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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 133

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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    La Chronique de Mathieu Bock-Côté, dans Le Figaro (extrait) :

    "Tandis qu’elle fait usage de l’idéologie universaliste pour détruire ce qu’il reste de l’école libre, la République tolère la progression de la civilisation islamique en France.

    Cela fait quelques mois, déjà, que l’abaya est devenue le symbole de l’offensive islamiste à l’école et, plus encore, de la sécession culturelle d’une partie de la jeune génération issue de l’immigration, qui entend marquer visiblement une forme de différence conquérante. Certains veulent voir dans sa présence une «atteinte à la laïcité». Cela nous rappelle à quel point le discours public français n’envisage le commun que sous le signe de la laïcité, comme s’il s’agissait de la seule identité collective autorisée.

    Mieux vaudrait, si ce vocabulaire était autorisé, parler d’une atteinte à l’identité française, d’une agression symbolique explicite contre le peuple français ou, plus exactement, de l’effet inévitable d’un changement démographique qui ne peut s’accompagner que d’un changement culturel. Un pays ne change pas de peuple sans changer d’identité. La laïcité ne survivra jamais à la mutation démographique française..."

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  • Au cinéma : L’Improbable voyage de Harold Fry, par Guilhem de Tarlé

    L'Improbable voyage d'Harold Fry - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche  : L’Improbable voyage de Harold Fry,  un film anglais (vostf) de Hettie MacDonald,  avec Jim Broadbent et Penelope Wilton (Harold et Maureen Fry),
    adapté du premier roman de Rachel Joyce : La Lettre qui allait changer le destin de Harold Fry (2013).

    Je suis toujours très étonné par le manque d’imagination des auteurs et des réalisateurs et leur incapacité à attribuer un titre simple – éventuellement énigmatique – à leurs œuvres. Le roman ne pourrait-il pas s’intituler tout simplement La Lettre ?
    Rachel Joyce vient de publier un nouveau livre : L’Inoubliable voyage de miss Benson…

    A la lecture de ces deux titres on s’interrogera sur la volonté du réalisateur avec son Improbable voyage de Harold Fry.

    Il n’empêche que la bande-annonce était tentante, et c’est ensuite le qualificatif « ennuyeux » du sempiternel critique de La Provence qui a achevé de m’y faire courir marcher… d’autant plus que nous avions bénéficié de l’excellent entraînement des Sentiers noirs de Sylvain Tesson mis en marche par le réalisateur Denis Imbert.

    « Je vais marcher et tu vivras »… l’enthousiasme, la « foi » (même si elle n’est pas religieuse) que révèle cette « promesse » constitue le sujet et l’intérêt du film.

    800 km à pied, « ça use, ça use », et davantage que « les souliers »… Harold ne chante pas mais il subit – peut-être d’autant plus - ces handicaps physiques et psychologiques, dont la publicité  et la popularité ne furent pas les moindres.
    On pense aux marcheurs de Compostelle, et d’ailleurs, dont la solitude les protège de ce que l’Evangile appelle  « les sollicitudes de ce siècle et l’illusion des richesses ».

    « La route est longue, longue, longue.
    Chante si tu es fatigué.

    (…)

    Si la route est souvent austère,
    Garde toi jamais d’oublier
    Qu’elle te mène à la lumière,
    A la joie, à la vérité ».

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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    À Nice, des groupes d’élèves de plusieurs écoles ont organisé des prières musulmanes sur leur temps de pause méridienne. Une "minute de silence à la mémoire du prophète Mohammed" a, par exemple, été respectée par des enfants scolarisés en CM1 et CM2...

    Ces prières à l’heure du déjeuner concernent dix élèves de CM1, le 16 mai, et trois enfants du même niveau dans une autre école, le 5 juin, a précisé le Rectorat de Nice au Figaro. Dans un troisième établissement, un élève de CM2 a pris l’initiative, le 8 juin, d’organiser la minute de silence à la mémoire de Mohammed, en appelant ses camarades à y participer.

    En tout, une quinzaine d’élèves sont concernés, dans cinq établissements de primaire (Saint-Sylvestre, Fuon Cauda et Bois de Boulogne) et de secondaire (collège Pablo-Picasso, à Vallauris, et lycée d’Estienne-d’Orves, à Nice)...

    Mais, soyons clairs : ce qui nous étonne, c'est...

    que l'on s'étonne !

    Des mots indignés ont été prononcés ici ou là, mais, pourquoi s'indigner ? : si l'on plante un arbre, s'indignera-t-on de le voir, à son heure, donner des fruits ?

    Bossuet disait : "Dieu se rit des hommes qui maudissent les conséquences dont ils chérissent les causes...".

    Le Système a imposé à la France, depuis cinq décennies, une greffe jamais vue de population étrangère, provenant très majoritairement d'Afrique du Nord et sub-saharienne; et dans laquelle on compte de très, très nombreux musulmans.

    Quinze millions d'entrées - à la louche - en un peu plus de quarante ans : du jamais vu !

    Certes, tous ces nouveaux venus ne sont pas musulmans, et même, chez les Noirs, compte-t-on de nombreux chrétiens.

    Il n'empêche : dans ce trop grand nombre d'entrées en trop peu de temps, on compte forcément - on pourrait dire : statistiquement - une part forcément importante de musulmans. Et, dans le contexte d'incandescence qui est celui des mondes islamiques aujourd'hui, on aurait bien du se douter, en haut lieu, qu'un jour, forcément, il se poserait un certain nombre de problèmes, liés aux traditions et façons d'être et de faire, aux moeurs et coutumes (alimentaires, vestimentaires, religieuses et autres) de ces populations; et se dire que, peut-être, que, probablement, la greffe pourrait ne pas prendre...

    Alors, maintenant que la masse est telle que partout fleurissent les abayas, les voiles et - dans le sujet qui nous occupe ici - des prières en plein air (peu importe que ce soit dans les rues ou dans les établissements scolaires) on ferait mine de s'étonner, de s'indigner, d'écrire au Préfet, voire, comme ce pauvre Estrosi, au Premier ministre, dame Borne, pour lui dire, l'air scandalisé, que, c'est bien connu, quand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites ?

    Soyons sérieux : ce n'est pas le fait que quelques ados, manipulés de toute évidence par leurs parents ou par les groupes islamiques, aient organisé des prières en public et dans des écoles qu'il faut dénoncer : c'est la politique folle et suicidaire, mais voulue, du Système, qui nous a conduit là où nous en sommes. Et nous n'en sommes qu'au début, qu'à l'apéro, si on nous permet la familiarité !....

    C'est donc ce Système lui-même qu'il faut accuser, lui qui change le Peuple, aujourd'hui dans sa composition ethnique, après l'avoir changé, hier, dans son esprit et son mental, en menant une lutte quotidienne contre nos Racines historiques et religieuses, qui sont chrétiennes...

    À qui profite le crime ? Dans Atlantico, l'article de Guylain Chevrier : 

    "ASSAUT SUR LA LAÏCITÉ : Derrière les prières musulmanes dans des écoles de Nice, la redoutable stratégie d’entrisme islamiste dans l’Education nationale" :

    https://atlantico.fr/article/decryptage/derriere-les-prieres-musulmanes-dans-des-ecoles-de-nice-la-redoutable-strategie-d-entrisme-islamiste-dans-l-education-nationale-guylain-chevrier

     

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  • Au cinéma : Casablanca, par Guilhem de Tarlé

    Casablanca en DVD : Casablanca - Édition Collector - AlloCiné

     

    Arts & Ciné  : Casablanca,  un film américain de  Michael Curtiz,  avec Humphrey Bogart (Rick Blaine, tenancier américain d’un night-club), Ingrid Bergman ( Lisa Lund, épouse de Victor Laszlo, et ancienne amante de Rick), Paul Henreid  (Victor Laszlo) et Claude Rains (Capitaine Louis Renault).

    Réalisé et sorti en 1942 aux USA, ce film manque évidemment de précisions historiques pour le spectateur de 2023. Nous sommes avant le débarquement anglo-américain en Afrique du Nord, dans un Maroc, Protectorat français, sous l’autorité du Gouvernement, dont le siège est en zone libre à Vichy. L’action se déroule, presque uniquement, au Rick’s Café Américain où se côtoient officiers allemands et des Français de toutes opinions et stratégies politiques…

    Le scénario se résume en une belle histoire d’amours, au pluriel, pour souligner deux belles histoires d’amour, et la difficulté qu’éprouve Lisa à choisir entre son mari et son amant. C’est en quelque sorte une transposition du dilemme de l’époque : qui peut dire, ne l’ayant pas vécu, quel choix il aurait fait entre l’engagement dans la Résistance et l’autorité légale de l’Etat français, entre la « France libre » et la « Révolution nationale », entre l’épée et le bouclier. Les deux n’avaient-ils pas leur légitimité ? on connaît la formule de Jean de La Varende : « Le plus difficile n’est pas de faire son devoir, c’est de savoir où il se place ».

    La plus belle scène, en tout cas, la plus émouvante, qui à elle seule vaut la peine de voir ou revoir ce long-métrage, montre les occupants entamer un hymne patriotique allemand, immédiatement couvert par une Marseillaise tonitruante chantée, debout, par tous les clients du cabaret.

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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    MBS, Prince héritier d'Arabie Séoudite, est à Paris, et Ouin-Ouin, président de la Ligue des Droits de l'Homme est venu pleurer, hier matin, sur France info, disant - en substance, et entre autres insanités - que cette visite était une honte, et qu'elle était contraire aux "valeurs" (!) du pays des droits de l'homme...

    Certes, nous ne souhaiterions pour rien au monde à la France un Régime et une Société qui seraient un tant soit peu comparables à ce que l'on voit en Arabie.

    0n rappellera juste, cependant, à ce monsieur Ouin-ouin que son "pays des droits de l'homme", son Système, plutôt, sa République idéologique, a froidement perpétré le premier Génocide des Temps modernes, le Génocide vendéen, précurseur, matrice et modèle de tous les suivants, et qu'il ajoute à ce crime de Génocide un second, terrible lui aussi : celui de mémoricide... 

    On lui rappellera aussi cette horreur proférée par Clemenceau :

    "J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts.

    J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée.

    J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre vingt dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.

    Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.

    Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat..."

    Quand on approuve "ça", monsieur Ouin-Ouin, Génocide/Mémoricide, propos abjects de Clemenceau et tout le reste, on ne vient pas pousser des cris d'orfraie à la radio...

    Il vaudrait peut-être mieux avoir l'ouverture d'esprit de vous informer, en lisant, par exemple, notre courte note, en page d'accueil de notre Quotidien :

    (2/2) Ces évènements historiques, ces faits et idées reçues qu'il nous faut "reprendre", et qu'il faut re-nommer correctement : l'alter-révolution passe aussi par la sémantique...

    Il semblerait que le nombre de morts soient plutôt autour des 220 000.

     

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  • Le Carrefour des acteurs sociaux propose...

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    ...la vidéo qui  fait suite à la table-ronde du 14 juin animée par Patrice Vermeulen avec des interventions de Azim Mandjee, Philippe Kaminski, Gérard Pelletier,  Cheryl Toman, Christian Tremblay et Ilyes Zoauri.

    Un compte rendu plus court devrait paraitre par écrit et en vidéo...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur "le scandale de Lyon", excellente réaction de Matthieu Bock-Côté (dans Face à l'info, chez Christine Kelly) :

    "Écosexualité devant des enfants : la vidéo choc !..."

    (extrait vidéo 9'31)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1669044883217166336?s=20

     

     

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  • Au Cinéma : Faces cachées, par Guilhem de Tarlé

    Faces cachées - film 2020 - AlloCiné

     

    Arts & Ciné  : Faces cachées,  un film irlandais (vostf) de Joe Lawlor et Christine Molloy,  avec Ann Skelly (Rose, étudiante en médecine vétérinaire), Oria Brady et Aidan Gillen (Ellen et Peter, ses parents).

    Faces cachées… « Un thriller palpitant » selon L’Incorrect… et j’y suis donc allé les yeux fermés… Certes je ne regrette pas de les avoir ouverts, mais je suis néanmoins assez déçu. Vous avez dit « palpitant » ? En tout cas il n’est pas « trépidant ».

    Que M. Darmanin se rassure, ces Faces cachées ne sont pas celles de ces militants d’ « extrême droite » ou d’ « ultradroite » dont il a exigé d’interdire les manifestations.
    Ce film n’est pas un documentaire politique… quoique… curieusement il débute sur l’euthanasie d’animaux… Est-ce pour nous habituer à cette fin de vie ou, au contraire, pour illustrer la continuité qu’il peut y avoir entre cette pratique et l’assassinat ?

    Je me refuse à en écrire davantage pour ne pas dévoiler l’intrigue, ce qui abolirait le peu d’intérêt qu’on peut trouver à ce « lent-métrage ».
    Non… et je vous renvoie aux Âmes sœurs, l’assassin n’est pas le maître d’hôtel.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Marre de leur abaya, leur voile et tout leur tintouin, dont

     

    NOUS NE VOULONS

     

    PAS,

     

    POINT !

     

    Charlotte d'Ornellas a raison :

    "Islamique ou pas, l'abaya n'est pas un vêtement français..." 

    (extrait vidéo 1'47) :

    https://twitter.com/CNEWS/status/1668679216907296793?s=20

     

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le plus qu'excellent édito de Matthieu Bock-Côté, dans Face à l'info, sur "Henri, ce héros qui dérange" (à gauche, évidemment : nous, et la France, il nous comble...) :

    https://twitter.com/CNEWS/status/1668333285754167306?s=20

     

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  • 14 juin 2023. Henri d'Orléans

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    Le Roi est mort, le Roi s'en va...

     

    Il aurait eu 90 ans !
    Il ne pouvait pas attendre, il avait un rendez-vous, du style de rendez-vous qu’on ne peut pas manquer !
    C’était une vieille âme, et les vraies vieilles âmes sont immortelles. De penser à elles suffit pour qu’elles, revivent.
    Je suis triste en ce jour anniversaire, c’était mon Roi et je l’aimais intensément. Mais, c’est d’une joyeuse tristesse que je salue son souvenir ! La Providence nous fait la grâce de nous choyer beaucoup, et comme selon l’adage :
    • Le Roi est mort,
    • Vive le Roi !
    La vie continue allègrement, j’en suis heureux, et partage cette joie avec vous tous.
    La France et les Français peuvent espérer. 
     
    Son fils, Jean de France, Comte de Paris, assure la suite d’une chaine ininterrompue depuis Clovis !

    ...Vive le Roi ! 

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (47) : Pardons et bénédictions sportives...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Pardons et bénédictions sportives...

    (tiré de notre Éphéméride du 18 mai)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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  • Au Cinéma : Un an, une nuit, par Guilhem de Tarlé

    Un an, une nuit - film 2022 - AlloCiné

     

    Sélection officielle, Berlinale 2022  : Un an, une nuit,  un film espagnol  d’Isaki Lacuesta,  avec Noémie Merlant (Céline) et Nahuel Perez Biscayart (Ramon),
    D'après des "témoignages réels" et notamment l'autobiographie d’un survivant, à savoir Paz, amor y death metal, de Ramon Gonzales.

    « Ils mangeaient et ils buvaient, les hommes épousaient des femmes, et les femmes se mariaient jusqu’au jour que Noé entra dans l’arche ; et alors le déluge, survenant, les fit tous périr ». C'est avec la même insouciance, rapportée par Jésus (Lc 17,24), la même joie de vivre que Ramon et Céline sont allés au Bataclan le 13 novembre 2015. Ils y sont allés boire, chanter, danser, s'embrasser, sauter, crier, lever les bras, se trémousser... la suite, on la connaît.
    Après les excellents Revoir Paris et Novembre, c'est le 3ème film que nous voyons sur ces attentats terroristes islamistes, qu'ils n'ont pas encore osé qualifier "d'extrême-droite".

    Un an, une nuit, c’est un long-métrage sur la vie après... la vie, la survie, le déni…
    Le scénario est un peu compliqué, mais quand les tirs crépitent l'angoisse est dans la salle... Nul ne sait ni le jour ni 'heure...

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  • Paris, mercredi 14 juin...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers (extrait) : Immigration : les politiques face à la pression populaire...

    L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Les partis traditionnels sont placés face à une responsabilité historique.

    C’est un thème qui a sorti Éric Ciotti du bourbier des retraites et donné, en quelques heures, une place centrale dans le débat public à Édouard Philippe. En vingt ans, il a fait passer le parti de Marine Le Pen de 18 % à 42 % ; en quelques mois il a transformé un journaliste, Éric Zemmour, en homme politique capable de réunir 7 % des voix. Les différents scrutins en Suède, en Italie, en Espagne en ont fait aussi la preuve: la lutte contre l’immigration est un levier électoral de plus en plus spectaculaire..

    Inutile d’établir une hiérarchie entre ce thème et celui du pouvoir d’achat puisque désormais, dans l’opinion, les deux sont imbriqués. De plus en plus de Français font un lien entre le déclassement et la mutation démographique provoquée par l’immigration: pression à la baisse sur les salaires, obésité de l’État social (l’agresseur d’Annecy, en tant que demandeur d’asile, avait droit à plus de 400 euros mensuels), thrombose et délabrement des services publics, notamment à l’hôpital…

    "Les effets délétères de l'immigration dérégulée ne sont pas le fruit d'une panique morale ou d'une construction de l’esprit: c’est une réalité vérifiable à l'œil nu. Si la gauche s'enferme dans le monde enchanté du "vivre-ensemble", elle disparaîtra..."
     

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