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Dimanche 1er décembre, le Pape publiait une lettre apostolique sur la signification et la valeur de la crèche, celle-ci étant qualifiée d’« admirabile signum ». « La crèche, écrivait-il, est comme un Évangile vivant, qui découle des pages de la sainte Écriture. En contemplant la scène de Noël, nous sommes invités à nous mettre spirituellement en chemin, attirés par l’humilité de celui qui s’est fait homme pour rencontrer chaque homme. »
La liberté d’expression se réduit peu à peu à peau de chagrin. A la télévision, dans la presse, sur les réseaux sociaux, tout est bon pour freiner les idées qui ne plaisent pas aux bien-pensants.
Après la loi Avia et les sanctions arbitraires contre de "prétendues" Fake News qui déplaisent au pouvoir en place, les Sleeping Giants, un groupe d’activistes anonymes sur les réseaux sociaux, font pression sur les annonceurs pour qu’ils boycottent les médias qui ne rentrent pas dans le rang des progressistes. Ils ont ainsi poussé de grandes marques, Ferrero et son Nutella en tête, à fuir les programmes de CNews pour inciter la chaîne à écarter Eric Zemmour de l’antenne. Un procédé auquel Valeurs Actuelles et Boulevard Voltaire ont également été confrontés.
Du côté d’internet, la situation n’est pas plus reluisante. Au delà des politiques toujours plus liberticides pour contenir les opinions, Google (et sa filiale YouTube) et Facebook ont tout pouvoir. Presque intouchables, ils censurent, bannissent ou réduisent la visibilité tels des géants omnipotents grâce à leur position dominante.
Didier Maïsto, le président de Sud Radio et Marc Eynaud, journaliste chez Boulevard Voltaire, reviennent sur leurs expériences de la censure et alertent sur la nécessité de tous se mobiliser pour que la pluralité soit respectée.
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Sur le Mur des Fastes, l'hommage à Monsieur de Surian...
A l’affiche : Gloria Mundi, un film français de Robert Guédiguian, avec, à Marseille, Ariane Ascaride (Sylvie, la mère des deux filles), Gérard Meylan (Daniel, le père de Mathilda), Jean-Pierre Daroussin (Richard, le père d’Aurore), Anaïs Demoustier et Robinson Stévenin (Mathilda et Nicolas, les parents de Gloria), Lola Naymark (Aurore).
Jean-François Colosimo, philosophe, théologien, président de l’Institut orthodoxe de Paris directeur des éditions du Cerf et auteur de "La religion Française", Editions du Cerf est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
Face au texte que vous allez lire, la toute première réaction - que nous faisons nôtre en tous points - a été celle de notre ami François Marcilhac :
"Le titre est-il de Frédéric Rouvillois ? Pour le reste, ce qui est gênant, c'est que ni Grünewald ni Rouvillois ne nous disent EN QUOI Maurras n'aurait pas compris la spécificité du nazisme puisque À AUCUN MOMENT ils ne livrent les éléments spécifiques que Maurras (et l'AF en général) n'auraient pas compris. Aussi répéter comme un mantra que Maurras et l'AF n'ont pas compris les spécificités du nazisme ne sert de rien, sinon à satisfaire le politiquement correct."
Nous faisons nôtre aussi la réaction d'Olivier Perceval :
"...Là dessus je me fie aux jugements plus pondérés de Pierre Boutang, Gérard Leclerc, Yves Floucat, Axel Tisserand, Fabrice Hadjaj notamment, lesquels, sont critiques sans se transformer en procureurs uniquement à charge. Tout comme ceux qui n'éprouvent pas le besoin de se laver compulsivement les mains pour en montrer au monde l'éclatante propreté..."
Voici le texte, paru dans Causeur ce 15 décembre...
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Sur le Mur des Fastes, l'hommage au fils de ce duc de Villars, vainqueur de Denain...
Et si la littérature nous éloignait de l’actualité pour y mieux revenir, alors même qu’elle nous invite à l’évasion ? Il y a un siècle Marcel Proust obtenait le prix Goncourt pour « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ». Ce peut être l’occasion de réfléchir à ce que nous apprend la littérature, en regrettant qu’elle ne soit plus aussi présente qu’avant…
Art et Essai : L'Émir Abd el-Kader à Amboise, le prisonnier tant aimé, un documentaire français d’Adyl Abdelhafidi, avec la participation de Adyl Abdelhafidi, Ahmed Koulakssis (Historien), Michel Laurencin (archiviste de l’archidiocèse de Tours), Dalil Boubakeur (Recteur de la Grande Mosquée de Paris) et Bariza Khiari (Vice-Présidente, socialiste, du Sénat de 2011 à 2014, membre du bureau exécutif de LREM depuis 2017 ; elle possède la double nationalité française et algérienne).