« La transgression s’efface des œuvres dès qu’il est question de politique, de religion, de sexe, de couleur de peau », par Michel Guerrin
« Unes » de l’hebdomadaire « Charlie Hebdo » du 2 septembre, à la veille de l’ouverture du procès des attentats de janvier 2015, à Paris. AFP
Comment va aujourd’hui la liberté d’expression et de création à l’heure où se tient le procès de la tuerie contre « Charlie » ? Pas très bien, l’autocensure galope.







