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Jean-François Colosimo, philosophe, théologien, président de l’Institut orthodoxe de Paris directeur des éditions du Cerf et auteur de "La religion Française", Editions du Cerf est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
Face au texte que vous allez lire, la toute première réaction - que nous faisons nôtre en tous points - a été celle de notre ami François Marcilhac :
"Le titre est-il de Frédéric Rouvillois ? Pour le reste, ce qui est gênant, c'est que ni Grünewald ni Rouvillois ne nous disent EN QUOI Maurras n'aurait pas compris la spécificité du nazisme puisque À AUCUN MOMENT ils ne livrent les éléments spécifiques que Maurras (et l'AF en général) n'auraient pas compris. Aussi répéter comme un mantra que Maurras et l'AF n'ont pas compris les spécificités du nazisme ne sert de rien, sinon à satisfaire le politiquement correct."
Nous faisons nôtre aussi la réaction d'Olivier Perceval :
"...Là dessus je me fie aux jugements plus pondérés de Pierre Boutang, Gérard Leclerc, Yves Floucat, Axel Tisserand, Fabrice Hadjaj notamment, lesquels, sont critiques sans se transformer en procureurs uniquement à charge. Tout comme ceux qui n'éprouvent pas le besoin de se laver compulsivement les mains pour en montrer au monde l'éclatante propreté..."
Voici le texte, paru dans Causeur ce 15 décembre...
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Sur le Mur des Fastes, l'hommage au fils de ce duc de Villars, vainqueur de Denain...
Et si la littérature nous éloignait de l’actualité pour y mieux revenir, alors même qu’elle nous invite à l’évasion ? Il y a un siècle Marcel Proust obtenait le prix Goncourt pour « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ». Ce peut être l’occasion de réfléchir à ce que nous apprend la littérature, en regrettant qu’elle ne soit plus aussi présente qu’avant…
Art et Essai : L'Émir Abd el-Kader à Amboise, le prisonnier tant aimé, un documentaire français d’Adyl Abdelhafidi, avec la participation de Adyl Abdelhafidi, Ahmed Koulakssis (Historien), Michel Laurencin (archiviste de l’archidiocèse de Tours), Dalil Boubakeur (Recteur de la Grande Mosquée de Paris) et Bariza Khiari (Vice-Présidente, socialiste, du Sénat de 2011 à 2014, membre du bureau exécutif de LREM depuis 2017 ; elle possède la double nationalité française et algérienne).
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
Tout le monde le dit, le sait, le voit, l'entend : Erdogan est comme fou, face à la récente décision des USA de Donald (Trump, pour les intimes et les journalistes), qui viennent de reconnaître officiellement le Génocide arménien de 1915, et son million et demi de martyrs.
Mais il a tort de réagir en montrant sa rage (il est "vexé", dit-on...).
Que ne rend-il la monnaie de sa pièce à ces USA et à Donald, en reconnaissant le génocide dont ont été victimes les tribus indiennes autochtones de l'Amérique du Nord, au XIXème siècle ?
Voilà pour Donald.
Quant aux Français, c'est encore mieux, si l'on peut dire : que ne reconnaît-il, purement et simplement... LE GENOCIDE VENDEEN ?
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Poursuivons notre "lecture" du Mur des Fastes, pour parler de l'immense victoire de Denain...
A l’automne 1991, le professeur Maurice Quénet déclarait, devant un amphithéâtre de la faculté de Droit de Rennes bondé d’étudiants attentifs et de quelques auditeurs libres, que désormais la France n’était plus en mesure de se nourrir par elle-même ! Le souvenir m’en est resté jusqu’à aujourd’hui, profondément ancré, et je l’évoque souvent devant mes propres élèves, en me désespérant de voir que, si j’en crois la lecture du dernier numéro de Marianne, les choses n’ont fait que s’aggraver, en ce domaine comme en d’autres. C’est Jean-Claude Jaillette qui en couronne son article d’un titre terrible : « Demain, la faim ? La France n’est plus capable de se nourrir elle-même. »