Images de ce 21 janvier....
1. A Saint-Germain-l'Auxerrois, Paroisse des Rois de France :
Monseigneur le Comte de Paris, à la sortie de la Messe.
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Monseigneur le Comte de Paris, à la sortie de la Messe.
Voici donc M. Hollande dans le rôle du « chef », grâce à la vertu des institutions de la Ve République. Nous ne nous en plaindrons pas mais, s’il faut bien entendu souhaiter que les résultats de l’opération Serval soient à la hauteur des mots employés (c’est « la guerre », « il faut les détruire »), rien ne doit venir occulter les questions politiques que pose la passe d’armes initiée au Mali.
D’abord, pourquoi la France s’est-elle trouvée si longtemps seule et se trouve-t-elle désormais si peu soutenue de façon concrète par ses « partenaires » privilégiés que sont les Européens ? Réponse : l’Europe n’est pas défaillante, elle est inexistante. Donc continuer de réduire les dépenses militaires, en prenant notamment comme prétexte que nous ne serions plus qu’une composante d’un ensemble européen, comme le font les gouvernements successifs depuis des années, relève au mieux de l’aveuglement. Certes, il serait de bonne politique de contracter de solides alliances militaires avec nos proches voisins. Mais ne faisons pas comme si c’était fait. Alors qu’on célèbre le cinquantenaire du traité de l’Elysée, signé par le général De Gaulle et le chancelier Adenauer le 22 janvier 1963, il serait peut-être temps de poser le problème. D’autant qu’il sera très difficile à résoudre car, pour l’Allemagne (ou la Grande-Bretagne), toute action militaire doit s’inscrire dans une démarche chapeautée par les Etats-Unis d’Amérique, toute action de défense européenne passe par l’OTAN.
Nous devons donc forcément nous interroger sur les Etats-Unis d’Amérique. L’Histoire récente nous enseigne que les Américains ont toujours été hostiles à la présence française en Afrique (comme le montre leur position durant la décolonisation – y compris pour l’Algérie) et qu’ils ont constamment œuvré par tous les moyens et dans tous les domaines (non seulement économique et commercial mais aussi culturel et diplomatique) pour nous évincer de ce continent. Ils sont l’Empire et, en Afrique aussi, ont la prétention de régenter les choses. Dans ces conditions, tout abandon de souveraineté – comme le réalignement récent de la France par le retour dans le commandement intégré de l’OTAN – peut être dangereux pour notre indépendance nationale et constituer de ce fait une faute impardonnable. La ligne à suivre est claire : alliés, oui ; sujets, non. A défaut, il faut renoncer à exister en tant que puissance qui compte.
Enfin, comment ne pas s’interroger sur les incohérences de notre politique arabo-africaine. Certains de ces « djihadistes » que nous combattons au Mali faisaient partie des rebelles libyens auxquels nous avons, de façon irresponsable, parachuté des armes : qui sait si la balle qui a tué le lieutenant Boiteux n’est pas une balle française ? Certes, l’engagement français en Libye était le fait de l’improbable attelage Lévy-Sarkozy. Mais, en ce qui concerne la Syrie, c’est bien M. Hollande qui a pris l’initiative de reconnaître les insurgés – dont la plupart sont des islamistes qui – ce n’est un secret pour personne – sont armés et financés par des états du Golfe – dont notre très cher Qatar. On ne peut pas prétendre lutter contre la nébuleuse islamiste sans désigner ses bailleurs de fonds, par ailleurs très actifs et entreprenants jusque dans nos cités. Il est vain de s’imaginer que le wahhabisme est soluble dans quelque « modernité » que ce soit et il faudra bien en tirer les conséquences.
M. Hollande est pour l’instant à son avantage comme chef des armées. Il faut espérer qu’il saura aussi, malgré ses antécédents idéologiques, être à son avantage comme véritable responsable de la politique étrangère de la France.
On dit qu'il aurait été abattu par des gens du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad); c'est à vérifier...
Mais ce qui est sûr c'est que, sitôt le "coup de main" de son groupe sur le site de In Amenas confronté à une sévère réaction miliatire, il s'est caché parmi des civils : belle "mentalité", qui représente bien la face hideuse du terrorisme, déguisé en "djihadisme" : on fait le beau et on roule des mécaniques devant les caméras, et lorsqu'il s'agit de civils, désarmés, sans défense, pris par surprise : là, on tue, on viole, on est "fort". Ou, plutôt, on "joue" au fort...
Mais dès qu'arrivent de vrais soldats, avec de vraies armes, qui tuent pour de vrai, et qui leur font ce qu'ils ont fait aux autres, alors, là, c'est autre chose : ces lâches courent se cacher, de préférence au milieu de civils, qui serviront de boucliers humains. Très "courageux" ! Même pas capables de mourir au combat, "face au soleil", en hommes, quoi...
Gesticuler et parader, assassiner, violer, ça d'accord; mais si c'est la guerre, alors, "allô, maman, bobo !..."
C'est "çà" le prétendu "djihadisme" ?
Lamentable, minable, misérable...
Les Messes pour Louis XVI ne doivent pas être de pure commémoration.....
Albert Camus le meurtre du roi pretre.pdf
Les Messes pour Louis XVI, dites partout en France - et à l'étranger - depuis 1793, ne sont plus de pure commémoration. Elles doivent aussi, elles doivent surtout, pour aujourd'hui, nourrir le processus de dérévolution dont la France a besoin pour renouer avec son Histoire, se replacer dans le droit fil de sa trajectoire historique et, s'il se peut, reprendre, un jour, sa marche en avant.
Pendant bien des années, en effet, tous les 21 janvier, les Messes pour Louis XVI étaient, essentiellement, commémoratives.
Les dernières de cette longue série, que l’Action française était presque seule à maintenir, ne réunissaient plus, du moins en province, malgré une fidélité remarquable des participants, que peu de monde; elles étaient plutôt tristes; souvent, le célébrant ne disait pas un mot du roi Louis XVI; ces Messes avaient un air de naufrage du grand souvenir qui les motivait.
Les choses ont bien changé depuis déjà quelques années.
Il nous semble qu'elles ont basculé, pour un certain nombre de raisons assez identifiables, autour des années 1987, 1989 et 1993 ...
1987, c'était le millénaire capétien où le comte de Paris prit l'heureuse décision de titrer, avec solennité, ses petits-fils Jean et Eudes, ducs de Vendôme et d'Angoulême ; de désigner le prince Jean comme devant reprendre le flambeau de la Famille de France et de la tradition royale. Par là, il semble qu'il rouvrait à l'hypothèse monarchique un horizon nouveau ...
1989, ce fut l'échec patent des commémorations de la Révolution.
1993, deuxième centenaire de l'exécution de Louis XVI, ce fut, grâce à l'action de quelques uns (Jean Raspail, Marcel Jullian, Jean-Marc Varaut ...) l'occasion d'un procès en règle de la Révolution, de ses horreurs, de l’exécution du Roi et de la Reine, du martyre de Louis XVII, de la Terreur, du génocide vendéen ...
Quelques uns encore (Jean-Marc Varaut, Alain Besançon, Jean-François Mattéi) ont développé l’idée que cette révolution était la matrice des horreurs révolutionnaires et totalitaires qui ont marqué tout le XXème siècle. Ainsi, le rejet de la Révolution commençait à s’inscrire dans notre modernité. Et aboutissait, de facto, à la remettre en cause. On sait que, depuis, cette remise en cause est pratiquée aussi par des intellectuels issus de la Gauche, parmi les plus éminents.
Au cours des années qui ont suivi, la redécouverte progressive de notre histoire monarchique par un certain nombre d’intellectuels, mais aussi dans la presse, les médias, et, finalement, une frange non négligeable de l’opinion française, s’est faite, de plus en plus, de façon non plus négative, mais positive.
De fait, notre hypothèse étant qu’un certain basculement de ce que Barrès nommait « les puissances du sentiment » s’est produit, en France, à partir de 1987 jusqu’à aujourd’hui, l’on ne peut plus parler ni de la Révolution ni de notre passé monarchique, après, comme on en parlait avant…
Ce n’est sûrement pas une coïncidence, si, simultanément, dans toute la France, les Messes du 21 janvier ont pris, de façon a priori surprenante, un nouveau visage. Les assistances sont devenues nombreuses, ferventes, priantes ; les prêtres sont devenus sensibles à l’exemplarité du Roi et de la Reine, au sort indigne infligé à Louis XVII, aux conséquences sociales, politiques et, même, religieuses de la Révolution. Ces Messes ont cessé d’être des Messes d’enterrement. Elles ont retrouvé un sens. La liturgie y est, souvent, redevenue très belle et la présence des Princes, à Paris, comme en Province, donne à ce qu’elles commémorent une incarnation qui pourrait être utile au temps présent.
C’est ainsi que les Messes pour Louis XVI contribuent symboliquement et performativement à ce que nous appelons le processus de dérévolution. Processus dont la France a besoin pour rompre le cycle schizophrène qui, depuis deux siècles, l’a coupée d’elle-même.
Nous avons la chance historique – pour la première fois depuis fort longtemps – que les Princes de la Maison de France, y soient, à titre éminent, partie prenante.
Si nous savons contribuer à activer et amplifier ce processus, tout simplement, nous serons utiles, non à notre propre plaisir, mais à notre Pays.
Nous publierons ici la liste de toutes les messes dont nous aurons connaissance...
I : Excellente ambiance chaleureuse et amicale ce samedi 20 janvier en soirée au cours du banquet royaliste qui faisait suite au colloque organisé par le Cercle de Flore dans la journée. Les chants joyeux résonnaient se répondant d une salle à l’autre. Plus de cent convives répondirent à l’invitation de l’Action française pour ce moment d amitié et de convivialité.
Un moment un peu plus grave sanctionnant l’engagement militant fut salué par l’assemblée non sans une certaine émotion.
La fameuse plaque bleue tant convoitée par nos militants fut remise solennellement par les cadres du mouvement à trois jeunes dont l’engagement méritait d’être souligné cette année. (Blanche, Fabrice et Thomas).
Plus tard dans la soirée nous nous séparèrent en nous donnant rendez-vous pour le lendemain pour rendre ensemble hommage au Roi Martyr.
II : Dimanche 20 janvier au soir, l’Action française invitait tous les Français à participer au cortège aux flambeaux, de la Madeleine à la Chapelle Expiatoire, en hommage au roi Louis XVI, assassiné le 21 janvier 1793, il y a 220 ans. Plus de trois cents Français ont répondu à l’appel, en présence de SAR le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme.
De gauche à droite, SAR le Prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme, Olivier Perceval, secrétaire général du CRAF (Centre Royaliste d'’Action française) et Antoine Desonay, secrétaire général des étudiants du CRAF
Quelques mots du Prince
Lire également le reportage du Parisien : L’Action Française commémore les 220 ans de la mort de Louis XVI
Toute pensée qui ne se traduit pas par une action est vaine, c'est une affaire entendue; mais toute action - contre le des-ordre établi actuel- qui ne se fonderait pas sur les Idées d'ordre, serait simplement de l'activisme, de l'agitation brouillonne et, au final, tout aussi vaine. C’est donc une réflexion de fond sur la famille, minée par l’individualisme, par l’égoïsme contemporains; c’est une contre-idéologie qu’il faut opposer à l'idéologie radicalisée qui sous-tend le projet de loi gouvernemental. C'est ce qu'il faut lancer, ce qu'il faut être capable d'entreprendre maintenant. Car c'est à cette condition que la grande campagne en cours trouvera un prolongement, durera, s'amplifiera et aura, en définitive, été efficace. Voilà pourquoi nous ouvrons, dès mardi, un dossier des contributions au débat de différentes personnalités et intellectuels :
POUR UNE REFLEXION DE FOND SUR LE "MARIAGE POUR TOUS".
Nous commencerons en publiant l'intégralité de l'entretien de Jean Sévillia avec Chantal Delsol, puis nous mettrons à disposition les contributions de Thibaud Collin, d'Hilaire de Crémiers, de Jean-François Mattéi et d'autres encore...
Auparavant, demain lundi, Louis-Joseph Delanglade proposera le regard sur l'actualité qu'il jette chaque semaine ...
Parler de l'assassinat de Louis XVI, acte fondateur des Totalitarismes modernes, ce n'est pas parler du passé mais du présent le plus actuel, puisque c'est ce Système, notre actuelle République idéologique, héritière de la Révolution, qui détruit de fond en comble notre société traditionnelle : on écoutera donc, mercredi ou jeudi, l'homélie du Père Manzano, prononcée ce 21 janvier, à Marseille (pour voir ou revoir les homélies de 2010 -Père Zanotti Sorkine, en présence du Prince Jean, de 2012 - Père Sciortino-Bayart ; pour lire celle de 2011 - Père Manzano)...
On lira également cette semaine In tenebris lux, l'analyse politique d'Hilaire de Crémiers, et on présentera le n° 114 de Politique magazine ...
* On gardera le samedi, comme on en a pris l'habitude maintenant, pour une note en deux parties :
1. D'abord, une revue des Blogs, de Facebook, des magazines et d'ailleurs;
2. Et, ensuite, on donnera les liens que des lecteurs ont envoyés : N'hésitez pas à nous faire parvenir des liens sur des sujets qui vous ont paru importants...
* "L'Album Daudet" est terminé : du moins on l'arrête là, car on en est à 223 photos et, si l'on continue, on n'aura toujours pas épuisé le sujet, mais on aura, probablement, épuisé le lecteur...; des "passages" resteront donc dans les tiroirs, du moins pour l'instant, qui auraient pu être "sortis", mais pour une personne hyperactive comme Daudet, qui a fréquenté tant de gens - les appréciant ou non - qui a tant "bougé", qui a dit, fait, commenté tant de choses, si l'on veut tout dire et tout montrer, il faudrait un Album de 3 à 400 photos, et plus, ce qui ne serait pas raisonnable. Nous en commencerons la publication dès la fin du "21 janvier", en feuilleton, comme nous l'avons fait cet été pour "L'aventure France racontée par les cartes", et cela occupera bien tout le mois de février : on verra qu'il s'agira, aussi, d'une contribution à la vulgarisation de la connaissance de l'histoire vraie de l'Action française, cette extraordinaire "aventure"...
* On aura, évidemment, les Ephémérides, car c'est "tout cela, tous ceux-là, aussi, la France" : de l'insurrection générale de la Gaule contre César et de Claude, né à Lyon, qui devient le quatrième Empereur romain, au lancement du satellite Spot 2 et au premier vol du Concorde... En passant par François Premier, qui ordonne la construction du Château d'If et du Fort de la Garde (qui deviendra "Notre-Dame"...); le Bugey, la Bresse et le Pays de Gex qui deviennent français, par le Traité de Lyon; l'instauration de la "Saint Vincent tournante"; évidemment, l'assassinat de Louis XVI puis le début de la destruction méthodique de la Vendée par les Colonnes infernales; la capture de la flotte hollandaise par la cavalerie de Pichegru (mais oui !)... Sans oublier les naissances du futur Charles V, de Guillaume Budé, Mansart, Stendhal, Ampère; et les décès d'Anne d'Autriche, de Philippe Buache, Claude Chappe, Joseph Boze, Géricault, Nerval...
En plus de la Table des Matières (pour les 366 jours de l'année, les Ephémérides proposent, en permanence L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)... et aussi... de la MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf
* Notre rubrique Activités partout en France (mise à jour quotidiennement) propose en permanence une trentaine d'activités diverses et publie, depuis le 20, le tableau des manifestations prévues pour le 21 janvier 2013 : 54 sont déjà annoncées. Faites-nous parvenir les annonces le plus tôt possible: la dernière fois, nous avons reçu la dernière annonce le jour même du 21 janvier, à 10h12, pour une messe le soir !... : "sitôt reçu, sitôt publié", elle est à votre disposition pour annoncer et répercuter tout ce qui se fait chez vous, "sans nostalgie ni folklore", pour un royalisme intelligent. Lafautearousseau se veut la "maison commune" de toutes les bonnes volontés royalistes, fidèles à la Maison de France.
* Bienvenue à nos nouveaux "Amis", cette semaine, sur notre Page Facebook Lafautearousseau Royaliste : elle a accueilli son 1.741ème "ami", et nous nous sommes fixés comme objectif, pour commencer, d'avoir 5.000 "amis": il nous faut annoncer, rendre compte, expliquer... à toujours plus de gens, et cette Page est l'un des moyens d'y arriver. Aidez-nous donc à la développer, en vous inscrivant vous-mêmes, en lui suscitant des "amis", en la faisant connaître autour de vous.
* Et, bien sûr, on réagira "en temps réel" (comme on dit dans le jargon) à l'actualité immédiate, et on parlera de tout ce dont on ne sait pas encore que l'actualité nous amènera à évoquer.
Bonne lecture, et bonne semaine sur votre quotidien !
(Compte-rendu des organisateurs)
Si le temps avait été plus clément, certainement aurions-nous dû refuser du monde ! La péniche du Blues Café, samedi après-midi, avait en effet fait le plein de monde. Il est vrai que le thème était à la fois important et tombait en plein actualité, au lendemain du début de l’intervention française au Mali et que, d’autre part, les invités étaient prestigieux.
(Cette chronique n'a pas d'autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d'importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées... Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour "aller plus loin"...)
1. Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs... :
Les "jeunes" nous souhaitent la Bonne Année : c'est sur Boulevard Voltaire : http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/les-identitaires-ne-sont-que-des-amateurs,7438
Défiant la neige et le froid, une centaine de personnes est venue, hier soir vendredi 18 janvier, à l’appel du CRAF (Centre Royaliste d'Action Française), devant l’ambassade grecque, manifester leur solidarité avec ce peuple martyr de Bruxelles, et crier leur volonté de sortir de l’euro et de rentrer dans l’histoire. Quittons leur "Europe" ! Sécession !
Outre Olivier Perceval, secrétaire général du CRAF, Elie Hatem, du comité directeur du CRAF et François Marcilhac, directeur éditorial de l’Action Française 2000, étaient également présents : Karim Ouchikh, président de Souveraineté, Indépendance et Libertés et Alain Bournazel, président du Rassemblement pour l’indépendance de la France, sans oublier Mme Jany Le Pen, qui est venue honorer la manifestation de sa présence et a prononcé quelques mots de soutien au peuple grec, en témoignage de ses origines hellènes.
"Du passé faisons table rase !" : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des idées, et, si possible, une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur Lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines...
Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire" :
* Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"
* Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".
L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)...
MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf
TABLE DES MATIERES PREMIER SEMESTRE.pdf
TABLE DES MATIERES SECOND SEMESTRE.pdf
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :
Français de plastique, peut-être, et même sûrement, mais Français "de coeur et d'esprit", comme le disait le Père de Foucauld, sûrement pas. Qu'on ne se moque pas du monde et qu'on ne dise pas n'importe quoi. Un terroriste a été tué, dans l'accomplissemment de sa sale et lâche besogne, qui est de s'en prendre à des innocents désarmés, qui ne faisaient rien d'autre que de travailler normalement et honnêtement.
L'homme qui les a enlevés a commis un crime. Il a pris ses risques et ses responsabilités. Il a payé pour sa folie criminelle. Qu'il ait eu dans sa poche un petit rectangle de plastique que le Système lui a donné ne change rien à l'affaire : ce criminel n'était pas français : sa nationalité, c'était l'Islam-isme et le terrorisme, nos ennemis...
L'un de nos lecteurs réguliers, avec qui, sur certains points, nous n'avons pas toujours été d'accord, mais avec qui, sur l'essentiel -notre attachement à la royauté française et à ses actuels héritiers -nous nous sommes toujours retrouvés, nous a fait l'amitié de nous transmettre le message et l'article que nous reproduisons, ici, volontiers car cet article éclaire une période cruciale de l'Histoire de France et, parce que, par analogie ou transposition, il peut susciter une réflexion permettant de comprendre et, le cas échéant, de résoudre les graves problèmes qui assaillent la France d'aujourd'hui.
Nous ne commenterons pas cet article qui se suffit à lui-même. Nous ajouterons, seulement, qu"en le lisant, nous l'avons instinctivement rapproché de ce que - le jour de la Fête Nationale de Jeanne d'Arc, le 12 mai dernier - Alain Bourrit disait de cette période, de Jeanne d'Arc, de Charles VII et de l'extraordinaire retournement politique qu'avait opéré ce roi, faisant ou refaisant, en quelques décennies, d'un pays réduit à peu de chose, envahi et ruiné, l'une des premières nations d'Europe. On se reportera, si on le désire, à la vidéo de cet exposé (Café politique de Lafautearousseau, à Marseille, vidéo publiée le 21.05.2012).
Chers amis,
Tout d'abord, je vous présente mes voeux les meilleurs pour l'année 2013.
Je vous joins un article paru dans Marianne qu'il serait intéressant d'examiner et peut-être de le diffuser sur LAFAUTEAROUSSEAU.
Bien amicalement,
DC
France info parle ce matin, en réponse à une question d'auditeur, du nombre de députés dans les différents apys européens, et aux USA. Le journaliste fait remarquer que chaque Etat amériacain disposant de son propre Congrès, il faut nuancer l comparaison, mais tout de même, les chiffres sont là :
Etats-Unis : 300 millions d'habitants = 100 sénateurs et 435 représentants : total 535;
France : 60 millions d'habitants = 350 sénateurs et 577 députés : total 927;
Rien qu'en ramenant les chiffres français aux chiffres états-uniens, ce qui serait déjà énorme puisqu'il y a cinq foix plus d'habitants là-bas - et on en aurait encore cinq fois trop ! -on devrait carrément supprimer la bagatelle de 250 sénateurs et 142 députés.
Qui ne seraient donc plus députés, mais, certes, dépités.
Calculeé au plus juste, "à la louche", cela ferait : 6.000 euros x 342 = 2.052.000 euros par mois et donc 24.624.000 euros par an : un sacré "sapin" de Noël - puisque l'un de nos ministres s'appelle, justement, Sapin... - rudement illuminé non ?
Sous le titre "Misère, misères...", Royaliste - dans son numéro 1026, du 7 au 20 janvier - publie un très intéressant entretien avec Laurent Wetzel, qui répond aux questions de Pascal Beaucher. Tout récemment, le samedi 12 décembre 2012, Laurent Wetzel animait le troisième volet de notre Enquête sur la République : Ils ont tué l'Histoire-Géo. Qui et pourquoi ?
Nous donnons ci-dessous le texte de cet entretien, qui mérite d'être lu, et nous le faisons suivre de la vidéo de notre Café politique de décembre, ce qui donnera une vision d'ensemble assez complète à ceux qui sont intéressés par ce sujet, fondamental, mais qui ne connaissent pas toujours les tenants et les aboutissants...
Présentation de l'éditeur
L'enseignement de l'histoire-géo va mal. Depuis des années, sous des gouvernements de gauche comme de droite, les réformes se sont succédé mais n'ont fait qu'aggraver la situation. Qui sont les responsables de ce fiasco et que faire ? Professeur d'histoire-géo et ancien inspecteur d'académie, Laurent Wetzel dénonce avec virulence les erreurs et les aberrations contenues dans les textes ministériels, le charabia des hauts fonctionnaires ainsi que l'incompétence de nombreux responsables de l'Education nationale. Mais tout n'est pas perdu. Aujourd'hui une vraie réforme est possible si l'on s'appuie sur ceux qui croient encore à l'importance de ces deux matières : les professeurs et les parents. Un livre réquisitoire sur un sujet qui nous concerne tous.
Biographie de l'auteur
Laurent Wetzel, ancien élève de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, est agrégé d'histoire. Il a été professeur d'histoire, de géographie et d'éducation civique dans plusieurs collèges et lycées franciliens, avant de devenir inspecteur d'académie-inspecteur pédagogique régional d'histoire-géographie. Retraité depuis peu, il n'est plus astreint au "devoir de réserve".
Pour « aller encore plus loin »… :
1. : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/08/24/01016-...