Hommage à Jean Raspail (suite), par Anne Chevallier et Béatrice Challes.
Source : https://www.actionfrancaise.net/
Dernière lettre à Jean Raspail, Un article de la revue « Le Bien Commun »
Retrouvez la première partie ici.
Sans parler de ses succès commerciaux, en France comme à l’étranger. Pourquoi, alors ? La réponse est tout entière dans la devise qu’il a créée et dont il a fait don à la famille Pikkendorff : ” Je suis d’abord mes propres pas “. Portant beau dans ses vestes autrichiennes et son éternel duffle coat, toujours paré de sa cravate fleurdelysée (le 21 janvier, elle était ” de sable semé de fleurs de lys d’or “), ce grand gaillard élégant, à la majestueuse moustache, en imposait. Plus viking que germanopratin, il détonnait assurément dans ce milieu corseté de l’édition parisienne.