«Si Salah Abdeslam est à terre, l'idéologie qui lui a fait commettre ses crimes est plus que jamais debout», par Céline Pina.
Salah Abdeslam à droite, Mohamed Amri à gauche et Mohamed Abrini au centre. BENOIT PEYRUCQ / AFP
FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors que le procès des attentats du 13 novembre s'est ouvert le 8 septembre, l'essayiste Céline Pina rappelle qu'il ne faut ne pas confondre justice avec vengeance et que l'enjeu est de nommer l'idéologie des accusés.