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Idées, débats... - Page 372

  • Le Téléthon ? Oui, bien sûr, malgré des réserves. Mais ne pas oublier la Fondation Jérôme Lejeune

    C'est parti pour le Téléthon 2019 !...
     
    Ambiguïté fondamentale : le Téléthon permet une avancée spectaculaire de la recherche, donc des soins, et fait de toute évidence progresser la médecine et reculer les maladies.
     
    Et des milliers de Français font pour l'occasion, à travers tout le territoire, preuve d'une générosité et d'une solidarité admirables, qui forcent le respect et qui font chaud au coeur : de quoi oublier un temps les laideurs, mesquineries et autres égoïsme ou bas matérialisme qui enlaidissent trop souvent notre quotidien...
     
    Pas question, donc, pour nous, de critiquer en bloc le Téléthon, ni de dire ou faire quoi que ce soit contre le magnifique élan de générosité, de solidarité et... de progrès médicaux qu'il représente et qu'il rend possibles.
     
    Mais l'AFM (Association française contre la myopathie) utilise la méthode condamnable de l'utilisation, puis la destruction, de cellules souches embryonnaires, ce qui pose un grave problème d'ordre éthique, et qui est condamné aussi bien par l'Eglise que par la Fondation Jérôme Lejeune.
     
    Voilà pourquoi, en ce jour d'ouverture du Téléthon, nous tenons à réaffirmer que, si la part noble et saine de ce grand mouvement est évidemment à encourager, il y a une chose tout aussi importante à faire : ne surtout pas oublier la Fondation Jérôme Lejeune... 
     

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    Jean Paul II sur la tombe du Professeur Jérôme Lejeune

  • A écouter demain, sur lafautearousseau

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    Cette passionnante émission des "Idées à l'endroit" était attendue : le philosophe Alain de Benoist se penche sur l'œuvre et la personnalité d'un géant : Pierre Boutang.

    Ce dernier suscite toujours une très grande admiration littéraire, philosophique mais aussi politique voire spirituelle.

    Pour évoquer celui qui a marqué, par ses engagements, de nombreux écrivains et penseurs, Alain de Benoist s'est entouré de plusieurs personnalités : le philosophe d'origine libanaise Antoine Assaf, le biographe de Boutang, Rémi Soulié, Jean-Luc Pinson, qui fut son élève et son ami, jusqu'à la fin, et le petit-fils de Pierre Boutang, Emmanuel.

    Une émission de haute tenue !

    Alain de Benoist VS Pierre Boutang : les idées à l'endroit (n° 25) sur TV Libertés

    (lafautearousseau est fier de compter Emmanuel Boutang au nombre des "amis" de sa page facebook...)

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  • Unité nationale éphémère ? par Gérard Leclerc

    L’émouvante cérémonie qui a eu lieu, hier après-midi, dans la cour de l’hôtel des Invalides, a rassemblé toute la nation en un rare moment d’unanimité nationale. Comment pourrait-il en être autrement ? Qui pourrait ne pas participer à ce sentiment de gratitude collective à l’égard de treize jeunes hommes qui ont fait le sacrifice de leur vie pour la nation. Pourtant, nous assisterons bientôt à une grève nationale qui s’annonce de très grande ampleur et risque de rompre très vite cette impression d’unité du pays, d’autant que le mouvement pourrait se prolonger sans qu’on sache ce qui pourrait mettre fin à un mécontentement très partagé.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Le meilleur reste à venir

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    A l’affiche : Le meilleur reste à venir, un film français de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, avec Fabrice Luchini (Arthur Dreyfus), Patrick Bruel (César Montesiho), Zineb Triki (Randa), Jean-Marie Winling (Bernard Montesiho) et André Marcon (Bernard, le prêtre).

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

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  • Le 2 Décembre : se délivrer de la « napoléonite » …. par Christian Vanneste

    1031116395.jpg"Trois invasions : deux pour l'oncle, une pour le neveu, voilà une famille qui a coûté cher à la France" disait Jacques Bainville, en parlant des Napoléon.

    Dans ce remarquable article, magistral résumé du "stupide XIXème siècle" (comme le disait Léon Daudet) et de la non moins stupide Napoléo-mania, on croit lire du Bainville dans le texte, mais c'est bien Vanneste qui parle : Vanneste qui a  manifestement lu et, surtout, compris, digéré, assimilé le grand, l'immense Jacques Bainville...

    Mais on y retrouve aussi le Maurras, qui écrivit "Les Princes des Nuées", et de nouveau le Bainville qui avait expliqué "le chef-d'oeuvre absolu" que furent les Traités de Westphalie : une Royauté française qui travaillait à la paix pour la France, dans le sens de ses intérêts vitaux et du Bien commun, alors qu'Encyclopédistes, révolutionnaires, républicains et impérialistes voulurent et firent, follement, l'unité de l'Allemagne, ce qui revenait à travailler "en intelligence avec l'ennemi" : "..Avec application, ils (les deux Napoléon, ndlr) ont permis la réunification de l’Allemagne et de l’Italie que les Bourbons avaient morcelées le plus possible à nos portes..." écrit, lapidaire, Christian Vanneste

    La page facebook de lafautearousseau est très fière de compter Christian Vanneste au nombre de ses "amis"...

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, JLHarouel :" Tuer sans risquer d'être tué en punition de son crime est un nouveau droit de l'Homme"


    Jean-Louis Harouel est agrégé des Facultés de droit, professeur émérite à l’Université Paris II et auteur du livre "Libres réflexions sur la peine de mort" ( Ed Desclée de Brouwer) est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !

     

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  • A la découverte de l'homme Maurras : Devant le Mur des Fastes (VII/XIX)

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Nous poursuivons notre visite du jardin, devant le Mur des Fastes (VII/XIX)...

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Seules les bêtes

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    A l’affiche : Seules les bêtes, un film français de Dominik Moll, avec Denis Ménochet et Laure Calamy (les époux Michel et Alice Farange), Valeria Bruni Tedeschi (Evelyne Ducat), Damien Bonnard (Joseph Bonnefille), Nadia Tereszkiewicz (Marion), Bastien Bouillon (Gendarme Cédric Vigier), Guy Roger N'drin (Armand).

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  • Macron n'envisage les Retraites que d'un point de vue financier : alors...

    Affiche de l'Union Royaliste Provençale, décennie 70/80 (Président : Pierre Chauvet / Secrétaire Général : Jean Lavoëgie)

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Toute ressemblance...

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    A l’affiche : Toute ressemblance…, un film français de Michel Denisot, avec Franck Dubosc (Cédric Saint Guérande, CSG, le présentateur du JT). 

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  • A la découverte de l'homme Maurras : Aujourd'hui : Nous poursuivons notre visite du jardin, devant le Mur des Fastes (VI/XIX)...

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Aujourd'hui : Nous poursuivons notre visite du jardin, devant le Mur des Fastes (VI/XIX)...

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  • La Souveraineté est inséparable de l’Identité ! Macron n’a rien compris ! par Christian Vanneste

    Ainsi donc, M. Macron se veut un spectateur engagé et a tenu à faire part de ses analyses à The Economist…. « Spectateur engagé » est le titre donné à un livre d’entretiens avec Raymond Aron, justifié puisque celui-ci commentait avec pertinence et profondeur l’actualité, sans être neutre ni inféodé à un pouvoir. Le problème de M. Macron est qu’il est président de la République, et que son plaisir narcissique évident de montrer qu’il a une lecture intelligente et lucide de la réalité fait de lui un acteur dégagé, pour l’instant au sens que l’on donne à un regard d’en haut, vaguement méprisant, condescendant pour les erreurs des autres à qui on ne veut pas donner de leçons, tout en en donnant sans avoir fait soi-même ses preuves. La fin du spectacle pourrait bien se résumer d’ailleurs dans un autre sens du mot « dégagé ».

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Joyeuse retraite

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    A l’affiche : Joyeuse Retraite, un film français de Fabrice Bracq, avec Thierry Lhermitte et Michèle Laroque (Philippe et Marilou, les jeunes retraités), Nicole Ferroni et Omar Mebrouk (Cécile et Arnaud, leur fille et son mari, parents de deux enfants), Judith Magre (Line, la mère de Philippe), Nicolas Martinez II (Olivier, l’agent immobilier).

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