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République ou Royauté ? - Page 74

  • "LA" question de fond ? La République a ruiné la France

    Ce fut la première note de lafautearousseau.

    Publiée le 28 février 2007, il y a plus de sept ans, souvent reprise, y compris tout récemment, par tout un ensemble de sites amis, nous n'avons, malheureusement, rien à y changer.

    La situation de notre pays n'a fait qu'empirer; la responsabilité de notre régime politique n'est que plus patente. Combien de temps encore aurons-nous à subir ce système mortel ? C'est la question que nous posions, que nous posons en republiant, après sept ans, ces réflexions, hélas, lucides.

    Lafautearousseau  

    la-republique-dettes-crises.jpgComment en sommes-nous arrivés là ? La République a pris une France en bon état, elle nous laisse une France au plus mal.... nous étions le pays le plus peuplé d'Europe sous Louis XV et Louis XVI, nous avons été rattrapés puis dépassés par les autres, notre vitalité démographique a été brisée par les saignées effroyables directement liées à la Révolution et à la République: 800.000 morts (Révolution); 1.500.000 morts (folles guerres napoléoniennes); 500.000 habitants perdus en 1815 à cause des 100 jours, dernier mauvais coup porté à la France par l'orgueil délirant de Napoléon; I.5OO.000 morts en 14/18 et 600.000 en 39/45; total: 4.900.000 français "évaporés", disparus, sortis de l'Histoire par les conséquences directes ou indirectes de l'irruption des idées révolutionnaires et des politiques aberrantes des différentes républiques. Quel pays pourrait-il supporter de tels traumatismes à répétition ? La France y a perdu une part importante de sa substance, au sens fort du terme (physique, pourrait-on dire)...

    Et que dire du rayonnement de la France, de l'attrait universel que sa culture, ses Arts, sa civilisation exerçaient sur l'Europe entière, et bien au-delà: tout le monde nous enviait et nous imitait sous Louis XV et Louis XVI: le Roi de Prusse commandait ses armées en français; Mozart commençait ses lettres à son père par "Mon cher père"; les écrivains russes parsemaient leurs ouvrages de mots français, et parfois de phrases entières; on construisait Washington (symbole d'un pays nouveau) en s'inspirant ouvertement du classicisme architectural français; presque tous les dirigeants européens se sont fait construire leur petit Versailles; dans tous les domaines, c'était la France qui donnait le ton, c'était vers Paris que convergeaient tous les regards: la France royale avait su amener la société à son plus haut degré de raffinement, et nous connaissions alors ce qu'était "la douceur de vivre"... : la France en est-elle toujours là aujourd'hui ? Séduit-elle toujours autant ? Tient-elle la même place, ou d'autres que nous donnent-ils le ton...?

    Comment ne pas être frappé par la dégradation effarante du moral des français, de leur "mental"? Nous étions optimistes sous Louis XV et Louis XVI, car avec nos 29 millions d'habitants nous étions le mastodonte démographique de l'Europe, dont nous étions également, et de très loin, le pays le plus étendu: cette double sécurité nous rendait foncièrement optimistes, et c'est de cette époque que date ce dicton selon lequel "en France, tout finit par des chansons": aujourd'hui nous sommes un peuple frileux, qui doute, et qui est le champion d'Europe incontesté de la consommation d'anti-dépresseurs; et que dire de notre situation économique et de notre richesse: entre le quart et le tiers de notre patrimoine artistique a été détruit par la Révolution; notre pays ne cesse de reculer au classement mondial des performances, cependant que l'appauvrissement et la précarité ne cessent de s'étendre parmi nos concitoyens; la violence et l'insécurité (dans tous les domaines) ont littéralement explosé et sont devenus des réalités tristement quotidiennes; la classe politique est très largement discréditée - même si un grand nombre d'élus ne méritent pas de reproches particuliers - et l'opinion publique se détache de plus en plus de la "chose publique", n'ayant plus d'espoir en l'avenir et se laissant aller à un pessimisme nouveau dans notre Histoire...

    Comment se fait-il donc, qu'en partant du pays le plus riche et le plus puissant d'Europe on en soit arrivé à un résultat aussi catastrophique et aussi désolant? Puisqu'on a appliqué à ce pays la plus merveilleuse des constructions intellectuelles qui soient, puisqu'on l'a régi en fonction des meilleurs principes qui aient jamais été inventés, en toute logique ce pays n'a pu que passer du stade de super puissance qui était le sien à celui de super puissance démultiplié! Nous devons donc nager dans le bonheur...sinon: cherchez l'erreur! Il est vrai qu'avec le conformisme que fait régner la république, un conformisme qui n'a jamais été aussi fort chez nous et qui confine à l'étouffement de la pensée, nos concitoyens ont du souci à se faire: dire que nous vivons sous le règne du politiquement correct, de la police de la pensée, du conformatage de l'opinion ne relève même plus du constat mais de la banalité...Qu'on se souvienne de la grande liberté de ton, de parole, d'action dont nous jouissions sous Louis XV et Louis XVI, et une seule question vient à l'esprit: tout ça, pour ça? Avec, si rien n'est fait, l'effacement continu, la disparition progressive de la France, sa sortie prochaine de l'histoire, du moins en tant que grande puissance, voire puissance tout court...

     

  • Dans la série "liens partagés sur notre page Facebook", Jean-Philippe Chauvin ouvre une suite de "Questions/réponses" sur la Monarchie : voici la première...

    1 

    Jean-Philippe Chauvin a partagé un lien. 
    C'est la première partie d'une petite série de questions-réponses et il y aura une suite ! Profitez-en pour vous exprimer et posez vos propres questions, éventuellement vos arguments, vos critiques, etc. (A ce propos, je n'ai pas oublié que je dois poursuivre ma réponse à Caroline B. : deux parties sont en ligne sur mon blogue, la 3e arrive sous peu...)
     
     
     
    Voici présentée une série de cinq questions sur la monarchie, par Jean-Philippe Chauvin 0:57 Pourquoi vouloir la Monarchie au 21ème siècle ? 2:57 Quel type de...

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  • Question du Figaro à Frédéric Rouvillois : Et si la France avait besoin d'un roi ?

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    Pour la seconde fois en quelques jours, Le Figaro interroge Frédéric Rouvillois : ce fut d'abord pour recueillir son analyse du projet de régionalisation de François Hollande; cette fois-ci, à l'occasion de la proclamation du nouveau roi d'Espagne, la question qui lui est posée ne résulte pas vraiment de l'actualité espagnole mais bien plutôt d'une actualité bien française : "Et si la France avait besoin d'un roi ?". C'est bien, en effet, la crise de nos Institutionsa, aujourd'hui si prégnante,  qui conduit à cette étrange interrogation - étrange en apparence seulement, car malgré l'invraisemblance de l'hypothèse monarchique dans la France d'aujourd'hui, le vide sidéral de l'Etat, de la politique intérieure française, de fait de toute politique, amène presque naturellement à cette remise en cause du Système qui est - malheureusement - le nôtre. 

    Nous publions donc cet entretien qui, en effet, ne traite pas du tout de la monarchie en Espagne mais bien de la persistance du sentiment monarchique dans notre propre pays. Persistance - pour qui suit régulièrement l'actualité politique - qui est constamment évoquée, allusivement ou clairement analysée, commentée, par tous les médias, tous les analystes, tous les politiques de tous bords.

    Telle est, si nous savons être à la hauteur de ces circonstances, notre actualité : non pas seulement celle de ce blog, mais celle de toute la famille de pensée royaliste, celle de cette aventure inaugurée par l'Action française à l'aube même du XXème siècle, en l'année 1900, consistant à vouloir un Roi pour la France de ce temps alors troublé par la perspective de la grande guerre qui s'annonçait, comme nous persistons à vouloir le roi pour le nôtre, pour notre temps, pas moins dangereux que le précédent. 

    Et la monarchie espagnole, donc ? Nous avons dit ad nauseam, que les modèles étrangers ne sont pas transposables en France, que chaque pays a d'ailleurs le sien, spécifique, que nous avons le nôtre - historique - et qu'il serait, d'ailleurs, à reconstruire en fonction des circonstances et des nécessités. Nous savons bien, par ailleurs, que les monarchies régnantes, au moins en Europe, n'ont pas protégé leurs sociétés des vices de la modernité; nous n'ignorons pas leurs défauts. Mais pour qui a assisté, en direct, à l'avènement de Philippe VI, de l'autre côté de nos communes Pyrénées, il est clair que la dignité, la simplicité, l'approbation largement majoritaire, qui ont présidé à la transmission de la fonction de Chef de l'Etat du roi Juan-Carlos à son fils Philippe, auront au moins épargné à l'Espagne ce poison mortel des ambitions, des luttes, des "blocs de haine" - qui font, chez nous, l'essentiel de la vie politique et nationale française- pour la conquête, devenue d'ailleurs dérisoire, de la Présidence de la République. Et si la France avait besoin d'un roi ? La réponse est oui.

     

    FIGAROVOX/ANALYSE - Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà ? Chez les Espagnols la monarchie semble rester populaire : existe-t-il en France une nostalgie monarchiste ? Eléments de réponse avec Frédéric Rouvillois.

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  • Réflexions, un peu de temps après le forum de Davos... : Argent, qui t'a fait Roi ?...

    argent roi.jpgUn peu de temps après les fastes et les pompes du Forum de Davos, parlons un peu, avec Charles Maurras, de l'argent. Un mot qui, comme le mot révolution, peut s'écrire avec une minuscule ou avec une majuscule, mais qui, selon le cas, change de sens... Ainsi, il est tout simplement sot de déclarer "Je n'aime pas les riches", ou "Mon ennemi, c'est la Finance" : l'argent, les riches, la finance et sa puissance ont existé dans tous les pays, toutes les cultures, et à toutes les époques. La puissance matérielle des Templiers, ou d'un Fouquet, était considérables : mais, à l'époque, il y avait un Philippe le Bel, il y avait un Louis XIV pour - c'est son expression - "faire rendre gorge à ces gens-là..." : mais, leur faire rendre gorge uniquement s'ils sortaient de leur rôle, et, sinon, leur faire jouer - fût-ce de manière autoritaire - le rôle utile et positif qui est le leur, celui de participer au Bien commun. Mais, aujourd'hui, où sont le Philippe le Bel, le Louis XIV ? On le voit, le rapport à l'argent, aux riches, à la finance n'est, finalement - et c'est ce que rappelle Maurras - qu'un problème d'Institutions, un problème politique et du politique...

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  • "La rébellion cachée", le film sur les Vendéens de Daniel Rabourdin...

    VENDEE DANIEL RABOURDIN.jpg

    Cliquez une première fois sur la photo, puis une deuxième fois, pour l'agrandir...

    vendée tous vendéens.JPG

    http://www.vendee-chouannerie.com/Le-financement-participatif-donnera-naissance-a-La-rebellion-cachee-de-la-Revolution-Francaise--ou-la-Vendee-de-1793_a469.html

  • Ces voix qui s'élèvent pour dénoncer les dérives du Système : sur France 2, un général courageux acuse la Justice et, sur France info, on dénonce une fois de plus la gabégie de la sur-administration...

    contre la pensée unique.jpgAlors que la situation générale est réellement catastrophique (on en est à une moyenne de 1.515 chômeurs par jours depuis l'élection de Hollande...) la France, stupéfaite, a appris que son "normal" de Président, au lieu de consacrer tout son temps et toute son énergie à affronter le fléau, en était revenu aux gallipettes d'un gamin/collégien allant courir le guilledou, aussi furtif et discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine, avec son casque et... ses chaussures, dont il a, dans son excitation fébrile, oublié de changer !

    Pendant ce temps, lui et son équipe de privilégiés du Système passent leur temps à nous faire des promesses (comme la baisse des impôts) mais, bien sûr, toujours pour demain, voire après-demain; et, en attendant la baisse (qui, comme Godot, risque fort de ne jamais venir...), c'est le "matraquage d'impôts" qui est là, est bien là... 

    Il ne faut bien sûr pas se mettre au niveau où ces personnages ont fait descendre l'Etat, mais tâcher, au contraire, de "faire de la Politique", de la vraie. Par exemple, en écoutant tout simplement ce qui se dit sur ces chaînes de télé où sur ces radios que nous critiquons si souvent, pour leur conformisme et leur politiquement correct. Elles méritent tant de reproches que, les fois où elles laissent passer quelques rayons de pensée libre et iconoclaste, cela mérite bien d'être signalé, non ? Car, et c'est le paradoxe, dans cette domination quasi monopolistique de la pensée unique, du politiquement/moralement/historiquement-et-tout-ce-qu'on-voudra-correct, surgissent de temps en temps, ça et là, quelques instants de franchise et de parler-vrai : il convient de les relever !... 

    Nous avons donc choisi de nous arrêter, aujourd'hui, sur deux reportages - l'un de France 2, l'autre de France info - d'y faire écho et de, tout simplement, nous effacer devant ceux qui ont eu l'audace de parler clair et vrai : tout commentaire serait superfétatoire, ce qu'ils disent étant suffisament net...

    1. Le reportage de France 2 dans lequel un général de gendarmerie courageux explique comment "la délinquance" a reçu "cinq sur cinq" le signal fort que ne cesse de lui envoyer une magistrature laxiste intoxiquée par l'idéologie du "bon délinquant", descendant direct du "bon sauvage" de Rousseau :  

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Delinquance-le-severe-constat-d-un-general-de-la-gendarmerie-22508.html

    2. La "page" de France info qui revient sur cette plaie endémique du Système qu'est cette sur-administration qui nous étouffe, nous paralyse et finalement nous ruine et nous déclasse : plus de 400.000 textes, règlements, circulaires, normes et contraintes en tous genres 

    http://www.franceinfo.fr/economie/le-plus-france-info/normes-la-france-au-bord-de-l-asphyxie-1274849-2014-01-09

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  • QU’EST-CE QUE LE « SYSTEME » ?

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    La question – évidemment importante - nous est posée dans les commentaires : " Le Système " et sa contestation sont à l'ordre du jour. S'agit-il là d'une tendance lourde ? (…) Il est temps d'éclairer les uns et les autres sur ce que nous nommons " le système ". (…) Pour lutter contre le Système, (…) encore faut-il le définir avec plus de précisions et en dessiner finement le contour. Mais la réponse ne va pas de soi. Même si, aujourd'hui, la contestation du système se généralise massivement et si on ne peut donc pas nier que le terme soit "ressenti".

     

    Par définition, un « système », bien qu’il constitue une unité active, est chose complexe, composite. Il n’est donc pas si simple de le définir. Hasardons néanmoins quelques réflexions qui, si elles n’épuisent pas le sujet, contribueront à y mettre un début d’ordre et de clarté.

     

    Qu’est-ce qu’un système ? Classiquement, les dictionnaires en donnent une définition de ce type : « Un système est un ensemble d'éléments interagissant entre eux et se définit par : ses éléments constitutifs ; les interactions entre ces derniers ; sa limite ». Voilà qui correspond bien à notre sujet.

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  • Vous pensez qu'une République coûte moins cher qu'une Royauté ? Vous avez tout faux : c'est tout l'inverse !...

    Sur notre Page Facebook, Ciboulette Ludivine nous a envoyé un message très court, mais assez virulent, dont l'essentiel consiste à dire qu'elle ne veut pas d'une Royauté parce que "en plus ça coute très cher aux contribuables ! Alors monarchie en France en 2013 ? inutile. Vous révez ! Et en France ? On a pas assez de la crise et du chomage de masse..." etc.. etc... 
    Que Ciboulette ne veuille pas d'une royauté, c'est son affaire. Mais qu'elle dise et croie le contraire de la vérité, à savoir que la royauté coûte très cher, alors qu'en fait c'est notre République qui est une ruine, cela mérite au moins qu'on lui dise, juste, qu'elle se trompe... 
     
    Herman-Matthijs.jpg1. D'abord, nous la renverrons au rapport publié en avril 2012 par Herman Matthijs, professeur d’administration et de finances publiques à l’Université de Gand (c'était son sixième !) sur le coût des chefs d’Etats européens, dont un de nos lecteurs (de Belgique) nous a envoyé quelques extraits :

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  • Un "Système" qui institutionnalise la guerre civile. Ou : "droite" et "gauche" confondues, tiennent, contre "l'exclusion" (?), un discours d'exclusion !...

    Ce mercredi 3 juillet, face à Jean-Claude Bourdin, c'est François Fillon qui l'a dit. Mais de l'extrême-gauche à la droite, ils l'ont tous dit, un milliard de fois (si ce n'est deux milliards...) : on ne peut pas s'allier à l'extrême-droite !

    Nul n'est gêné de l'existence d'un Parti communiste qui jusqu'à sa fin réelle, et par la bouche de son secrétaire général d'alors, Georges Marchais, a déclaré "globalement positif" le bilan des pays de l'Europe de l'Est, alors que l'on sait très bien que le marxisme-léninisme fut la pire atrocité de toute l'histoire du genre humain, et qu'au-delà de 120 à 130 millions, on ne peut même plus compter le nombre de morts dont il est directement responsable, et dans des circonstances toutes plus barbares et inhumaines les unes que les autres !...

    tartuffe systeme.JPG 

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  • REPRENDRE LE POUVOIR ? QU'EST-CE A DIRE ?

    237497988.jpgLe Camp Maxime Real del Sarte , université d’été d’Action française, tout particulièrement destinée aux jeunes, à leur formation politique, se tiendra du 25 au 31 août au château d’Ailly, dans le pays roannais.
     
    Le thème choisi cette année, repris du titre d'un livre important de Pierre Boutang, paru en 1977, sera : Reprendre le pouvoir; thème difficile et sérieux, sur lequel il nous a semblé bon de revenir ici, en remontant à la source, c'est à dire au livre lui-même et à son sens vrai.
     
    En lisant la suite, on en trouvera une analyse détaillée. La matière en est ardue. Mais elle dit l'essenrtiel. Et Elle explique aussi pourquoi nous préférons illustrer l'annonce de la prochaine université d'été des jeunes d'Action française avec l'image d'un ardent feu de camp plutôt que celle - utilisée par les organisateurs - d'une scène des journées d'émeutes - d'ailleurs inabouties - de février 1934... Mais nous aurons à reparler de Pierre Boutang à propos du Qui suis-je ? d'Axel Tisserand !
     

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  • Les royalistes veulent "nationaliser l'Etat par le Roi" (Léon Daudet)...

    FLEUR DE LYS SAINT LOUIS KANSAS.jpg... le Système, lui, a nationalisé l'Etat par "les copains et les coquins", les "requins" qui aiment les "Caïmans"...


    Une seule solution :

    1. Ne pas croire "en l'amélioration électorale de la peste républicaine"...

    2. Et mener une action authentiquement "française", "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime"...

  • L'Echo des Blogs : Tout ce qui est (intelligemment) royaliste est nôtre ! Aujourd'hui, sur le Blog de La Lorraine Royaliste, "La décentralisation"

     ( Le Blog La Lorraine Royaliste )

    MAURRAS ENQUETE.jpg« Notre force est d’avoir raison » dit La Royale, et il ne faut pas compter sur nos adversaires pour nous démontrer le contraire. Cependant l’autocritique est toujours nécessaire, surtout lorsque la doctrine est plus que centenaire. Le besoin d’un dépoussiérage se fait parfois pressant.

    « Les républicains ne peuvent pas décentraliser, car ils n’existent, ils ne durent, ils ne gouvernent que par la centralisation. Tout pouvoir républicain sort en effet de l’élection. S’il veut se maintenir à l’élection suivante, l’élu, ministre ou député a besoin de tenir de près son électeur. Qui tient l’électeur ? Le fonctionnaire. Qui tient le fonctionnaire ? L’élu, ministre ou député, par la chaîne administrative. Décentraliser l’administration, c’est donc couper en deux ou trois endroits cette chaîne de sûreté ; c’est rendre au fonctionnaire une part d’indépendance, à l’électeur la liberté correspondante. Le ministre ou le député perd ses moyens électoraux. Soyez persuadé qu’il ne renoncera que contraint et forcé. Jamais, de son gré propre, il ne se privera du fonctionnaire-domestique. Ces gens-là ne sont point d’humeur à se suicider » (L’Enquête sur la Monarchie, ed. 1925, p.51, paroles attribuées à André Buffet, avec lesquelles Charles Maurras se montre totalement d’accord).

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  • Trop "gros", trop facile ! : Anne Hidalgo, ou comment parler de 45, pour ne pas parler, par exemple, du Système qui échoue, partout ?

    anne hidalgo,le pen,front national,nazismeAnne Hidalgo n'est pas n'importe qui. Premier Adjoint au Maire de Paris, elle aspire à devenir son successeur. Ses propos ne sont donc que très rarement anodins...

    Or, elle a cru bon, récemment, de devoir attaquer le Front national, "un parti qui a soutenu pendant la guerre la collaboration avec les nazis"...

    Dans un domaine un peu différent, mais qui rejoint notre propos malgré tout, on avait eu, il y a quelques mois, une autre savoureuse illustration d'inculture stupéfiante lorsq'un chroniqueur radio avait déclaré, sans sourciller, que les Antilles faisaient partie de la République française depuis le XVIème siècle... A ce stade, comme le disait Bainville, on n'a  qu'une envie, c'est de tirer l'échelle !

    Nous ne reprochons pas à Madame Hidalgo de ne pas aimer le Front national, ni Marine Le Pen, ni son père. Et nous n'avons pas pour but, ni pour désir, de nous substituer à ce parti pour le défendre, ce qu'il est parfaitement capable de faire tout seul.

    Notre but, il est bien connu, est de proposer une autre politique "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du Régime"... (Léon Daudet).

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