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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Il a bonne mine, Gérard Aschiéri !...

              Lundi 5 Mai, sur LCI. midi dix. Jean-François Rabilloud interroge, comme tous les jours, Christophe Barbier. Celui-ci va se livrer à son habituel tour d'horizon politique. On est à deux jours de la prochaine manifestation de lycéens et, incidemment, Christophe Barbier lâche un pavé dans la mare.

              Curieusement, Jean-François Rabilloud et Audrey, sa journaliste-collaboratrice du jour, ne réagissent pas, comme s'il s'agissait de quelque chose de tout à fait normal ou, au contraire, de quelque chose sans aucun intérêt. Et pourtant...

              Qui ne connaît l'ineffable Gérard Aschiéri, et son sempiternel couplet, toujours identique, au mot près: "Il faut plus de moyens pour l'éducation!..."

              Or Christophe Barbier, emporté par son élan - comme d'habitude... - balance: "Depuis 2003, les jours de grève dans l'Éducation Nationale ne sont plus payés...c'était une première nouveauté, l'époque Fillon..."

              Étranges moeurs, dans notre république, que d'avoir accepté de payer les jours de grève jusqu'en 2003, non ? D'ailleurs, on observe depuis 2003 et qu'on ne les paye plus, qu'il y a beaucoup moins de jours de grève dans l'Éducation Nationale, et aussi beaucoup moins de grévistes: ceci explique cela...

              Mais tout de même, si l'on fait une simple estimation "à la louche", tant de jours de grève payés, pendant tant d'années, à tant de profs, jusqu'à ce qu'on ferme le robinet, cela a dû en faire du fric, non ? Une quantité très importante de "moyens", qui auraient peut-être pu être utilisés d'une façon plus judicieuse ?

              Qu'en pense l'ineffable Gérard Aschiéri ?...

  • A propos des nouveaux programmes de l'école primaire...

              Le débat n'est certes pas nouveau, mais il revient périodiquement sur le devant de la scène. A propos des orientations prévues par Xavier Dracos pour la prochaine rentrée, de nouveaux échanges (parfois forts vifs...) ont eu lieu autour d'une question qui, de fait, renvoie à beaucoup d'autres: pourquoi tant de fautes d'orthographe ?...   

               Il ne faut pas chercher midi a quatorze heures, et faire de longs discours là où le constat est somme toute facile a faire: dès la Maternelle, on veut faire trop de choses à l'école, au détriment bien sûr de l'essentiel, qui se trouve presque relégué... après tout le reste !

               Dans cette quête insensée d'encyclopédisme forcené se trouve l'une des causes majeures de la crise de notre Ecole, dans son ensemble. A force de vouloir trop faire, de vouloir tout faire, on ne fait plus rien vraiment bien. "On" a cru intelligent de faire du secondaire dans le primaire, et du supérieur dans le secondaire. Et "on" s'est extasié. Résultat: les professeurs de Faculté sont obligés, en catastrophe, de faire du primaire dans le supérieur. Il y a un temps pour tout, dit la sagesse populaire (s'inspirant de l'Ecclesiaste...)

              Jean-Paul Brighelli accuse : "C'est aussi l'héritage de l'abandon progressif de la dictée au collège depuis une quinzaine d'années."

              Pour Danièle Manesse, professeur de sciences du langage à la Sorbonne et co-auteur d' "Orthographe, à qui la faute ?", "...le langage SMS n'influence pas l'orthographe. Les élèves savent qu'ils utilisent un code, un langage secondaire. La baisse du niveau en orthographe serait plutôt le résultat du peu de temps consacré à l'étude de la langue à l'école."...

             

     

  • Conflit en Géorgie : faut-il craindre le retour à la guerre froide ?...

              Du blog de Patrice de Plunkett, cette analyse éclairante :

              D’ahuris commentateurs parlent de « retour à la guerre froide ». C’est inepte. La « guerre froide » (ou ce qu’il est convenu d’appeler ainsi) était le produit de deux impérialismes planétaires : celui de l’URSS et celui des USA.

               L’impérialisme soviétique était le produit d’une idéologie à dimension universelle, dont l’URSS prétendait n’être que la base technique. Cela ne correspond en rien à la Russie d’aujourd’hui, qui n’ambitionne pas de conquérir le monde ; elle défend seulement ses intérêts et veut un rôle sur la scène mondiale.

               Les USA, eux, ont cru – après 1990 – devenir «l’hyperpuissance » et exercer « le leadership planétaire »; ce rêve est aujourd’hui en lambeaux*. Mais Bush n’admet pas la réalité.  Mme Rice non plus (son diplôme universitaire est en… soviétologie).

               Washington voudrait que la Russie de 2008 soit celle des années 1990.  Et  que  le pétrole et le gaz du continent eurasiatique  soient  aux  multinationales  US… Il serait temps que l’Union européenne prenne ses distances d’avec Washington, qui réinvente le capitalisme de guerre.

     

    (*) Voir le livre de l’économiste et politologue Jacques Sapir, Le nouveau XXIème siècle (Seuil).

     

                 

                 Que ceux qui n'ont pas compris lèvent la main...

  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à Ségolène Royal, pour ses déclarations sur "Canal +" le dimanche 9 décembre. Selon elle, Nicolas Sarkozy serait devenu "un président VRP", et "...c'est tout simplement odieux, c'est très choquant, c'est même inadmissible..... que la France aille cautionner un système de tortures en prison..."

              Bigre! Mais qu'est-elle allé faire, elle-même, en Chine, au tout début de sa campagne électorale? La Chine communiste n'est-elle pas le plus grand pays tortureur, exécuteur, étouffeur de libertés, accessoirement génocideur au Tibet? Or madame Royal, inventant au passage l'inoubliable et immortel concept de "bravitude", a cru bon de louer la justice chinoise (il faut quand même le faire!...). Nous l'avons tous entendue à la télé dire que la justice chinoise, elle au moins, était "une justice rapide"! Était-ce de la "bravitude" ou le premier signe d'une "sénilitude" précoce? En tout cas, lorsqu'on fait des déclarations pareilles, le plus urgent, après, c'est de se taire.....

              le prix orange: à Nicholas Burns, sous-secrétaire d'État aux Affaires politiques des États-Unis. Il a exprimé ses regrets pour la campagne de dénigrement de la France ("French bashing") aux États-Unis dans les années 2002-2003, une campagne que certains justifiaient par l'opposition de Paris à la guerre en Irak. "J'espère que les Américains qui ont rebaptisées les frites ("French fries") frites de la liberté ("freedom fries") et qui ont vidé des bouteilles de bon vin français dans les caniveaux réalisent la sottise que c'était".....
                "Je pense que maintenant nous regrettons qu'un vrai désaccord sur un sujet grave -la guerre- ait donné lieu à de tels excès de la part de beaucoup de gens dans notre pays",
    a ajouté celui qui est tout de même numéro trois de la diplomatie américaine. Et cela lors d'une grande conférence à l'"American University of Paris" le mercredi 24 octobre. A ce niveau-là, rien n'est gratuit, ni anodin.... Faute avouée, faute pardonnée!...

  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à Henri Taquet, directeur du Théatre du Granit de Belfort, qui a écrit un drôle d'éditorial: il s'agit d'un "texte" (?!) censé préfacer la plaquette du programme de ce théatre national (financé par l'Etat et les collectivités locales); entre autres "perles": 'l'election de Sarkozy peut avoir des conséquences désastreuses sur nos existences"; ou encore: "pendant cinq ans" -tient-il à nous dire- il a "vêcu avec l'angoisse de le voir élu"! Quel rapport avec Racine et Musset? Il est scandaleux que ce monsieur se serve de l'argent public pour faire part de ses états d'âme, qui du reste n'intéréssent personne et dont tout le monde se fiche éperdument; et il est écoeurant de le voir vomir un Président mais -dans le même temps- accepter sans aucune "angoisse" les subventions accordées par les ministres de ce même Président: on est de gauche, mais quand même, on ne perd pas le nord, quand il s'agit des belles et bonnes éspèces sonnantes et trébuchantes....Lamentable!....

              le prix orange: à "ces passionnés qui remeublent Versailles": depuis cent ans, la "Société des Amis de Versailles" se consacre à la tâche exaltante de rendre au Château et à ses jardins leur lustre d'antan; "Pour le 100e anniversaire de l’association, une exposition présentant les cent objets les plus significatifs parmi ceux qu’elle a contribué à faire revenir au château est organisée dans l’appartement intérieur du Roi. Cet appartement... a vu revenir au cours des vingt dernières années de nombreux objets jusqu’alors dispersés...." peut-on lire dans la présentation que fait de cette exposition le site officiel du Château de Versailles. Cet effort mérite, bien sûr, d'être salué: il est, hélas, à la hauteur de la folie du saccage révolutionnaire: sur les 17.000 lots constituant l'ameublement du palais en 1789, recensés par l'inventaire des ventes révolutionnaires de 1793, seuls 15% sont aujourd'hui revenus....

  • Ainsi va le monde: Qui est le pire: le voyou, ou le juge qui le laisse courir ?.....

              Bruno Cholet, âgé de 51 ans, a passé une vingtaine d'années en prison pour plusieurs peines concernant des faits de violences, viols, atteintes sexuelles parfois accompagnés d'enlèvement.

              Si sa première condamnation, à l'âge de 15 ans, concerne un vol à main armée, les peines les plus lourdes ont été prononcées par des cours d'assises de la région parisienne pour des crimes sexuels: en 1979 pour le rapt et le viol d'une jeune femme (6 ans de réclusion), en 1989 pour le viol d'une auto-stoppeuse de 21 ans abandonnée nue dans la forêt de Rambouillet et d'une fillette de 12 ans (18 ans).

              Evidemment il est le premier coupable des faits qu'il a commis. Mais les juges et ceux qui l'ont a chaque fois laissé sortir, sans prendre apparemment des précautions suffisantes, n'ont-ils pas eux aussi une lourde responsabilité ? Bien sûr que oui !....

              Il n'était même pas inscrit au fichier des délinquants, et ses empreintes génétiques n'étaient même pas répertoriées. Dans aucun fichier ! Mais que font les magistrats et ceux qui sont payés pour, en théorie semble-t-il parfois, s'occuper de ce genre de problèmes ? Si sourcilleux quand il s'agit des droits des délinquants de tout genre, nos magistrats idéologues de gauche semblent l'être beaucoup moins, et parfois même pas du tout, quand il s'agit d'assurer tout simplement la sécurité publique, loin des beaux discours grandiloquents.

              Or la sécurité des biens et -accessoirement ?.....- des personnes est le premier devoir de tout état qui se respecte, de toute société digne de ce nom.....

        

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          A quand le jugement des juges, du moins de certains ?.....

  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à François Bayrou, mauvais perdant et trop "florentin". Il a attribué sa défaite à Pau au maintien du candidat PS, soutenu par l'UMP, ce qui a occasionné une triangulaire, laquelle lui fut fatale...

              Du moins c'est ce qu'il dit. Car les Palois ont parfaitement compris qu'en s'emparant du marche-pieds de Pau, Bayrou ne s'intéressait qu'à lui et à sa candidature de 2012, et non à la ville elle-même. Et, comme l'ensemble des français, ils n'ont pas compris où voulait en venir ce "général de l'armée morte" qui, à force de calculs savants et compliqués, à d'abord sabordé le parti dont il disposait pour, ensuite, constituer à la va vite un rassemblement hétéroclite et incohérent dont les membres s'allient, c'est selon, à la droite, à la gauche ou même...au PC ! Pas très mobilisateur.....

              le prix orange: à François Fillon, pour la lucidité de ses propos au micro de RTL, le 13 mars dernier:

              "...J'ai écrit depuis des années, j'ai essayé de démontrer qu'une des grandes faiblesses de notre pays c'était son instabilité gouvernementale...

                 Malgré des Institutions qui donnent une stabilité politique, la France est le seul pays européen -un petit peu avec l'Italie, mais même l'Italie fait mieux que nous sur une longue période- à changer de gouvernement à un rythme qui est, en gros...tous les 18 mois. Et depuis 20 ans qu'est-ce qu'on voit? On voit des majorités qui prennent des engagements vis à vis des français, qui commencent à les mettre en oeuvre, et puis à la première élection intermédiaire perdue, à la première difficulté avec l'opinion on remanie, et on change de politique...."

                 Des propos à rapprocher de ceux qu'il a tenus récemment sur "la nécéssité de la durée", une notion ignorée par la plupart des membres du Pays légal, et absente même de leurs pensées....

  • Salle déjà pleine à Paris: le succès se précise pour le tour de France du Prince...

                S'il est vraiment dommage de refuser du monde, il faut bien reconnaître qu'il n'était pas facile, à l'avance, de prévoir et d'organiser une réunion comme celle de vendredi soir, à Paris. Maintenant, on voit bien que l'engouement espéré se précise, après les deux succès des deux premières rencontres de Béziers et de Senlis. Comme nous l'avons dit plusieurs fois ici même -et le phénomène s'amplifie...- il se passe quelque chose autour du Prince...

                Déjà, la salle prévue à Paris est pleine, depuis plusieurs jours, alors que les organisateurs parisiens ne cessent de recevoir de nouvelles inscriptions, qu'ils doivent, hélas, refuser. Pour les deux prochaines étapes -les 12 et 13 novembre- on a pu lire, ici même, l'invitation faite au public par le maire de la ville, M Grosgogeat, et le Conseil Municipal d'assister à la conférence du prince à la citadelle. A Marseille, nous savons que le repas qui suivra la présentation sera l'un des repas politiques les plus importants de l'année dans la cité, par le nombre -et la qualité- des participants.

                Autre signe, qui ne trompe pas: la liste des réunions de présentation d' Un Prince français ne cesse de s'allonger, preuve que l'intérêt du public non seulement ne s'essouffle pas mais, au contraire, se développe. Et que, dans toute la France, on veut voir, connaître, écouter le Prince, et le rencontrer. Nous souhaitions récemment que la réunion de Paris soit, plus qu'un succès, le départ d'une dynamique: il semble que nous y sommes. Et c'est le plus bel encouragement pour nous tous à continuer à nous donner à fond pour ce Prince français, ce Prince chrétien, recours dont la France aura besoin....

                 Plus que jamais, et de plus en plus, tous, autour du Prince Jean !.....

  • Le projet du Prince Jean ? Que l'on soit républicain ou monarchiste, il n'est pas interdit d'y réfléchir.....(3/6)

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                C'est ce que pense Charles-Henri d'Andigné, présentant Un Prince français dans Valeurs Actuelles (octobre 2009, sous le titre Jean de France, un Prince se révèle):

                Monseigneur, vous vous présentez comme un réaliste, quelqu’un qui tire la leçon de l’expérience. La restauration de la monarchie vous semble-t-elle encore concevable ?

     

                Notre pays doit affronter depuis plusieurs années une profonde crise de structures. Malaise social, crise économique, mais crise, aussi, de nos institutions. J’en veux pour preuve les incessantes révisions constitutionnelles, dont beaucoup s’expliquent par la tentation de nos gouvernants d’abandonner à l’Europe la direction de nos affaires…

     

                Bon nombre de Français s’interrogent : ces institutions, sans cesse refaites, remodelées, rafistolées, nous permettront-elles de relever les défis auxquels nous devons faire face – défis politique, économique, social, environnemental ? Est-ce qu’elles garantissent à la France la stabilité nécessaire pour conduire une politique conforme à ses intérêts ?

     

                Si les Français se posent ces questions (et je sais qu’ils le font), s’ils s’inquiètent pour la France (et les nombreuses alternances que nous connaissons depuis un quart de siècle en sont un indice), alors je crois qu’ils viendront, tout naturellement, à peser dans leur réflexion les avantages d’un régime, la monarchie, qui vise à garantir l’indépendance, la stabilité et l’équité du pouvoir suprême. (à suivre...).

     

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    Un Prince français, Entretiens avec Fabrice Madouas, par Jean de France, duc de Vendôme. Pygmalion, 229 pages, 19,50 euros.
    Le livre est dédié "A Philomena, A mes proches".
  • Le paradoxe persan, de Jean-François Colosimo...

                Professeur de théologie à l’Institut Saint-Serge, philosophe, éditeur, Jean-François COLOSIMO mène depuis plusieurs années une recherche sur les mutations contemporaines du fait religieux en politique. 

                Déjà venu aux Mercredis de la Nar pour Dieu est américain, puis pour L’Apocalypse russe, il reviendra (1) expliquer « Le paradoxe persan », titre d’un livre qu’il a récemment publié.

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                 L’enquête effectuée en Iran, au cours de laquelle l’auteur a rencontré les principaux acteurs de la vie religieuse et politique, s’accompagne d’une analyse historique qui met en évidence les évolutions, les révolutions et les contradictions qui ont marqué l’Iran et qui éclaire les évènements survenus depuis vingt ans : chute de Reza Pahlavi, dictature khomeyniste, politique de l’énergie, manifestations de rue de l’opposition, évolutions de la société iranienne.
     
                 Ces réflexions approfondies permettront d’envisager l’avenir de l’Iran et les raisons pour lesquelles la France ne peut y rester indifférente.
     
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    281 pages

    Le service librairie de la Nar vous propose le livre de

    Jean-François Colosimo "Le paradoxe persan " 

    au prix promotionnel de 19 euros (frais de port inclus).

    Commande et chèque a adresser a Royaliste, 17 rue des Petits-Champs, 75001 Paris 

    ou bien commande en ligne (paiement sécurisé) en cliquant sur ce lien.

     

    (1) : Mercredi 3 février, 17, rue des Petits-Champs, Paris 1er, 4e étage.
  • Au hasard de la navigation sur le Net : échos des Blogs, des Pages Facebook, et d'ailleurs....

    capture d'ecran blog.jpg        (Cette chronique n'a pas d'autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d'importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées... Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour "aller plus loin"...)  

    1. De Dominique Merchet sur le Livre Blanc : http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Le-Livre-blanc-est-en-retard-et-un-peu-en-panne_a950.html

    2. Benoît Rayski le prend avec humour, sur Boulevard Voltaire : l'attaque de la diligence (pardon, du TGV) par des sioux (pardon, des "jeunes") dans les quartiers Nord de Marseille... : http://www.bvoltaire.fr/benoitrayski/marseille-attaque-de-tgv-youyous-en-prime,10755?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=24dd4b0d21-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email

    3. Laurent Marbot parle des (AMAP) :  http://www.chretiensindignonsnous.org/2013/02/entretien-avec-laurent-marbot-maraicher-bio/

    4. Sur le Blog de Jacques Attali : laïciser l’Etat, enfin, c’est-à-dire en arriver à « fête des enfants » pour Noël , « fête de la liberté » pour Pâques (sic) etc…  http://blogs.lexpress.fr/attali/2013/02/04/laiciser-letat-enfin/

    5. Synthèse démographique russe de l'année 2012, par Alexandre Latsa : http://fr.rian.ru/tribune/20130206/197439154.html

    6. Une vidéo - parmi tant d'autres... - appelant au djihad pour punir la France de son intervention au Mali : http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3724.htm

  • Le grain de sel de Scipion : Le retour des coupeurs de tête

    scipion.jpgLaurence Parisot, la patronne des patrons, affirmait récemment que le pouvoir socialiste était en train d’amener un climat de guerre civile rappelant 1789.

     

    Quelques jours plus tard, c’est Alain Afflelou qui comparait nos gouvernants aux révolutionnaires de 1789.

    Il est vrai que ceux qui, du temps où ils étaient dans l’opposition, réclamaient des têtes lors d’un de leurs congrès et coupaient virtuellement celles de Gaymard, Woerth ou Sarkozy, se montrent aujourd’hui prompts à stigmatiser tous ceux qui ne sont pas de leur bord. Les guillotines politiciennes et médiatiques (car chacun sait que 95 % des journalistes sont de gauche) ressortent des caves de la « république du peuple de gauche » et l’on condamne à tout va : A mort les riches, Depardieu et Afflelou (mais pas Omar Sy ni Cahuzac), les patrons, les colonisateurs, l’église catholique, l’extrême droite et la droite tout court, les homophobes, les islamophobes et les réacs de tout poil !

    On taille à la hache le portrait de l’homme nouveau. Le changement, c’est maintenant ! Et le goulag, c’est pour quand ? Car, comme le disait Montaigne, le changement n’est que source d’injustice et de tyrannie.  Certes, les condamnations ne pleuvent pour l’instant qu’en paroles mais ces humanistes, ces gardiens de l’idéologie du « pays des droits de l’homo » sont tellement certains d’incarner la vérité et le bien qu’ils en viendront peut-être un jour à reconstruire les échafauds comme leur ancêtre Robespierre et leurs cousins Staline, Hitler et Polpot.

    A moins que ne se lève dans le peuple de France une belle tempête qui balaye cette clique moralisatrice et sectaire et nous ramène, après deux siècles au cours desquels toutes les expériences politiques ont conduit à l’échec, les valeurs et le type de régime qui conviennent à la France.

    En ce début d’année qui s’annonce des plus sombres, on peut rêver, non ?...puisque c’est l’un des rares droits qui nous restent !                             

  • APPEL A NOS LECTEURS POUR 2013 : SOUTENEZ LAFAUTEAROUSSEAU, VOTRE QUOTIDIEN ROYALISTE !

    donner-argent-enfants-430-argent-impots-537467.jpgL'an dernier, en 2012, nous avons demandé à ceux de nos lecteurs qui le voudraient bien - et qui le considèreraient même normal - de nous adresser une participation aux frais de Lafautearousseau. Vous avez été nombreux à répondre à notre appel et nous remercions encore chaleureusement tous ceux qui l'ont fait. Que votre envoi ait été de 5 €, ou de bien davantage, vous avez apporté votre pierre.

    A vrai dire, Lafautearousseau se développe très bien tout seul. Près de 20 000 visiteurs uniques et 40 000 visites chaque mois, font de notre blog le premier média royaliste français. Une audience qui, d'ailleurs - et c'est très heureux - va bien au delà de nos cercles traditionnels ... Et qui, de plus, s'accroît constamment. Mais votre aide nous permet d'aller plus vite : plus d'articles; plus de vidéos; plus de cafés politiques; plus d'influence, donc, de nos idées : tout cela est grâce à vous qui aidez ainsi l'équipe de Lafautearousseau, en un temps troublé, un temps de crise sociétale, de crise morale, de crise économique et sociale, de crise politique et, même, de crise institutionnelle. Plus que jamais la France a besoin d'un grand essor des idées que nous défendons, ici.

    C'est pourquoi nous renouvelons notre appel pour cette année 2013.

    Vous pouvez - sans tarder - envoyer votre contribution :  

    = par PayPal (paiement sécurisé, sous la rubrique Faire un don),  

     

    =mais aussi par chèque à l’ordre de : Les Amis de Lafautearousseau.

     

    Adresse d'envoi : 

     

    Les Amis de Lafautearousseau

    B.P. 50204,

    13445 Marseille 06

     

    D’avance tous nos remerciements et nos sentiments cordiaux.

     

    Les Amis de Lafautearousseau

     

     

    Si vous comptez contribuer, ne tardez pas, faites-le dès aujourd'hui.    

      

    Présentation de Lafautearousseau, point complet sur son évolution et son importance, cliquez sur ce lien :

     

     

     

  • Deux réactions sur la ”Fête” du PSG : II, Peur sur la ville…, par Nicolas Gauthier, Journaliste, écrivain.

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    Hier soir à Paris, 15.000 amateurs de foot n’étaient pas à la fête, alors que c’était censé être la fête du foot, titre de champion de France du PSG oblige. Au final des courses : « Voitures calcinées, arrêts de bus vandalisés, cafés saccagés », lit-on dans Le Monde, sous le titre : « Au Trocadéro, la grand-messe du PSG vire à l’émeute. » Et même au pillage en règle, un car entier de touristes ayant été dévalisé, nous dit TF1.

    Mardi matin, on dénombrait donc une trentaine de blessés et 21 arrestations, tandis qu’une bonne partie du XVIe arrondissement évoquait le Beyrouth des grandes années.

    Ils devaient être contents, les Qataris, qui investissent massivement dans les banlieues, de voir certains de leurs petits protégés dévaster ce cœur de Paris dans lequel ils investissent tout aussi massivement… Ce n’est certes pas à Doha qu’on verrait ça ; bienvenue en douce France.

    Enfin, que l’on se rassure, rien de bien grave à en croire Bertrand Delanoë qui, selon Paris Normandie, déplore la présence « d’une poignée de perturbateurs », tandis que Manuel Valls, sur le site du Point, se contente d’évoquer des « bousculades ». Il n’est pas sûr que les riverains aient eu la même vision des « bousculades » en question… Est-ce à dire que ces deux hommes ne lisent même pas Le Monde ?

    Plus sérieusement, dans Le Figaro, Marine Le Pen dénonce un « déferlement de racailles ». Elle est plus sévère encore avec Manuel Valls :

    Le problème de ce ministre de l’Intérieur, c’est que, comme ses tristes prédécesseurs de l’UMP, il cultive un véritable laxisme d’État. (…)

    J’en appelle à un sursaut face à cette gangrène : il faut sévir et appliquer la tolérance zéro contre ces racailles qui se croient tout permis sur notre territoire.

    Mais pour cela, encore faudrait-il qu’il y ait des hommes d’État à la tête de ce dernier.

  • CINEMA • Clint Eastwood dans le viseur. Par Raphaël de Gislain

     

    Le film divise comme rarement les critiques depuis sa sortie, flamboyant retour du vieux réalisateur après un passage à vide pour les uns ou glorification grossière de l’impérialisme américain pour les autres.

    Adaptation d’une biographie best-seller parue aux états-Unis en 2012, American Sniper relate la vie de Chris Kyle, tireur d’élite d’exception des Navy Seals, dont le tableau de chasse – plus de 250 victimes abattues en quatre missions irakiennes – a de quoi faire pâlir l’inspecteur Harry…

    Le succès foudroyant du film outre-Atlantique ne fait qu’accentuer le malaise médiatico-intellectuel des plus français qui accompagne sa réception. Le visage d’un Clint Eastwood dangereusement réactionnaire s’y révèlerait, plus encore que dans Gran Torino il y a quelques années, œuvre majeure sur le communautarisme qui déclencha des concerts de grincements de dents chez les bobos.

    Comme souvent avec Eastwood, American Sniper frappe par son homogénéité. Une scène d’ouverture à couper le souffle, où Kyle tient en joue un enfant bourré d’explosif, sert de prétexte au filage d’une vie de soldat aux allures d’académie, marbre lisse et héroïque que Bradley Cooper incarne sans épaufrures. Le chant se veut moral et patriotique : Kyle pourra justifier chacun de ses tirs meurtriers à Dieu, il n’a fait qu’accomplir son devoir.

    Des vents d’ocre tournoient sur les champs de bataille où le réalisateur nous jette, abusant des gros plans sur les visages comme s’il nous empêchait de prendre le moindre recul. Cette absence de champ fait à la fois la force et la faiblesse du film : en rendant le point de vue du soldat, elle désamorce un procès en manichéisme synonyme de condamnation, puisqu’on ne saurait confondre la pensée d’un réalisateur avec celle de son héros. Mais en même temps, elle en réduit sensiblement l’intérêt… 

    American sniper, de Clint Eastwood.

     

    Source Politique magazine