En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le groupe notamment propriétaire de Bertin Technologies et fournisseur sensible de la Défense, est victime de la défaillance en cascade de plusieurs partenaires industriels. Un protocole de financement a été négocié mais les banques imposent la cession ou l'adossement de ses activités. Le syndicat majoritaire FO demande, lui, « une nationalisation partielle et temporaire ».
Claude Rochet répond aux questions de Thomas Arrighi sur la responsabilité de l'Etat dans la gestion de cette crise ainsi que sur la méthodologie et le travail du professeur Raoult.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes.
Voilà un entretien prémonitoire, à l’heure où la Sécurité sociale doit emprunter 70 milliards sur les marchés pour faire face à la crise sanitaire, plus que jamais les cotisations sociales des Français vont alimenter les banques internationales en manque de se « refaire » après la crise.
Une providentielle manne déjà repérée avant la crise par Eloïse Benhammou dans son livre Kleptocratie Française ( Editions le Jardin des Livres) et dans l’émission Politique & Eco où elle montre comment des organismes comme la CADES Le RSI et L’ACOSS permettent en toute discrétion le rapt de la richesse des français (ou de ce qu’il en reste) au bénéfice d’un capitalisme financier sis à Wall Street et ses grandes banques mondialisées.
Le chroniqueur a souvent ferraillé contre cette figure de Mai-68, mort du Covid-19. Il revient sur le destin exceptionnel de cet adversaire, devenu cadre du PS. À travers les revirements et les métamorphoses, un fil (rouge) : l'internationalisme.
Avant l'arrivée de Jeanne, il y a "grande pitié au royaume de France" :
- les Anglo-Bourguignons tiennent tout le nord du pays ;
- Orléans, assiégée depuis sept mois, va succomber à la famine ;
- Charles VII, le "gentil dauphin", est réfugié à Chinon ;
- la capitale est aux mains des Anglais : Henri VI, le "petit roi godon", y règne...
A l'arrivée de Jeanne, tout change : dans l'enthousiasme qui suit la libération d'Orléans, Jeanne électrise ses soldats et, dans la foulée, va bousculer les Anglais à Patay ; elle a compris que Charles VII (dont la naissance légitime avait été mise en doute par sa propre mère, Isabeau de Bavière) ne sera pas reconnu roi légitime à la suite d'une ou deux victoires : c'est à Reims qu'il faut aller !
Comme l'écrit Jacques Bainville, "la grande idée de Jeanne, c'est le sacre de Reims..."
Et, depuis, chaque année, la ville d'Orléans commémore l'évènement capital que constitua sa libération, en organisant les très belles Fêtes Johanniques à Orléans durant lesquelles la ville entière entonne la Cantate à Jeanne d'Arc :
"Tout désespoir en politique est une sottise absolue" (Charles Maurras). Quelle plus belle et plus noble illustration de cette pensée que la Geste héroïque de Jeanne, qui reste à jamais comme la plus exaltante preuve d'une espérance au-delà de toutes les apparences, d'une espérance qui peut tout et malgré tout, finalement, qui emporte tout ?
La Geste héroïque de Jeanne est un moment fondamental de notre Histoire nationale : nos Ephémerides essayent de vous en raconter ses moments essentiels :
- 25 février (rencontre de Jeanne et du Dauphin, à Chinon);
« Responsables mais pas coupables » : un verdict qui pourrait redevenir d'actualité.
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes. Outre des initiatives individuelles, ce sont des élus, des médecins, 31 détenus, un syndicat de magistrats et la Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs qui, pour l’instant, demandent réparation pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « non-assistance à personne en danger » et dénoncent, pêle-mêle, le manque de dépistage et d’équipements de protection personnelle, la fermeture tardive des frontières, le manque d’anticipation, les conflits d’intérêts concernant les traitements médicaux et le maintien des élections municipales.
Une vingtaine de marcheurs envisagent de quitter les bancs macronistes pour former un nouveau groupe avec une trentaine d'autres députés. L'initiative pourrait voir le jour autour de la mi-mai.
La pandémie mondiale a donné lieu dans un certain nombre de pays et particulièrement en Europe à une sur-réaction et à une pression autoritaire des instances gouvernementales sur les peuples, propre à développer des paniques incontrôlables, alors que plus le temps passe et plus les observateurs avisés découvrent que cette pandémie, n’est pas pire que les précédentes. Seule l’alerte internationale et l’appel tragique au confinement ont pu donner un tour exceptionnellement dramatique à cette nouvelle et méconnue pandémie, mais finalement pas plus grave que les précédentes.
Mais le peuple des « petites gens », s’est plutôt bien tenu, malgré les mesures imbéciles de répression, appliquées avec zèle par les représentants de l’ordre désireux de voir appliquer sévèrement la loi.
La députée Martine Wonner était la seule parmi la majorité LREM à voter contre le plan de déconfinement. Pour ses positions favorables à la prescription du traitement du Pr Raoult, elle a donc été exclue du groupe. Elle réagit au micro d'André Bercoff.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes.
S'il critique volontiers la gestion par le gouvernement du coronavirus, le chroniqueur met en garde contre la tentation de recourir à la justice pour dénoncer les maires, les élus et les dirigeants, dans ce dossier.
Un scientifique britannique transporte des échantillons prélevés sur des malades infectés au Covid-19, dans un laboratoire situé à Cheshire, dans le nord-ouest de l'Angleterre, le 22 avril 2020 (image d'illustration).
Alors qu'Emmanuel Macron a annoncé les premiers résultats du test européen pour le 14 mai, les chercheurs travaillant sur le projet semblent moins optimistes. Ils relèvent des dysfonctionnements au niveau européen qui ont retardé l'étude.
«On a le protocole Discovery auquel on croit beaucoup et qui est très important, qui est un protocole européen […] On est le pays européen qui est le plus engagé dans Discovery, on aura des résultats le 14 mai sur ce protocole.»