A paraître : Une politique pour le XXIème siècle, de Pierre Debray

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Art et Essai : L'Émir Abd el-Kader à Amboise, le prisonnier tant aimé, un documentaire français d’Adyl Abdelhafidi, avec la participation de Adyl Abdelhafidi, Ahmed Koulakssis (Historien), Michel Laurencin (archiviste de l’archidiocèse de Tours), Dalil Boubakeur (Recteur de la Grande Mosquée de Paris) et Bariza Khiari (Vice-Présidente, socialiste, du Sénat de 2011 à 2014, membre du bureau exécutif de LREM depuis 2017 ; elle possède la double nationalité française et algérienne).
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
Tout le monde le dit, le sait, le voit, l'entend : Erdogan est comme fou, face à la récente décision des USA de Donald (Trump, pour les intimes et les journalistes), qui viennent de reconnaître officiellement le Génocide arménien de 1915, et son million et demi de martyrs.
Mais il a tort de réagir en montrant sa rage (il est "vexé", dit-on...).
Que ne rend-il la monnaie de sa pièce à ces USA et à Donald, en reconnaissant le génocide dont ont été victimes les tribus indiennes autochtones de l'Amérique du Nord, au XIXème siècle ?
Voilà pour Donald.
Quant aux Français, c'est encore mieux, si l'on peut dire : que ne reconnaît-il, purement et simplement... LE GENOCIDE VENDEEN ?
lafautearousseau
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Poursuivons notre "lecture" du Mur des Fastes, pour parler de l'immense victoire de Denain...
A l’automne 1991, le professeur Maurice Quénet déclarait, devant un amphithéâtre de la faculté de Droit de Rennes bondé d’étudiants attentifs et de quelques auditeurs libres, que désormais la France n’était plus en mesure de se nourrir par elle-même ! Le souvenir m’en est resté jusqu’à aujourd’hui, profondément ancré, et je l’évoque souvent devant mes propres élèves, en me désespérant de voir que, si j’en crois la lecture du dernier numéro de Marianne, les choses n’ont fait que s’aggraver, en ce domaine comme en d’autres. C’est Jean-Claude Jaillette qui en couronne son article d’un titre terrible : « Demain, la faim ? La France n’est plus capable de se nourrir elle-même. »
A l’affiche : Chanson douce, un film français de Lucie Borleteau, avec Karin Viard (Louise, la nounou), Leïla Bekhti et Antoine Reinartz (Myriam et Paul, les parents), adapté du Prix Goncourt éponyme de Leïla Slimani en 2016, d’après un « fait divers » survenu à Manhattan en 2012.
Un salon à consommer sans modération. Du 29 novembre au 2 décembre près d'un milliers de vignerons indépendants avaient rendez-vous avec la Porte de Versailles pour le salon des vignerons indépendants. Rien de moins que le plus grand salon de vente de vins de la planète. Du Jura au Rhône, de l'Anjou au Languedoc et de la Provence à l'Alsace, les amateurs de vins, il y en avait pour tous les goûts avec la possibilité d’échanger directement avec les vignerons. Pas de négociants, pas de caves coopératives, seulement des indépendants passionnés, proches de leurs terroirs et des consommateurs. En effet, le vigneron indépendant assure tout en totale autonomie. De la culture à la vente, il contrôle la qualité de ses vins, le tout dans le respect de la tradition et de l'environnement. A contre-courant de la logique financière des grands négociants, les vignerons indépendants sont le reflet d'une mouvance d'avenir qui s'inscrit dans un retour au local de plus en plus en vogue chez les Français.
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : sur le Mur des Fastes, Malherbe blessé devant Martigues...(X/XIX)
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Poursuivons notre "lecture" du Mur des Fastes (IX/XIX)...
Pourtant, elle avait bien commencé, cette série : la scène quasi initiale de l'incendie nous ramenait - toutes proportions gardées - à des ambiances comme celle du naufrage du Titanic (de Cameron) ou à la bataille initiale de Gladiator (avec l'inoubliable Russel Crow...)
Pourtant, elle aurait pu bien continuer, cette série : en "exploitant" les possibilités qu'offrait ce personnage magnifique de la duchesse d'Alençon, qui fit preuve là d'un héroïsme et d'une abnégation, qui la menèrent à se sacrifier pour sauver les autres, tant d'autres ("Je sortirai la dernière..." devait-elle dire, poussant son sens du devoir jusqu'au sacrifice de sa vie).
Oui, mais voilà : les producteurs ont choisi de montrer en quoi la tragédie avait bouleversé le destin de trois femmes; pourquoi pas ? sauf que cette option se révèle être d'une désolante banalité, embrouillée à l'extrême, et finalement ennuyeuse à souhait...
En somme, ils ont lâché la proie pour l'ombre : au lieu de parler d'une héroïne véritable, et du sens du devoir, de l'honneur, du sacrifice suprême, ils ont préféré parler de choses simplement humaines, trop humaines...
Du trivial, en somme, au lieu de l'héroïque.
Dommage !
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Poursuivons notre "lecture" du Mur des Fastes, pour parler de Claude Couture, et de son Traité de l'Olivier...