée par les invasions musulmanes à partir de l'hégire... Nous avons décidé de ne rien changer à cette série, pas un mot, même si tous les articles ne se réfèrent pas, directement, à la proposition de Zemmour, aujourd'hui... C'est, en quelque sorte, un "document d'archives" !...
Aujourd'hui : 1/6...
1. "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...
2. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(2/-6) : Peut-on être déchu de la nationalité française ? Que dit la Loi actuelle ?...
3. "Les expulser, oui, mais pour où ?" (3/6) : Un exemple historique, l'expulsion des Morisques d'Espagne en 1609...
4. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
5. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
6. "Les expulser, oui, mais pour où ?...": Une défense des Croisades, par Chateaubriand...(6/6)
Zemmour veut un "Ministère de la Remigration" : expulser en masse ceux dont nous ne voulons pas, oui, c'est possible !...
L'expulsion des morisque d'Espagne en est une preuve parfaite. En mai, juin et juillet 2009, lafautearousseau a "raconté" comment l'Espagne, envahie en 711 par les tribus maures d'Afrique du Nord avait réussi, après huit siècles de lutte, tout de même, à chasser l'envahisseur musulman du pays. Et se retrouvait victorieuse - enfin ! - en 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques, de cette immense guerre entre la Croix et le Croissant.
Aujourd'hui, Zemmour parle d'une expulsion de masse des gens dont nous ne voulons pas chez nous.
Et bien entendu les bonnes consciences du migrantisme/sans-papierisme hurlent à l'horreur absolue, et disent que, de toutes façons, cela ne se fera pas car, disent-ils, ce serait impossible.
Faux et archi-faux : expulser une masse importante d'un corps étranger à un pays est parfaitement possible : une preuve ? Les Espagnols l'ont fait, en 1609, sous le règne du roi Philippe III, qui décida d'expulser les 500.000 Morisques (descendants des envahisseurs, mais restés en Espagne). La population de l'Espagne était, alors, de huit millions d'habitants. Un rapide calcul montre donc - "à la louche", et si l'on ramenait ces chiffres à la France d'aujourd'hui - qu'il y a huit fois plus d'habitants dans la France d'aujourd'hui que dans l'Espagne de Philippe III; le nombre des expulsés s'élèverait donc à huit fois plus, soit quatre millions de personnes !...
Approuvant sans réserve la proposition d'Éric Zemmour, lafautearousseau va donc redonner, cette semaine, et au rythme de un par jour, chacun des six épisodes de cette sorte de feuilleton, écrit il y a treize ans maintenant, et qui témoigne de la constance de notre position sur ce sujet : le point de départ en est une réponse à un lecteur, qui devint, finalement, prétexte à une sorte de présentation d'ensemble de la lutte titanesque entre la Croix et le Croissant, commencée par les invasions musulmanes à partir de l'hégire... Nous avons décidé de ne rien changer à cette série, pas un mot, même si tous les articles ne se réfèrent pas, directement, à la proposition de Zemmour, aujourd'hui... C'est, en quelque sorte, un "document d'archives" !...
1. "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...
2. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(2/-6) : Peut-on être déchu de la nationalité française ? Que dit la Loi actuelle ?...
3. "Les expulser, oui, mais pour où ?" (3/6) : Un exemple historique, l'expulsion des Morisques d'Espagne en 1609...
4. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
5. "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...
6. "Les expulser, oui, mais pour où ?...": Une défense des Croisades, par Chateaubriand...(6/6)
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 48 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : L'Action française face à l'apparition de Mussolini et de ses "faisceaux"
(tiré de notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
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Le 21 mars 1908 paraissait le premier numéro de L'Action Française quotidienne...
Un siècle a passé depuis la parution de ce premier numéro de l’Action Française quotidienne et soixante quatre ans depuis sa disparation, en août 1944.
Ce gros tiers de siècle, ne l’oublions pas, est traversé par deux guerres mondiales et, sans doute, l’on ne pourrait rien comprendre aux combats de l’Action Française quotidienne, à leur intensité, si on ne les resituait pas d’abord dans ce contexte que domine de toute sa force la confrontation franco-allemande.
Pour une large part, si MAURRAS, BAINVILLE, DAUDET et leurs amis, en ce printemps 1908, veulent la Monarchie, c’est pour éviter à la France la guerre qu’avec une particulière lucidité ils voyaient se profiler. Ou, à tout le moins, pour l’y préparer plus sérieusement que ne le faisait la IIIème république et limiter, autant qu’il se pourrait, les immenses destructions matérielles et humaines que l’on aurait à connaître à peine six ans plus tard.
Cette hantise de la guerre et de la guerre perdue, comme on le verrait trente ans après dans l’effondrement de juin 40, est l’une des clés de l’histoire de l’A.F. quotidienne. Pendant 36 longues années, MAURRAS et BAINVILLE n’ont cessé d’en prévenir les Français, de faire la démonstration mille fois répétée des faiblesses de notre système politique, de tenter d’en conjurer les conséquences… "Pourquoi faut-il de tels retours ?" écrira MAURRAS lors de la débâcle de 1940…
Dans l’insouciance tragique de beaucoup, l’A.F., certes avec le style de son temps, et ce qui nous semble aujourd’hui ses excès, était bien cette "pensée qui sauve" dont Pierre BOUTANG parlera plus tard.
Qui tient un tel rôle aujourd’hui, face aux défis en partie bien différents – mais en partie seulement - que la France moderne a ou aura à affronter ? Il est bel et bon, il est sans doute même nécessaire, d’étudier avec un regard critique l’histoire de l’A.F. quotidienne, mais lorsqu’on considère les niveaux où se complaisent bien souvent nos médias et dont ils vivent au mépris de toute considération supérieure, ne serait-il pas légitime de nourrir une certaine nostalgie de ce que furent les grands combats de l’Action Française ?
C’était d’ailleurs l’autre volet essentiel - celui-là plus actuel que jamais - de ce "printemps du maurrassisme" qu’a étudié PAUGHAM, une autre tragique inquiétude : le déclin prévisible de toute une civilisation de l’ordre et de l’esprit, qui avait été la nôtre, la montée en puissance d’un nouvel "âge de fer", d’un nouvel âge barbare, où l’esprit, l’intelligence ne pèseraient plus grand-chose face aux forces matérielles, notamment celles du nombre et de l’argent. De ce déclin de toute civilisation, de cet asservissement de l’esprit, dont nous sommes témoins tous les jours, MAURRAS avait analysé les origines et tracé les sombres perspectives, dans ce maître livre que fut et que reste L’AVENIR DE L’INTELLIGENCE. Et c’est pour conjurer cet âge de fer, éviter ce règne barbare, empêcher ce temps d’inculture et de vulgarité où nous vivons aujourd’hui, que l’A.F. quotidienne rêva, quotidiennement, pendant 36 ans, de refaire un peuple, de rebâtir un Pouvoir politique, dignes de ce nom, de recréer les conditions d’une Civilisation…
À tout prendre, et toutes corrections au titre du changement d’époque effectuées, il ne serait sans-doute pas si mal qu’aujourd’hui la France dispose, pour la servir, de jeunes hommes de la trempe de ceux qui, le 21 mars 1908, firent paraître le premier numéro de l’A.F. quotidienne...
Prince Jean d’Orléans, Comte de Paris, et son fils aîné Gaston, Dauphin de France.
Il s’en fiche royalement ?
"Je m'en fiche, royalement, totalement, présidentielle ou non.
Ce qui compte, c'est ce qui fonctionne pour le pays, le rend plus fort, ce qui permet aux Françaises et aux Français de vivre mieux. (...) Si à ce point, ils ne savent pas se différencier du projet que je porte, qu'ont-ils été faire dans cette galère? » (Sic)
Peut me chaut qu’il s’en fiche de façon présidentielle !
Mais, s’il vous plaît, pas royalement !
Il croyait qu’il ne fallait pas être un grand sorcier pour entourlouper le troupeau de veaux qu’il nous pensait être.
Mais, sorcier, il ne l’était pas, il n’était qu’Apprenti Sorcier, et ses philtres ne faisaient pas effet. Aujourd’hui, il nous propose de nouveaux tours aussi fumeux que les précédents.
Certes il n’est pas le seul à promettre la lune et faire des propositions farfelues. L’arrivée au pouvoir des autres gâte-sauces serait également tout aussi catastrophique.
Le creuset dans lequel ils préparent leur mixture, leur bouillon d’onze heures, n’est qu’une auge à cochons où barbotent des sans-culottes.
Ils peuvent toujours nous raconter qu’il seraient capables de transmuer les vils métaux de notre vie ordinaire en or, impur certes, mais qui feraient de nous des veaux d’or gonflés d’orgueil !
Bien évidemment, il y a d’autres options !
Laissons l’apprenti sorcier, ses sbires et ses séides jouer de la flûte enchanteresse et vouloir nous mener à la rivière pour nous y engloutir, comme Hans le joueur de flûte…
Et tournons nos regards et notre coeur vers… La Sagesse !
Loin de la sorcellerie mensongère et des solutions irréalistes, loin des barbiers qui rasent gratis… Il y a celui que la Providence nous désigne, celui dont les pieds sont enracinés dans la terre de France et dont les bras sont levés au ciel, celui qui se chargerait de porter : « La France à bout de bras » !
Alors, cherchons…Royalement, qui pourrait-être non pas l’homme présidentiel, mais… Providentiel !
Celui qui viendrait pour Servir la France ! Servir les Français !
Ouvrons nos coeurs à son silence assourdissant ; nous l’entendrons !
C’est Jean de France, Comte de Paris !