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"Viens ou je te plante !": Abdessalem Béchir est un costaud de 19 ans, qui sort son couteau ce matin-là, deux de ses "potes" étant avec lui; la gamine à qui il parle n'a que quatorze ans et demi, elle est avec une amie de son âge et réussit à partir à toutes jambes. On imagine à quel genre d'activité il voulait la faire participer....
Abdessalem va donner sept versions différentes de "l'invitation au voyage" aux enquêteurs, et son avocat, Saïd Benhamed va le présenter comme "un enfant" (sic !) : précoce, et décomplexé, l'enfant, quoique pas très courageux (pour s'attaquer à trois de 19 ans à deux fillettes de quatorze) et finalement pas très dégourdi, pour les avoir laissé filer, dans ce Parc de Font Obscure (Marseille, 14ème, les fameux "quartiers nord"...).
1. "...Découragée à force de n'être ni entendue ni soutenue dans son combat républicain, Malika Sorel, française d 'origine algérienne, vient de jeter le gant..."
2. "Faudrait-il se résigner à la "chute du modèle français", qui accable l'écrivain Richard Millet ? "La France est le seul pays d'Europe dans lequel la terreur communiste ait réussi, en l'occurrence sous la forme de l'anti-racisme", écrit-il (De l'anti-racisme comme terreur littéraire, Éditions Pierre-Guillaume de Roux). Il réclame le droit de défendre ses racines et sa culture sans être pour cela insulté et trainé dans la boue. Mais l'unanimisme médiatique l'a rendu détestable. On veut rendre inaudible un écrivain qui entend "dire littérairement la vérité sur la France"....."
"Ce crime a été commis en France et par la France" : François Hollande, mettant ses pas dans les pas de Jacques Chirac, vient, en ces termes, d'accuser la France d'avoir commis le crime du Vel d'Hiv., sans tenir le moindre compte du fait qu'elle était alors un pays vaincu, occupé depuis 1940, et sous le joug du vainqueur, dont elle subissait, comme tout vaincu, les exigences et les diktats.
Si cette accusation présente un avantage c'est, au moins, en ceci qu'elle dispense d'établir d'abord les responsabilités premières; de chercher à savoir pourquoi et comment l'Allemagne s'est trouvée, à partir de 1940, occuper la France, et y régner à son gré...
Sans entrer dans trop de détails, il est évident que la responsabilité première et fondamentale du désastre de 1940, dont les horreurs suivantes découlent, incombent à la IIIème République. Dès 1918, ce régime a saboté la Victoire et trahi le sacrifice d'un million et demi de jeunes Français, en ne faisant pas la politique qui s'imposait alors et que cette Victoire si chèrement acquise nous permettait; en ne démembrant pas l'Allemagne, comme elle le fut - mais mal - en 1945; puis en la laissant se réarmer sans réagir: en ignorant superbement les avertissements que lançait un Bainville, clairvoyant, signalant le premier "l'énergumène" Hitler - dès qu'il eût gagné les élections; en n'armant pas, ou pas suffisamment, la France, alors que, de toute évidence, l'Allemagne d'Hitler préparait méthodiquement sa revanche sur le traité de Versailles. Il y avait bien longtemps que Bainville avait pronostiqué l'apparition, en Allemagne, d'un parti "social nationaliste". Ilne s'était trompé que dans l'ordre des mots...
Au delà des gouvernants, les responsablités sont aussi ailleurs. A vrai dire, elles sont partout : au sein de l'Etat-Major prospéraient de vieilles ganaches aux conceptions obsolètes; l'opinion publique, les Français dans leur ensemble, à droite comme à gauche, furent notoirement insouciants et inconscients du danger, préférant la semaine de 40 heures et les Congés payés à l'effort qui s'imposait, alors qu'Hitler transformait l'Allemagne en forge de Vulcain... A l'issue de la guerre, c'est à la semaine de 54 heures, ou plus, à quoi ils ont du revenir.
La Chambre de juin 1936, la dernière de la IIIème République, celle du Front populaire où siégeaient les ancêtres idéologiques de François Hollande, a, de toute évidence, achevé de désarmer la France, politiquement, moralement et, naturellement, par son pacifisme, sur le plan de notre défense.
Évidemment, il n'est pas très plaisant pour François Hollande de reconnaître cette "paternité"-là.
François Mitterrand était d'une autre trempe. Il connaissait l'Histoire. A vrai dire, il en était pétri, comme de littérature. Il avait un sens quasi charnel de la France. Il n'eût pas, sur elle, laissé dire n'importe quoi, comme en témoigne, l'enregistrement, dédié à François Hollande, que nous mettons en ligne ci-dessous.
Il nous donne quelque raison de conserver une certaine admiration, voire une certaine reconnaissance, envers ce vieil homme impavide, bourré de défauts, qui dit un jour à Georges-Marc Benamou : "vous savez, je suis le dernier des grands présidents".
A noter que la phrase qui sert de titre à cette note est de François Mitterrand. Ecoutez donc cet enregistrement !
Trois jours avant le second tour des élections législatives, le nouveau président de la République, François Hollande, est intervenu pour appeler les électeurs grecs (!) à bien voter ; c’est-à-dire à voter pour des personnes désignées par des partis politiques favorables à l’euro.
Que ces partis aient conduit la Grèce à la faillite avec constance et qu’ils soient, aujourd’hui, devenus les exécuteurs des instances financières internationales pour imposer aux Grecs une austérité insupportable, ne semblait pas gêner outre mesure le nouveau président. Mais ce qui est le plus choquant, c’est le principe même que le président d’un état se permette d’inciter les citoyens d’un autre pays à voter en ne tenant d’ailleurs compte que de la situation économique de partenaires de moins en moins solidaires.
D'abord avec cette joie communicative de nos amis Marie-Antoinette et Henri de Lumley qui, avec toute leur équipe, aussi heureuse et joyeuse, nous présentent cette découverte exceptionnelle qu'ils viennent de faire : une mâchoire de 450.000 ans, sur le site de Tautavel. Là-même où, il n'y a pas si longtemps, les de Lumley avaient reçu (et de quelle façon !...) le Prince Jean.... Hier soir, sur TFI, cela crevait l'écran : juste récompense, cette légitime satisfaction, d'un travail de qualité, de la compétence, d'un bon esprit d'équipe, de la quête du Savoir...
Et puis, quelques instants plus tard, la beauté de ces voix féminines Corses : quatre femmes qui s'emparent de ces magnifiques polyphonies, le plus souvent traitées par des hommes; et l'une d'elles explique qu'elle va dans les écoles, pour faire chanter les enfants, et qu'elle n'imagine pas qu'il puisse en être autrement : "pour ne pas que nos traditions se perdent", dit-elle, tout simplement. Tout simplement, mais dans cette simplicité naturelle, l'essentiel est dit...
Savoir, beauté, qualité des personnes , de leurs actes, de leurs pensées : voilà ce que nous a montré, hier soir, un beau JT d'été...
Confirmation supplémentaire, si besoin était, de ce que nous disons sans cesse : "au point où les choses en sont arrivées" - pour reprendre l'expression de Napoléon... - les lois habituelles, les attitudes dites "normales" ne suffisent plus. Il y a place, en France, pour plusieurs communautés, comme le rappelait Boutang, mais il n'y a pas de place pour deux - ou plusieurs... - civilisations. Si, depuis des siècles, et formant sa richesse par leur diversité, différentes communautés cohabitent harmonieusement en France (Basques, Bretons, Catalans, Corses, Alsaciens, Flamands, Provençaux....) c'est parce que, dans leurs légitimes et enrichissantes différences, ces communautés reposent toutes sur des fondamentaux communs. On ne peut, évidemment, en dire autant après avoir entendu les propos tenus sur cette courte vidéo... Une seule solution, changer et durcir nos lois, pour en arriver, par la déchance et l'expulsion, à retrouver une vraie unité dans la saine diversité.....
"Du passé faisons table rase !..." : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des Idées, et, si possible une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines......
Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire"... :
* Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"
* Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".
M. le bourgmestre d'Amsterdam est évidemment un ironiste. Comme le cortège présidentiel débarquait dans sa ville, ce magistrat batave s'avança vers M. Fallières et lui tint à peu près ce langage : "Vous arrivez, monsieur, dans un pays qui, après avoir été longtemps en République, a opté finalement pour la monarchie. Nous nous trouvons très bien d'être royalistes. Quant à vous, vous représentez un pays qui, après avoir longtemps possédé la royauté, s'est mis sous le régime républicain. Si vos compatriotes sont satisfaits, c'est leur affaire. Je leur souhaite toutes sortes de prospérités."
Les Ephémérides sont maintenant bien établies sur lafautearousseau; elles font partie du paysage, elles ne cessent de s'enrichir et de s'étoffer.
Nous avons expliqué pourquoi nous avions décidé de donner tant de place, dans notre quotidien, au "culturel", à nos Racines : pour résister au programme insensé des révolutionnaires, "du passé faisons table rase !..." : à ce programme, qui constitue la base et le fondement de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des Idées, et, si possible une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville.
Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite... En la montrant, en quelque sorte, pour la faire connaître et pour la faire aimer, surtout aux plus jeunes, à qui le ministère de la des-Éducation a proposé d'abord une vision tronquée et mensongère de l'Histoire de France, avant de la supprimer tout court, peu à peu, des programmes....
Dans le prolongement des Ephémérides de lafautearousseau, qui se proposent donc cette résistance comme but essentiel et profond, et comme leur suite logique, pour les illustrer encore mieux, un Album a été composé peu à peu, dès le début de ces Ephémérides et en même temps qu'elles; pour en être, en quelque sorte, comme le résumé : L'aventure France racontée par les Cartes.... : achevé aujourd'hui, il comprend 200 cartes commentées.
Il sera publié en feuilleton pendant cette pause estivale, au cours de laquelle lafautearousseau ne s'arrêtera pas plus que les annnées précédentes, mais restera au contraire avec vous et à vos côtés...
En voici, pour aujourd'hui, l'Introduction.
Elle sera suivie par les 22 photos allant de la Préhistoire au premier peuplement connu et significatif de notre pays : le Peuple Basque...
Le professeur Gabor Hamza sera pour quelques jours à Paris fin juillet 2012. Nous le rencontrerons à l’occasion d’un dîner le 20 juillet à 20 heures dans un restaurant parisien. Les personnes désireuses de s’y associer sont priées de se signaler.....
Ah, qu'il est dûr d'être "un président normal" (?) lorsqu'on est affligé d'une compagne et d'un fiston qui se permettent des irruptions dans l'actualité, on se demande bien au nom de qui ou de quoi, à défaut de se demander au nom de quelle légitimité, dont ils sont, de toute évidence, totalement dépourvus...
Il n'aura pas fallu bien longtemps au "président normal" pour être gêné par sa compagne, puis par fiston, comme le fut son prédécesseur honni, contre lequel fut justement inventé ce curieux slogan de "président normal"...