Après l’adoption récente de la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale, qui, entre bonnes intentions et délire antispéciste, aura pour conséquence d’affecter des secteurs entiers de l’économie (tourisme, élevage, commerce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une première étape), la mairie écologiste de Strasbourg, dans une même logique antispéciste, se préoccupe davantage du sort bienveillant à réserver aux rats et aux punaises de lit que de santé publique, tandis que la mairie écologiste de Lyon, prétextant la crise sanitaire, impose aux enfants des menus sans viande.
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