UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Le Système et son Panthéon qui sent mauvais, de plus en plus mauvais : à quand le ”clip de fin”, et sa fermeture ?

    C'est le 4 avril 1791 que - sur ordre de la Constituante - le Panthéon devint... "le Panthéon",  officiellement temple civique destiné à accueillir les cendres des grands hommes de la Patrie, en réalité, "extravagant salmigondis", comme dit Léon Daudet, qui se voudrait le Temple gardien des "valeurs républicianes, dont on sait ce qu'il faut en penser, avec Simone Weil, Franck Ferrand et Denis Tillinac.

    Avec cette bonne blague d'inscription à son fronton : "Aux grands hommes, la République reconnaissante" : 

    pantheon fronton.jpg

     

    Bonne blague - et qui s'amplifie aujourd'hui, on va le voir... - car, en fait de "grands hommes", qui repose au Panthéon, sous la monumentale croix de plusieurs tonnes qu'il a été impossible à notre République idéologique férocement antichrétienne de retirer, car, par son poids même, elle contribue à la stabilité de tout l'édifice ?

    D'abord, pas mal d'illustres inconnus, mais aussi quelques personnes "très bien" : Soufflot, l'architecte du bâtiment; Bougainville, le navigateur, à qui nous devons les bougainvilliers (ou bougainvillées) de nos jardins; François Tronchet, qui osa défendre Louis XVI lors de son pseudo-procès, devant la meute hystérique des "bourreaux barbouilleurs de lois", dénoncés par André Chénier, l'une de leurs victimes; Louis Braille, qui fit tant pour les aveugles; Alexandre Dumas, qui enchanta tant et tant de générations d'adolescents (de 7 à 77 ans, comme dit la formule...) avec ses Trois mousquetaires... et quelques autres encore, comme Félix Eboué ou Portalis, qui osa lui aussi, depuis Lyon, défendre un Louis XVI dont la mort était résolue d'avance par les terroristes, ce qui lui valut d'être emprisonné, et sauvé uniquement par la chute (enfin !...) de Robespierre...

    Il y eut aussi le grand Mirabeau, la première personnalité inhumée au Panthéon, où il ne resta guère : le 21 septembre 1794 sa tombe futt profanée et ses cendres jetées aux égouts...

    Oui, mais, à côté des illustres inconnus inoffensifs et de ces quelques "gens très bien", il y a d'autre personnes beaucoup moins reluisantes...

    Il y a d'abord ce grand esprit, cette grande intelligence dont les travaux, dans son domaine, honorent la France et la culture française : Lazare Carnot. Le problème, le gros problème, c'est que, à côté de ces travaux scientifiques qui illustrent le nom français, Lazare Carnot est aussi - une paille !... - l'organisateur du Génocide vendéen, le premier des Temps modernes (par ses deux décrets des 1er août et 1er octobre 1793) : voyez, dans notre Album  Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerres de Géants"... les deux photos "Lazare Carnot organise le génocide (I)" et "Lazare Carnot olrganise le génocide (II)"...

    Si le mot "amusant" convenait pour un tel sujet, on l'emploierait ici, en pensant que dans ce Temple républicain, sous l'inscription Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante, à côté de ce brillant/sinistre Carnot repose aussi Voltaire, le furieux antisémite qui était aussi joyeusement raciste, et cyniquement "anti-peuple" : eh, oui, c'est ainsi ! Le Système qui, par réflexe quasi pavlovien, accole systématiquement le mot "antisémite" au nom de Charles Maurras, honore et propose à la vénération des foules un homme -Voltaire - qui a tenu des des propos cent fois pires, furieusement antisémites et joyeusement racistes "anti-noirs" (on les a "sortis" souvent, et on peut les retrouver dans notre Dossier : M. le Maudit,) : nous reprendrons donc, pour changer un peu, ces trois propos sur "le peuple" du sieur Voltaire. N'allez pas demander à Madame Taubira ce qu'elle en pense - pas plus que de ses propos "anti-nègres" - : elle vous répondra qu'elle ne savait pas, qu'elle n'était pas au courant... : 

    1. "Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois, c’est l’habitant des villes... Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu..." (Lettre à M. Damillaville, 1er avril 1766, dans Œuvres de Voltaire, Voltaire, éd. Lefèvre, 1828, t. 69, p. 131);

    2. "A l’égard du peuple, il sera toujours sot et barbare...Ce sont des bœufs auxquels il faut un joug, un aiguillon et du foin." (Lettre à M. Tabareau, A Ferney, 3 février 1769, dans Œuvres de Voltaire, Voltaire, éd. Delagrave, 1885, t. 69, p. 428);

    3. "Il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu’il soit instruit; il n’est pas digne de l’être." (Lettre à d’Amilaville, 19 mars 1766, dans Œuvres de Voltaire, Voltaire, éd. Hachette, 1862, t. 31, p. 164);

    Pas mal, non ? La République idéologique propose de ces "grands hommes" à l'admiration des foules !...

    Mais, tout récemment, les choses se sont encore accélerées, et pas dans le bon sens...

    Les Princes qui nous gouvernent (si mal !...) ont peut-être voulu faire diversion, pour tenter de faire oublier leurs échecs monumentaux, et, pour cela, ils ont décidé de ré-animer le Panthéon, en y plaçant de nouvelles personnalités.

    On a même parlé d'y mettre Olympe de Gouges, guillotinée par Robespierre car elle l'avait couvert de moqueries, lui et sa clique de terroristes; elle avait aussi proposé de défendre le roi Louis XVI, lors de son pseudo-procès (chose refusée, bien évidemment...); elle avait, enfin, dédicacé "à Marie-Antoinette" sa "Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne" ! Une telle royaliste au Panthéon, évidemment...

    Finalement, avec François Hollande, on a descendu encore une marche dans l'ignominie : au son du clairon et de la fanfare militaire, le cadavre de Jean Zay, ministre de l'Education nationale (!) du Front Populaire a été transféré au Panthéon : or, le-dit Jean Zay est l'auteur d'un texte immonde, que nous ne souhaitons pas reproduire ici, tant il est moche et tant il pue, mais que les lecteurs qui ne nous croiraient pourront lire ici, si bon leur semble : Jean Zay.pdf.

    Après Carnot et Voltaire, et maintenenat Jean Zay, la trilogie de l'ignominie est complète.  Dans son "lundi" du 24 février dernier, Mémoire sélective ?  Louis-Joseph Delanglade avait pointé l'erreur que commettait François Hollande, qui versait dans un communautarisme de mauvais aloi : "...En inaugurant à la Grande Mosquée de Paris, ce mardi 18 février, le « mémorial du soldat musulman », M. Hollande a choisi délibérément de s’inscrire dans un « mémoriel » discriminatoire..."

     
    Il s'agissait évidemment d'un geste politique envers un électorat ("noir et arabe", comme dit Louis-Georges Tin, président du CRAN !...) qui a voté "Hollande" à 93%, mais qui se trouve fort dépité depuis que le gouvernement de ce même Hollande vient lui expliquer que le petit Mohamed pourra s'appeler Leïla, et que "Mehdi met du rouge à lèvres", théorie du genre oblige ! Hollande pensait probablement rassurer "son" électorat musulman, qui a tourné les talons, en commettant cet impair politique. Las ! Le florentinisme a ses limites, et il arrive assez souvent à celui qui veut être machiavélique de se prendre les pieds dans le tapis. En "mettant" Jean Zay au Panthéon, les "soldats musulmans" et leurs familles savent, maintenant, qu'ils sont morts pour un "torche-cul" : effet désastreux sur le-dit électorat garanti...
    Il est temps, maintenant, d'en finir avec ce carnaval de mauvais aloi, avec cette clownerie de très mauvais goût.
    Il faut fermer "ce" Panthéon, rendre les corps aux familles et ayants-droit, restaurer le momnument dans son état d'origine, et le rendre à sa destination première, à ce pourquoi il a été fait : au service du culte catholique, et non à la promotion du Totalitarisme et du Génocide; du racisme, de l'anti-sémitisme et de "l'anti-peuple"; et, maintenant, de la bave sur ceux qui sont morts pour le pays; il faut cesser de les insulter, car,  comme le dit Victor Hugo, qui dort à côté :
     
    "Ceux qui pieusement sont morts pour la Patrie / Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie"
  • Mafias, omerta, peur : elle pousse, elle pousse, la mauvaise graine que le Système a plantée chez nous...

    immigration dehors.jpgIl fallait s'y attendre, et c'était couru d'avance : les Mafias et leurs moeurs solidement implantées chez nous, et grandissant de jour en jour, pieuvres étendant leurs tentacules de plus en plus loin et de plus en plus fort, voilà en quoi la folle politique immigrationniste du Sytème a transformé des pans entiers de "notre" France.

    Quand on voudra réagir, on s'apercevra que - s'il faut bien sûr commencer par fermer les vannes des "pompes aspirantes"... - il n'y a pas d'autre solution que de changer nos lois, pour les durcir, et de recourir massivement à la déchéance de nationalité et à l'expulsion, sans faiblesse...

    cité bassens.jpg

    omerta.jpg

    Source : La Provence, dimanche 12 janvier

  • ”Libérer la France des appareils politiciens” et ”Un Système par essence immoral” : deux vidéos d'Hilaire de Crémiers

    1. Libérer la France des appareils politiciens

     

    2. Un Systeme par essence immoral

     

  • Chronique de la France qui souffre (II/II) : Quand Gilles Kepel ”démolit” la folle politique immigrationiste du Système.

    gilles kepel.jpgGilles Kepel est sociologue et spécialiste du monde arabe. Il a mené une enquête fouillée - avec l'Institut Montaigne - auprès des candidats aux élections issu de l'immigration, surtout à Marseille.

    Et qu'en dit-il ? Avant de lire le court extrait suivant de  son entretien avec le journaliste Laurent d'Ancona, juste une précision : Gilles Kepel n'écrit pas dans lafautearousseau !...

    "...Le modèles des quartiers nord (de Marseille, ndlr) c'est au contraire l'expression de la déchéance de la République. Celle d'un Etat qui n'est pas capable de fournir des emplois à une population et la laisse s'enfoncer dans le trafic parce que cela assure, paradoxalement, une sorte de paix sociale. Au prix des 20 morts par règlement de compte qu'on a connu l'année dernière et de la putréfaction de la société..."

    "Putréfaction de la société" : bigre ! Il n'y va pas de main morte, ce Kepel qui n'est certes pas un extrémiste !...

    Mais, écrivons-nous autre chose, dans ces colonnes ? Pourquoi des naturalisations en hausse de 51% alors qu'on a 6 millions de chômeurs, 8 millions de pauvres, 3 millions et demi de mal logés, des Restaus du coeur qui ouvrent de plus en plus tôt, ferment de plus en plus tard, et pour un nombre toujours croissant de gens qui ont faim, etc... etc... etc... ?

    "Putréfaction de la société" : il y va fort, Kepel ! Le drame est qu'il a raison, malheureusement. Et nous avec lui, et tous ceux qui disent la même chose, à quelque bord qu'ils appartiennent...

  • Violences, insécurité (I/II) : ”Français de plastique” djihadistes/terroristes : le Système fait vivre la France sur un

    djihadistes français.JPGLe ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, adopte un ton martial : "On me demande souvent ce qu'il advient... (au retour de ces "jeunes" de Syrie, ndlr)... Ils sont en lien avec une entreprise terroriste, ils sont arrêtés et remis à la justice."

    Fort bien. Mais le juge Trévidic, qui n'est pas quelqu'un à qui l'on peut raconter n'importe quoi, évalue à 70.000 environs les "jeunes" susceptibles d'un passage à l'acte, à tout moment, en France. 

    Il ne s'agit donc pas de ne remettre à la Justice "que" sept terroriste retour de Syrie. Il faut changer nos lois, pour les durcir, déchoir ces jeunes et els expulser, mais aussi déchoir et expulser tous ceux qui les ont aidés (pour complicité) et tous ceux qui, étant au courant, n'ont rien dit ou ont "laissé faire" (pour complicité également). C'est donc par duzaines, par centaines, par milliers, et par dizaines de milliers... qu'il faut déchoir et expulser !  

    QUI SONT-ILS.jpg

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • Ces voix qui s'élèvent pour dénoncer les dérives du Système : sur France 2, un général courageux acuse la Justice et, su

    contre la pensée unique.jpgAlors que la situation générale est réellement catastrophique (on en est à une moyenne de 1.515 chômeurs par jours depuis l'élection de Hollande...) la France, stupéfaite, a appris que son "normal" de Président, au lieu de consacrer tout son temps et toute son énergie à affronter le fléau, en était revenu aux gallipettes d'un gamin/collégien allant courir le guilledou, aussi furtif et discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine, avec son casque et... ses chaussures, dont il a, dans son excitation fébrile, oublié de changer !

    Pendant ce temps, lui et son équipe de privilégiés du Système passent leur temps à nous faire des promesses (comme la baisse des impôts) mais, bien sûr, toujours pour demain, voire après-demain; et, en attendant la baisse (qui, comme Godot, risque fort de ne jamais venir...), c'est le "matraquage d'impôts" qui est là, est bien là... 

    Il ne faut bien sûr pas se mettre au niveau où ces personnages ont fait descendre l'Etat, mais tâcher, au contraire, de "faire de la Politique", de la vraie. Par exemple, en écoutant tout simplement ce qui se dit sur ces chaînes de télé où sur ces radios que nous critiquons si souvent, pour leur conformisme et leur politiquement correct. Elles méritent tant de reproches que, les fois où elles laissent passer quelques rayons de pensée libre et iconoclaste, cela mérite bien d'être signalé, non ? Car, et c'est le paradoxe, dans cette domination quasi monopolistique de la pensée unique, du politiquement/moralement/historiquement-et-tout-ce-qu'on-voudra-correct, surgissent de temps en temps, ça et là, quelques instants de franchise et de parler-vrai : il convient de les relever !... 

    Nous avons donc choisi de nous arrêter, aujourd'hui, sur deux reportages - l'un de France 2, l'autre de France info - d'y faire écho et de, tout simplement, nous effacer devant ceux qui ont eu l'audace de parler clair et vrai : tout commentaire serait superfétatoire, ce qu'ils disent étant suffisament net...

    1. Le reportage de France 2 dans lequel un général de gendarmerie courageux explique comment "la délinquance" a reçu "cinq sur cinq" le signal fort que ne cesse de lui envoyer une magistrature laxiste intoxiquée par l'idéologie du "bon délinquant", descendant direct du "bon sauvage" de Rousseau :  

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Delinquance-le-severe-constat-d-un-general-de-la-gendarmerie-22508.html

    2. La "page" de France info qui revient sur cette plaie endémique du Système qu'est cette sur-administration qui nous étouffe, nous paralyse et finalement nous ruine et nous déclasse : plus de 400.000 textes, règlements, circulaires, normes et contraintes en tous genres 

    http://www.franceinfo.fr/economie/le-plus-france-info/normes-la-france-au-bord-de-l-asphyxie-1274849-2014-01-09

    pensee_unique3.jpg

  • Et ce sont ces ”Cités” que le Système croit qu'il va ”rénover” ? A coups de milliards, gaspillés en pure perte alors qu'

    ... à la Défense, par exemple, ou à la Recherche, créatrices d'emploi et qui préparent l'avenir...

    CITES DROGUE.jpg

    La vérité est qu'il n'y a rien à faire pour ces enclaves mafieuses dont le Système a truffé le territoire national.

    Il faut, pour le "contenant", démolir ces banlieues indignes, et les reconstruire sous forme d'habitat traditionnel, adapté au type de chaque Région et Province. Le BTP sera content : il a, là, du travail pour 50 ans, et, comme on dit, "quand le bâtiment va, tout va !..."

    Et, pour le "contenu", il faut déchoir et expulser en masse tous ceux de ces nouveaux arrivés qui, ne respectant pas nos lois et ne désirant pas les respecter; ne s'intégrant pas et ne désirant pas s'intégrer; ne vivant pas comme nous et ne désirant pas vivre comme nous; s'adonnnant joyeusement à toutes les formes possibles et imaginables de délinquance et de trafics en tous genre, n'ont rien d'autre à faire chez nous que d'en partir...

     

    immigration dehors.jpg

     

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • Un ”Système” qui institutionnalise la guerre civile. Ou : ”droite” et ”gauche” confondues, tiennent, contre ”l'exclusion

    Ce mercredi 3 juillet, face à Jean-Claude Bourdin, c'est François Fillon qui l'a dit. Mais de l'extrême-gauche à la droite, ils l'ont tous dit, un milliard de fois (si ce n'est deux milliards...) : on ne peut pas s'allier à l'extrême-droite !

    Nul n'est gêné de l'existence d'un Parti communiste qui jusqu'à sa fin réelle, et par la bouche de son secrétaire général d'alors, Georges Marchais, a déclaré "globalement positif" le bilan des pays de l'Europe de l'Est, alors que l'on sait très bien que le marxisme-léninisme fut la pire atrocité de toute l'histoire du genre humain, et qu'au-delà de 120 à 130 millions, on ne peut même plus compter le nombre de morts dont il est directement responsable, et dans des circonstances toutes plus barbares et inhumaines les unes que les autres !...

    tartuffe systeme.JPG 

    Curieusement, ce parti et cette idéologie ont pignon sur rue. Et nos bon apôtres dégoulinants de moraline ne se bouchent pas le nez pour s'allier électoralement avec lui, et récupérer ses quelques restes...

    Mais certains Français, eux, sont rejetés : ils jouissent pourtant de leurs droits civiques et payent leurs impôts, ce qui leur donne donc le droit de participer aux affaires : mais, non, ils votent à l'extrême-droite, donc ils sont pestiférés...

    Dans ces conditions, pour "ces gens-là", pourquoi pas une étoile jaune ?

    Et puis, détail comique, lorsqu'on regarde les chiffres et qu'on creuse un peu les choses, on voit que ces "français exclus" viennent, souvent de la gauche : c'est dans d'anciennes zones votant communiste que le FN réalise certains de ses meilleurs scores. Et la dernière élection de Villeneuve-sur-Lot a montré que pas mal de socialistes ont voté FN; la question qui s'impose : le Parti socialiste et le Parti communiste sont-ils "fascistogènes", "criminogènes", donc, puisqu'ils génèrent des électeurs qui, à terme, vont voter FN ? Il faudrait alors, et de toute urgence, interdire PS et PC : on voit bien l'absurdité totale de la chose, mais cela n'empêche pas nos bon apôtres et sainte Moraline, de Fillon à Chevènement, de vouloir nous faire croire qu'il y a en France, selon les régions de 20 à 60%, voire plus, de fascistes, de nazis, bref, de gens absolument infréquentables, avec qui il ne peut y avoir d'accord possible....

    N'étant pas "dans" le Système, ni "du" Système - c'est, à la fois, notre grande force et notre immense faiblesse... - nous n'avons pas à prendre fait et cause pour tel ou tel parti contre tel autre; ni à nous impliquer dans les "jeux" d'un pays légal de plus en plus corrompu, et dont l'échec est de plus en plus patent....

    Parc contre, nous pouvons, et nous devons, dénoncer cette mascarade qui dure depuis 1945 et cette "re-Terreur" (comme dirait Léon Daudet) que fut la sinistre "épuration"; et qui ne serait qu'une grotesque farce si elle n'était un déni de justice inadmissible contre une part - croissante... - du peuple français.

    Nous avons rappelé plusieurs fois que, à l'époque où le Parti communiste représentait une force formidable, le précédent Comte de Paris (Henri VI) avait heurté pas mal de monde, dans les milieux dits "conservateurs" (un mot qui commence mal, comme le disait le duc d'Orléans),  en déclarant, en substance - et il avait bien raison - qu'on ne pouvait exclure de l'effort national 25% des Français sous pretexte qu'ils votent communiste...

    C'est la même hauteur de vues qui doit prévaloir aujourd'hui, dans l'autre sens : de quel droit exclure de l'effort national, tant de Français, sous prétexte qu'ils votent Front national ?

    Un Système qui pratique à ce point l'institutionnalisation de la guerre civile, dressant sans cesse les Français les uns contre les autres, diabolisant et excluant comme s'il était Dieu le Père faisant le Jugement dernier : un tel Système ne vaut rien, il est pervers, il est intrinsèquement pervers. Et il doit être dénoncé et combattu comme tel.

    Comme le disait Léon Daudet, il ne faut pas croire "en l'amélioration électorale" du Sytème, mais bien au contraire mener une action "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..."

  • ”Ca's'passe com'ça chez...” : ces banlieues, cités, quartiers multiethniques que le Système a délibérément et follement

    une 2012.jpgQuestion, à lire l'effarant article de La Provence de ce samedi 23 novembre : les "armées de la République idéologique" (en l'occurrence, les forces de l'ordre et le commisssariat) vont-elles reculer devant les "armées des bandes mafieuses immigréess"  composées pour partie, on le dit bien dans l'article, de "jeunes de 15 ans et moins !...) et leur abandonner le terrain, c'est-à-dire une parcelle de NOTRE France ?

    Armes et drogue partout; coktails molotov lancés dans les véhicules de police; grenades  et "d'autres engins incendiaires" (:) jetés devant le commsissariat : ils sont beaux "leurs" quartiers multiethniques, multi-culturels, multitout, mais surtout multidélinquants et totalement "irrécupérables".

    On connaît notre position : fermer les robinets des "pompes aspirantes" pour tarir l'arrivée de nouveaux étrangers, s'ils doivent se conduire ainsi; et, pour ceux à qui l'on a inconsidérément remis un petit "rectangle de plastique", les déchoir d'une nationalité française dont ils montrent, à l'évidence, qu'ils ne sont pas dignes, et les expulser aussitôt, et en masse, du territoire...

    Après, on aura toujours de sproblmèmes, mais beaucoup, beaucoup, beaucoup moins...

    felix pyat.jpg

  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapi

                Il faut donc tordre le cou à cette contre vérité flagrante des soi disant "vagues migratoires successives".

                Et il suffit d'observer l'Histoire pour démontrer l'inanité, l'imposture (le révisionnisme ?: ce serait amusant, pour des gens de gauche...) de la position des immigrationnistes.

                A l'époque de la Gaule, et des Celtes, la conquête militaire par Jules César devait nous assurer une longue période de "Pax Romana". Époque féconde et bienheureuse s'il en fut, l'arrivée des Romains dans ce qui devenait -lentement mais sûrement- "chez nous" permit de créer le vrai socle, les vrais fondements, solides et définitifs de ce qui n'allait pas tarder à être la France, peuplée par le Peuple français.

                 Même si, on ne peut le nier, la conquête fut rude, et la romanisation menée -comme toujours avec Rome....- d'une poigne de fer: certains historiens avancent qu'un tiers des peuples gaulois aurait été tué, ou serait resté gravement blessé, voire invalide; un autre tiers deplacé ou vendu comme esclave; seul un tiers restant en l'état, si l'on peut dire.... Peu importent les chiffres, qu'on ne connaîtra de toutes façons jamais, à l'unité près....  

    PAX ROMANA 1.JPG

                L'important, c'est que le peuple Gaulois, malgré ce cataclysme, ne disparut pas et ne fut pas submergé par les Romains, bien au contraire: il se développa à nouveau, naturellement, et reprit sa progression -après les horreurs de la conquête- par une natalité vigoureuse et constante. Au point que, lorsque l'Empire s'écroula et disparut -malheureusement...- les Gallo-Romains étaient assez nombreux pour absorber les envahisseurs barbares, franchissant le Rhin: les historiens s'accordent sur une échelle d'environ 350.000 "envahisseurs" (au total), pour environ 7 millions de Gallo-Romains...                             

    GAULOIS BIJOUX.jpg

    Art gaulois : bijoux (ci dessus) et gobelet (ci dessous)

    GAULOIS GOBELET.jpg

                Très vite, d'ailleurs, ces envahisseurs allaient relever, en quelque sorte, la Romanité en Gaule, non dans ses formes antérieures, certes, mais dans ses fondements spirituels et moraux. Clovis se fit sacrer à Reims, et de ce moment date le nouveau départ de la Nation Gauloise, devenue Gallo-Romaine, puis Franque et, très bientôt, Française.

                On le voit, les fameuses Grandes Invasions n'ont donc rien de semblable à ce qui se passe aujourd'hui, où de 10 à 15 millions d'étrangers sont entrés, en trente ans, sur le sol national. A l'exception notable des Normands (mais eux aussi vinrent en nombre finalement dérisoire au regard de la population d'alors), notre Pays ne connut plus d'Invasions massives par la suite et, du VI° au XIX° siècle, la France augmenta sa population d'une façon naturelle: par sa démographie positive, malgré les guerres, les épidémies et les famines.

                Les Rois créaient la France que nous connaissons aujourd'hui, en collectionnant les Provinces -chaque rattachement d'une Province augmentant encore la vitalité de l'ensemble- mais à partir, bien sûr, du même substrat ethnique, sociologique, et non d'on ne sait quelle arrivée extérieure relevant du pur fantasme !...

                Et ainsi jusqu'à ce que la France devienne, sous Louis XVI, le géant démographique de l'Europe, avec ses 29 millions d'habitants. 

    EYLAU.jpg
    La sinistre boucherie d'Eylau: 40.000 morts !....
    "Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes; la vraie gloire , c'est de l'épargner." (Louis XV).

                Il a fallu la folle dé-raison des tenants secs et froids de la Raison; il a fallu les effroyables saignées démographiques dues à la Révolution et aux saccages de l'Europe que l'on appelle pudiquement (autre travestissement de l'Histoire...) les Guerres napoléoniennes, alors qu'on les qualifierait plus justement en les appelant les carnages napoléoniens: 1.500.000 français morts sur les champs de bataille de l'Europe, pour qu'au bout du compte les Alliés entrent dans Paris (1); il a fallu, ensuite -et comme si ces saignées effroyables ne suffisaient pas- la façon aberrante dont la République a mené les deux Guerres Mondiales -encore 1.500.000 morts pour la Première, et 600.000 pour la seconde !- pour que l'élan vital de la France fût brisé, pour que sa démographie fût atteinte au coeur, et pour que la France éprouvât le besoin, en effet, pour la première fois de son histoire, et à cause de la Révolution et de son héritière/dépositaire: la République idéologique, de faire appel à une aide démographique extérieure.      (à suivre....)

    (1) : Presque 10% de la population disparue, volatilisée, sortie de l'Histoire, en 20 ans, de 1793 à 1815, si l'on additionne les 800.000 morts de la Révolution, le million et demi de jeunes français tués par les guerres napoléoniennes, les 500.000 habitants perdus avec les territoires cédés après les Cent Jours: environ deux millions huit cent mille sur environ vingt neuf millions.....                                                   

  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapi

               Eh oui, les chiffres sont là, et ils sont intrafiquables: au total, ce sont bien presque cinq millions de Français perdus, volatilisés, sortis de l'histoire dans le siècle et demi qui a suivi la Révolution.... Dont énormément de jeunes, qui n'ont pas eu le temps de fonder un foyer, et d'avoir une descendance.

               Voilà pourquoi -et c'est la seule et unique raison: la dé-raison de la politique (?) menée par ceux qui se voulaient pourtant les tenants de la Raison- voilà pourquoi, donc, la France a eu besoin, après la première Guerre Mondiale, et pour la première fois de son histoire, de faire appel à des populations extérieures.

               Encore celles ci vinrent elles d'Europe, pour l'essentiel. Elles avaient donc, en gros et à peu de choses près, les mêmes fondements spirituels, culturels, mentaux et moraux que nous. Et leur proportion, par rapport à la population française, est de toutes façons restée raisonnable, permettant leur intégration, puis leur assimilation.

               Malgré de réelles -et inévitables- frictions, qu'il serait vain et sot de nier, mais qui n'ont, au final, pas entravé l'irrésistible processus d'intégration/assimilation

    ossuaire_de_douaumont3.jpg
    Ossuaire de Douaumont.
    Un million cinq cent mille jeunes français couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue.....

                 Il faut le dire et le répéter jusqu'à ce que cela s'impose, car c'est la réalité, face à leur(s) mensonge(s): ces arrivées de population n'eurent donc rien à voir avec ce qui devait se passer à partir de 1975, quand Chirac ouvrit follement la France au monde, en en faisant une sorte de hall de gare(pour reprendre l'image fort juste de Finkielkraut, qui parle aussi, toujours avec réalisme, de tiroir-caisse !...).

    IMMIGRATION ALGERIENS.jpg

                 Le déséquilibre actuel est donc une donnée tout à fait nouvelle dans notre Histoire, et tout à fait inédite, et il ne date -en tant que fait nuisible et dangereux, voire mortel- que d'il y a 30 ans à peine, c'est à dire d'hier, si on le rapporte à l'échelle de l'Histoire.

                 Il n'y a jamais rien eu de tel avant, et ce depuis nos origines. Dire le contraire c'est, au mieux se tromper, car -nous l'avons dit- on a été trompé; au pire, mentir. Mais alors mentir pour quoi ? et dans quel(s) but(s) ? Poser la question, nous l'avons vu, c'est y répondre...

                Pour conclure ces trop rapides réflexions, il reste à redire et à réaffirmer ce qu'est et ce que signifie "être Français", lorsqu'on a de la France cette vision historique, qui est la nôtre, directement opposée et contraire à la vison idéologique des révolutionnaires: être Français, c'est accepter un Héritage et une longue Histoire, l'Histoire de ce pays original, héritier des Celtes, qui ont rencontré les Grecs, puis Rome, ce qui a donné la Gaule Romaine, mélange harmonieux de gréco-romains et de gallo-romains. Lesquels ont, par la suite, reçu et accepté le christianisme.

                 Une Histoire qui remonte donc à fort longtemps, et qui prend un tour décisif en 496, à Reims, avec le baptême de Clovis.

    DAME DE Brassempouy.jpg

    La Dame de Brassempouy, première représentation connue de la femme (environ 20.000 ans)

              Et qui qui recouvre les 2000 ans de ce Peuple dont parlait ainsi de Gaulle: "Il ne faut pas se payer de mots. C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races, et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes avant tout un Peuple européen, de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne.".

              Être Français, c'est aussi, après avoir accepté cet Héritage, choisir de le transmettre à son tour aux générations futures; c'est être un "Héritier-Transmetteur". A la folle et idéologique définition du Français que proposent les révolutionnaires d'aujourd'hui -dont la fraction trotskyste n'est que la plus remuante...- ("est Français qui veut"), nous opposons une définition enracinée et charnelle (pour parler comme Péguy ou Barrés): est Français non pas qui veut, mais est français qui veut transmettre. Ce qui, on en conviendra, est sacrément différent...

               Transmettre..... 

               Transmettre un héritage qui ne commence bien sûr pas à la Révolution mais au Sacre de Reims en 496, et s'enracine -on l'a trop rapidement vu- encore bien plus avant, dans l'apport Celte, Grec, Romain, chrétien. Mais qui, à l'inverse, ne s'est pas arrêté en 1793, malgré les horreurs et les folies de la Révolution: nous sommes les héritiers de toutes les France et "Tout ce qui est national est nôtre".

    MARC BLOCH 1.jpg

              Nous reprenons à notre compte le fameux "Ensemble, et quand vous voudrez, nous reprendrons le grand mouvement de 1789 !". Et l'ample vision de Marc Bloch (ci dessus), lorsqu'il affirme qu'il y a deux catégories de personnes qui ne comprendront jamais ce qu'est la France: ceux qui refusent de vibrer en souvenir du Sacre de Reims, et ceux qui écoutent sans émotion l'évocation de la Fête de la Fédération...   (à suivre.....).

  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapi

              Dans la masse des âneries que l'on entend sur l'identité nationale, il s'agira donc, pour certains, de simples erreurs, due à l'ignorance dans laquelle le Système a volontairement voulu les tenir, éloignés qu'ils sont de la connaissance de leur Histoire vraie. Et ils sont pardonnables, pour cette raison.

              Mais, pour ceux qui en coulisse tirent les ficelles de l'offensive contre notre Nation historique, il s'agit évidemment bel et bien d'un mensonge délibéré, cachant leurs noirs desseins...

    FRANCE SATELLITE.JPG
    La France est un isthme, une voie de grande communication entre le Nord et le Midi... Le mélange s'est formé peu à peu, ne laissant qu'une heureuse diversité... De là viennent la richesse intellectuelle et morale de la France, son équilibre, son génie.... La France est une œuvre de l'intelligence et de la volonté (Jacques Bainville).

                Qu'est ce que c'est, en effet, que cette "théorie" fumeuse -abracadabrantesque, comme dirait quelqu'un...-  selon laquelle la France ne se serait constituée au cours des siècles que par vagues successives d'immigrants ? Ce que l'on veut accréditer par là, et qui est contraire -on va le voir...- à la plus élémentaire vérité historique, c'est que la France -à la différence d'autres pays, comme l'Allemagne, la Pologne, la Suède et autres, dont on ne nie pas la réalité, n'est-ce pas étrange ?- la France, donc, n'aurait pas d'existence propre autre qu'une continuelle arrivée d'étrangers (comme cela est, pour une bonne part, le cas des États Unis, par exemple...). Sous entendu, donc : ces étrangers enrichissent le pays à chaque nouvelle vague, ils "font" le pays, mieux ils "sont" le pays ! Donc, non seulement il ne faut pas mais encore on ne doit pas s'opposer aux actuels flux migratoires, qui doivent se poursuivre et s'intensifier ! Voilà ce que nous dit l'Evangile selon Saint Immigré....

                La ficelle, évidemment, est un peu grosse: ceux qui ont inventé cette histoire à dormir debout, veulent en fait faire disparaître la France traditionnelle, la dissoudre dans une sorte de magma infâme, qu'ils appellent France métisse pour faire plus sexy, en espèrant que ça passera mieux comme çà...mais qui n'est rien d'autre qu'une libanisation/balkanisation d'une très ancienne Nation historique, par la juxtaposition de plus en plus fragile d'un nombre de plus en plus grand de communautés, de plus en plus séparées par de plus en plus de choses.

                Et tout cela -il faut le redire sans cesse- dans le seul but de dissoudre la réalité historique de la Nation France.

    FRANCE PROVINCES.jpg
    Une unité réelle, fondée sur une riche diversité

                Ces idéologues, travestisseurs de la vérité historique, savent très bien ce qu'ils font en mentant effrontément de la sorte, puisqu'ils sont les héritiers directs des révolutionnaires de 1793, qui se sont levés contre notre Héritage, contre nos Traditions, et qui ont voulu détruire l'ordre millénaire qui avait créé la France, et qui en avait fait la première puissance du monde; qui ont détruit cet Ancien Régime, toujours à réformer pour être toujours amélioré, certes, mais dont Talleyrand pouvait dire que celui qui ne l'avait pas connu ne savait pas ce que c'était que "la douceur de vivre". 

               Soyons sérieux, et regardons les choses comme elles sont, et non en les déformant systématiquement, comme le font les idéologues révolutionnaires: bien sûr, il y a toujours eu, en France comme dans tous les pays du monde entier, des déplacements de population, plus ou moins pacifiques, plus ou moins souhaités, plus ou moins nombreux; et apportant leur lot de conséquences positives et/ou négatives; bien sûr, il y a toujours eu, en France, comme dans tous les pays du monde entier, des invasions guerrières ou des échanges, des mélanges, des brassages plus pacifiques. Il n'en demeure pas moins que jamais, dans sa longue histoire, notre Pays n'a été confronté à l'immigration, dans les termes où celle ci se pose aujourd'hui. Il n'est jamais entré, en 30 ans, entre 10 et 15 millions d'étrangers ! Et quand des étrangers, en nombre infiniment moindre, venaient chez nous, ils se fondaient presque aussitôt dans le moule culturel de la Nation Française (même quand celle ci n'en était qu'à ses origines balbutiantes...).

                Prenons l'exemple de Clovis, et des Grandes Invasions Barbares: jamais, en proportion, les Barbares (Francs, Burgondes, Wisigoths...) n'ont représenté, en proportion, cette masse insensée de 10 à 15 millions d'arrivants d'aujourd'hui. Mais, surtout, et c'est le plus important, jamais ces Barbares n'ont constitué une société à part, à côté pour ainsi dire; ils se sont au contraire fondus très vite dans la masse gallo romaine, qui les a "bu...comme le buvard boit l'encre", pour reprendre l'image pertinente qu'employait de Gaulle vis à vis de la Russie et du communisme. Ils ont embrassé la christianisme, abandonné leur langue et appris le latin, adopté le droit, les moeurs et les coutumes de ce qui était en train de devenir la France (1).     

    CLOVIS.JPG
    Baptême de Clovis

                Même chose, plus tard, pour les envahisseurs Normands: dès que les Rois de France, fort habilement, leur eurent concédé la Normandie, ils cessèrent leurs invasions et devinrent des Français à part entière, prenant même -comme cela avait été pressenti- leur part de la défense commune du territoire qui était devenu le leur, contre... les envahisseurs étrangers !

                A qui fera-t-on croire que c'est ce qui se passe aujourd'hui ?

                Ce qui se passe aujourd'hui, c'est évidemment tout le contraire: avec la complicité active d'une gauche et d'une extrême gauche idéologiques (2) qui veulent -depuis 1793- voir disparaître la France historique, c'est tout l'héritage traditionnel de 2000 ans de Nation Française qui pourrait mourir, submergé, dissous, dilué dans une Babel "socio-idéologique", si rien n'est fait pour s'y opposer.

                Et comment s'y opposer -nous en revenons toujours à notre avant-propos...- dans le cadre du régime et du Système de la république idéologique qui, précisément, souhaite et organise ce processus, afin de construire sa chimère fumeuse du pays nouveau, de l'idée nouvelle, de l'homme nouveau qui doit être tout, mais surtout pas -surtout plus !- ce qu'il a été "avant" ?....          (à suivre...)

    (1) : Ils ne manifestaient pas pour garder leur costume, comme le font certains aujourd'hui avec leur burqa; ou pour continuer à manger la même nourriture qu'avant; ou pour conserver d'autres aspects de leurs moeurs ou de leur religion, comme le font certains aujourd'hui, avec leur polygamie, leur excision, leur charia....

    (2) : Qui ne représentent évidemment pas toute la gauche....

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système...(3/3).

              ...On le voit, le reproche principal que nous pouvons faire aux "immigrationnistes" acharnés (type RESF) concerne l'efficacité -et dans leur cas l'inefficacité...- de leur action: ce n'est pas en déplaçant un problème qu'on le résout; ce n'est pas en transplantant la misère d'un lieu à un autre qu'on résout le problème de la misère, c'est en la combattant et en l'éradiquant sur place: que l'on regarde ce qui s'est passé en France (la Gaule de l'époque) durant le Moyen Âge: la régression a été effroyable après la chute de l'Empire Romain et après la prospérité de la Pax Romana; pourtant, nos ancêtres les gaulois (devenus entre temps gallo-romains) ne sont pas partis en Asie ou en Afrique, dans d'autres pays plus avancés; ils ont retroussé leurs manches et, durant plusieurs générations, ils ont travaillé dur pour nous créer et nous laisser en héritage ce pays qui est le nôtre aujourd'hui; et leur vie n'a pas été facile: on mourrait jeune, on mangeait peu et mal, la douleur était monnaie courante car la "santé" au sens d'aujourd'hui était inexistante; on avait la peste, il y avait les famines, les épidémies, les guerres; et il n'y avait pas d'ONU pour intervenir, pas d'Unicef pour sauver les enfants, aucun organisme international d'aucune sorte pour venir nous aider.... 

              Mais la France est apparue, parce que le peuple français, obstiné et courageux, a voulu survivre, a voulu progresser, et s'en est donné les moyens, par son labeur acharné et seulement par son labeur acharné: voilà la vraie et forte leçon à méditer, l'exemple à suivre: c'est en développant les pays pauvres et en rendant enfin les gens heureux sur place, et non en organisant des transferts massifs de population, qu'on réglera le problème de la pauvreté; transformer un pays riche en un pays pauvre ne sera d'aucun secours pour personne, cela n'a jamais été la solution, et ne l'est pas plus aujourd'hui qu'hier. il faut être aveugle, ou avoir d'autres idées en têtes, comme RESF pour croire le contraire...

              Redisons-le: et dans le fond et dans la forme tout ce à quoi nous assistons depuis des années est déplorable, lamentable, condamnable....et dangereux. Et tout cela part d'une idée, d'une théorie, d'une fumeuse et funeste construction intellectuelle (ou plutôt pseudo intellectuelle) de générosité mal placée et mal conçue; de solidarité mal pensée; de nationalité mal et faussement définie; le tout assorti d'un manque total d'efficacité....Il faut "arrêter les frais", il faut remettre de l'ordre dans nos rues, cela devient urgent car, à terme (et un terme pas si lointain...) on ne sera plus en France (on n'y est déjà plus dans certain endroits: il suffit de voir ce qui se passe en Seine Saint Denis...). Mais avant de régner dans les rues, on le sait bien, l'ordre doit d'abord régner dans les esprits, et il faut remettre les idées à l'endroit: c'est dire toute l'urgence de la solution Royale que nous proposons: il faut jouer et proposer sur les deux tableaux; il faut remettre en cause ce qui se passe actuellement, et pour cela il faut remettre en ordre les fondements intellectuels de notre société, faussés et fourvoyés depuis la révolution....  (fin).