"Trois invasions : deux pour l'oncle, une pour le neveu, voilà une famille qui a coûté cher à la France" disait Jacques Bainville, en parlant des Napoléon.
Dans ce remarquable article, magistral résumé du "stupide XIXème siècle" (comme le disait Léon Daudet) et de la non moins stupide Napoléo-mania, on croit lire du Bainville dans le texte, mais c'est bien Vanneste qui parle : Vanneste qui a manifestement lu et, surtout, compris, digéré, assimilé le grand, l'immense Jacques Bainville...
Mais on y retrouve aussi le Maurras, qui écrivit "Les Princes des Nuées", et de nouveau le Bainville qui avait expliqué "le chef-d'oeuvre absolu" que furent les Traités de Westphalie : une Royauté française qui travaillait à la paix pour la France, dans le sens de ses intérêts vitaux et du Bien commun, alors qu'Encyclopédistes, révolutionnaires, républicains et impérialistes voulurent et firent, follement, l'unité de l'Allemagne, ce qui revenait à travailler "en intelligence avec l'ennemi" : "..Avec application, ils (les deux Napoléon, ndlr) ont permis la réunification de l’Allemagne et de l’Italie que les Bourbons avaient morcelées le plus possible à nos portes..." écrit, lapidaire, Christian Vanneste
La page facebook de lafautearousseau est très fière de compter Christian Vanneste au nombre de ses "amis"...
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