Au Cinéma : Don Juan, par Guilhem de Tarlé
À l’affiche : Don Juan, un film français de Serge Bozon, avec Tahar Rahim (Laurent, Don Juan), Virginie Efira (Julie), Alain Chamfort (« dans la peau du Commandeur »).
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À l’affiche : Don Juan, un film français de Serge Bozon, avec Tahar Rahim (Laurent, Don Juan), Virginie Efira (Julie), Alain Chamfort (« dans la peau du Commandeur »).
Retour sur le chaos désolant du Stade de France :
Nous aussi, avec Zemmour et beaucoup d'autres, nous accusons Darmanin de mentir...
(extrait vidéo 1'19)
https://twitter.com/ChabertColonel1/status/1531164113749131265?s=20&t=yEWbupkGwziCaz5iG9JbUg
Le grand remplacement commence par le petit remplacement, que dénoncent ici, à juste titre, Kévin Bossuet et Gilles-William Goldnadel, et qu'a dénoncé maintes fois Zemmour : les membres de la communauté juive obligés de quitter leur ville de naissance, face à la pression menaçante, haineuse, violente de l'islamisme importé...
Le bricolage électoraliste express baptisé "NUPES", avec son islamo-gauchisme de choc, favorise ce petit remplacement, premier temps du second : le grand...
Le Rassemblement eut lieu le dimanche 29. Voici donc la "Une" du lendemain, lundi 30 mai 1927... /
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k763060r#
Le reportage, comme pour le Rassemblement du Mont des Alouettes l'année précédente, ne fait pas le gros titre du journal : il n'occupe que deux courtes colonnes, tout en bas, à droite de la première page, et s'achève en page deux, sur l'intégralité des deux colonnes de gauche...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
En "Une", en bas des deux colonnes de droite) :
Le compte-rendu se poursuit en page deux, sur l'intégralité des deux colonnes de gauche...
"Être voilée, en France, c'est difficile" : le propos indécent de Diam's, qui a fait débat chez Morandini.
Très franchement, à lafautearousseau, Diam's - pour reprendre l'expression de Léon Daudet - "on s'en fiche, on s'en contrefiche, on s'en hyper-archi-contrefiche". Ce qui nous a choqué, par contre, c'est, ce vendredi matin, qu'on parle d'elle pendant de très longues minutes (trop longues) et qu'on ait accordé à son propos une importance qu'il n'a pas, sans lui apporter la vraie réponse qu'il fallait - si on en parlait - lui envoyer en plein visage...
La religion chrétienne est la plus persécutée au monde, dans plusieurs pays forts différents : de la Chine communiste à l'Inde - en proie à un hondouisme très souvent férocement antichrétien - en passant par... les pays musulmans. C'est cela qu'il fallait répondre à cette pauvre insensée qui se croit quelqu'un : elle prétend que la France - en particulier - et l'Europe - en général - n'offrent pas de conditions d'existences correctes à ses corréligionnaires, ce qui est archi-faux, mais elle se garde bien de dire que si le christianisme promet le Paradis dans l'autre monde, dans la vraie vie, l'éternelle, "après" celle-ci, l'Islam fait vivre dès maintenant l'Enfer sur terre à tous ceux - et tout particulièrement les chrétiens - qui ne veulent pas s'y soumettre...
Pour eux le choix est simple : c'est la conversion forcée, ou l'exil, ou la mort ou, dernière possibilité, la "dhimmitude", c'est-à-dire l'acceptation du statut (?) de citoyen de seconde zone (dans le meilleur des cas).
Que les islamophiles ne viennent pas nous raconter des sornettes : les faits sont là, ils sont avérés : dans l'immense majorité des pays où il règne en maître, l'Islam persécute et rêve d'étendre sa domination totalitaire et contraignante au monde entier...
Et pour les non-musulmans, ce n'est pas "difficile", c'est, tout simplement, l'Enfer...
Art et Essai : Je m’appelle Bernadette, un film français (2011) de Jean Sagols, avec Katia Miran (Bernadette Soubirous), Michel Aumont (Abbé Peyramale, curé de la paroisse), Francis Perrin (le commissaire Jacomet), Rufus (Mgr Forcade).
Retour sur l'écoeurant et scandaleux propos du Premier ministre, Élisabeth Borne, lors de la "passation de pouvoirs" : une gifle ignoble aux milliers de personnels soignants et connexes aux établissements de soin SUSPENDUS SANS SALAIRE depuis 8 mois, toujours interdits de travail sans justification rationnelle...
Elle a osé déclarer : "Le travail c’est la clé de la dignité, l’occasion de faire, d’apporter sa pierre à la société et de gagner sa vie par soi-même. Le travail c’est ce qui donne un sens à sa vie", propos tout à fait exact, mais qui devient répugnant lorsqu'on sait le sort par elle réservé aux 15.000 soignants (ne pas oublier les 5.000 pompiers...)
Le Sénat a réussi a fondre les poubelles dans le paysage du Jardin du Luxembourg. La municipalité ne pourrait-elle pas s’inspirer de cet exemple, même s'il est clair qu'il ne pourrait pas être possible absolument partout, plutôt que de maintenir son système actuel de bennes qui débordent de déchets ?
Aujourd’hui, ce coup de canif à mes commentaires cinématographiques pour vous engager à lire un roman d’actualité de Laurent Gounelle : Le Réveil (Calmann Lévy, 195 pages).
J’avoue n’avoir jamais entendu parler de cet auteur jusqu’à ce Réveil, son neuvième roman, cadeau de mes enfants à leur mère qui en avaient lu une critique excellente.
A mon tour maintenant d’inciter chacun – à commencer précisément par mes enfants – à le lire.
« Mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres »… Laurent Gounelle nous précise en conclusion de son roman, qu’à l’écoute de Lao-tseu , sa « démarche habituelle (est) de créer des histoires positives qui contribuent à allumer des petites bougies ».
Ce Réveil sur la manipulation des masses est donc l’exception qui confirme sa règle, pour réveiller de sa torpeur un lecteur et un électeur trop tenté de se contenter de masques et de minerves, de marches blanches et de « petites bougies »
A lire sur la plage ou chez soi, avant la Rentrée et la variole du singe.
192 pages, 15 euros
Il a fallu un bon mois, laborieux, pour le former ("on" cherchait, nous assurait-on, "les meilleurs" !). À peine annoncé, le nouveau gouvernement croule sous les déceptions et fureurs qu'il engendre :
• la provocation Pap Ndiaye à la des-Éducation ne passe pas : on n'installe pas à l'Instruction publique une nullité qui ne sait pas que "la France est un composé..., mieux qu'une race, une Nation..." (Bainville) et qui confond la situation des Noirs aux États-Désunis d'Amérique et celle des Noirs en France...
• l'affaire Abad ne passe pas non plus : dans Tintin, on avait "le sparadrap du Capitaine Hadock", là on a "le sparadr'Abad du Premier ministre"...
• lequel, justement, a carrément menti en direct, à la télé, puisque Élisabeth Borne a déclaré "Naturellement, je n'étais pas au courant..." alors qu'on sait que le sommet de l'État était au courant, au contraire, que deux "signalements" avaient été faits...
• et, cerise sur le gâteau, on nous dit que les six ministres candidats aux Législatives qui approchent devront démissionner s'ils sont battus (ce qui semble, d'ailleurs, normal) : en somme, ce n'est pas un gouvernement mais un conglomérat hétéroclite de sursitaires, provocateurs, mis en examens, soupçonnés etc...
Déjà une manifestation a eu lieu contre cette sorte de bande, et l'opinion est à la fois étonnée, choquée et révoltée contre ce conglomérat hétéroclite.
Il n'est pas éxagéré de dire que la France est sans gouvernement réel depuis le début du quinquennat et que cette situation de pourrissement précoce va durer jusqu'aux élections.
Alors, pourquoi ne pas se passer, carrément, d'une bande de "poseurs de problèmes", et ne présenter un gouvernement qu'après les élections ? Vide pour vide, autant un vrai vide qu'un semblant, qu'une illusion de gouvernement, dont tout le monde sent et sait qu'il ne va pas durer bien longtemps...
CE GOUVERNEMENT, TOUT ENTIER ?
DÉMISSION !