À ces professeurs bobos/gauchos/trotskos justement taclés par Goldnadel, qui veulent débaptiser un "Collège Alexandre Soljénitsyne"
À Aizenay, près de La Roche-sur-Yon, le Collège porte le nom de l’écrivain Russe Alexandre Soljenitsyne, qui s’était rendu en Vendée, en 1993.
Des syndicats d’enseignants - tous de gauche... comme par hasard - demandent qu’il soit remplacé par celui d’un poète ukrainien.
À cette cinglerie de foldingues, Gilles-William Goldnadel a très justement répondu, et d'une façon fort pertinente, sur tweeter :
"Ils veulent rayer le nom de Soljénitsine. Par ce que russe et résistant anticommuniste. Syndicats de gauche : Sud , SGEN ..ne sont bons qu’à décérébrer les enfants. Ils sont les médiocres responsables de l’abaissement du niveau.
Les fabricants de crétins à la chaîne, ce sont eux !"
Oui, sous prétexte d'ukrainophilie, ces professeurs bobos/gauchos/trotskos basculent dans une russophobie aussi insensée qu'injuste et injustifiable. Et ils essaient d'en profiter, en passant, pour effacer quelqu'un qui a osé dénoncer l'horreur et l'erreur de leur horrible révolution...
Voilà pourquoi lafautearousseau profite de l'occasion pour redonner, aujourd'hui, le premier de ses 47 Grands Textes (le 48ème est pour très bientôt...) : cette série est, justement, ouverte par le discours prononcé par Soljénitsyne aux Lucs-sur-Boulogne, en 1993, à l'invitation de Philippe de Villiers, dans lequel Soljénitsyne "démolit" la révolution bolchévique, héritière dans son essence même de la révolution française, dont elle s'est voulue la quintessence...