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"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Une pause, dans notre découverte des lieux, pour répondre à une question "technique" d'un lecteur : quel est l'état des forces en présence, à Martigues, après les dernières élections ?...
Thierry, de Paris, nous demande - pour faire court - "qui représente quoi" sur place. Il pense que, peut-être, les prochaines municipales vont changer les choses...
Cela nous éloigne un peu, temporairement, de notre sujet de départ, mais toute question mérite réponse...
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Une première victoire dans notre long combat; ce n'est qu'un début, nous continuerons jusqu'à la fin...
A l’affiche : J’accuse, un film de Roman Polanski, avec Jean Dujardin (le colonel Picquart), Louis Garrel (Dreyfus), Emmanuelle Seigner (Pauline Monnier, la maîtresse de Picquart), Grégory Gadebois (le colonel Henry), Mathieu Amalric (Bertillon, policier « graphologue » à la Préfecture), Denis Podalydès (Me Demange, avocat de Dreyfus), adapté du roman D de Robert Harris, sorti en 2014.
Vint-huit jours nous ont occupés à publier - et pour nombre de nos lecteurs, à lire - Une politique pour l'an 2000 de Pierre Debray, cette analyse de situation et cette réflexion prospective de haut niveau parue en 1985.
Art et Essai : Les Éblouis, un premier long-métrage français de Sarah Suco, avec Jean-Pierre Darroussin (le Berger), Eric Caravaca et Camille Cottin (Frédéric et Christine Lourmel, les parents) et Céleste Brunnquell (leur fille Camille).
Discours de Pierre Debray aux Baux de Provence, en 1973
Nous avons achevé hier la publication de l'étude magistrale de Pierre Debray parue en novembre 1985, sous le titre Une politique pour l'an 2000. On s'y reportera avec profit en utilisant les vingt-six liens ci-dessous.
A l'issue de la parution de cette étude, Pierre Debray nous avait encore donné un entretien complémentaire et conclusif.
Nous l'avons publié en deux parties, c'est à dire hier mardi et aujourd'hui mercredi. LFAR
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Illustrations du Mur des Fastes (IV/XIX)...
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Illustrations du Mur des Fastes (III/XIX)...
Nous terminons ici la publication de cette série magistrale qui forme un ensemble à lire en entier : une étude de Pierre Debray parue en novembre 1985 dans le mensuel Je Suis Français, sous le titre Une politique pour l'an 2000.
Sa lecture aura enrichi ceux qui l'auront faite.
Elle explique aux lecteurs qui ne l'ont pas connu le rôle intellectuel important de Pierre Debray à l'Action Française dans les années 1950-2000. Cette analyse politique, économique, sociologique et historique, menée méthodiquement, à la maurrassienne, comporte de multiples enseignements, utiles aujourd'hui à notre école de pensée. Comme un stimulant de notre réflexion sur la situation présente de la France et sur l'action que nous avons à y mener. Même si le lecteur devra tenir compte des événements et des faits intervenus au cours des trois dernières décennies.
A l'issue de la parution de cette étude, Pierre Debray avait encore donné un entretien complémentaire et conclusif. Nous le publierons en deux paryties, demain mardi et après-demain, mercredi. LFAR
Entre les mois de septembre 2019 (Journées du Patrimoine) et mars 2020 (Elections municipales) nous menons campagne pour la réouverture au public de la maison et du jardin de Maurras au Chemin de Paradis; pour leur transformation en Centre culturel de haut niveau, sereinement dédié aux recherches et aux études sur Maurras et son influence immense, en France et à l'étranger; et pour l'inscription de cette maison et de son jardin au réseau des Maisons des Illustres...
Un mois après l'article du canadien Pinkoski, voici un article d'Eric de Verdelhan : c'est exactement le genre de textes que nous aimerions "entendre", lors de débats, rencontres, colloques... organisés dans ce Centre culturel dont nous demandons la création à Martigues, dans la Maison de l'un de ses plus illustres enfants (avec Gérard Tenque et le peintre de Louis XVI, Joseph Boze).
Comme pour l'article de Pinkoski, on n'est pas obligé d'en approuver la totalité des propos, d'être d'accord en tout avec l'auteur : au moins s'agit-il d'une saine "disputatio", d'une bouffée d'air pur dans le désolant conformisme et la non moins désolante auto censure d'aujourd'hui, imposées l'une et l'autre par une vérité officielle et un politiquement correct étouffants et insupportables...
Nous ne faisons pas de Maurras une icone (mot que l'on emploie à tout propos et surtout à tort et à travers aujourd'hui); nous ne disons pas et n'avons jamais dit que nous "sacralisions" l'intégralité de ses propos ou écrits; que nous faisons nôtres la totalité de tout ce qu'il a fait... Et nous acceptons tout à fait une saine "critique", au sens originel du terme, de Maurras et de son oeuvre.
Ce serait justement - ce sera ?... - le rôle du Centre que nous appelons de nos voeux que de promouvoir ces études maurrassiennes dépassionnées et positives...
Notre Album Fêtes de France, Identité française..., en voie d'achèvement, vous propose deux photos expliquant la célébration de Saint Nicolas (dénaturé en Père Noël par le mercantilisme anglo-saxon), à l'origine directe du Marché de Noël de Strasbourg, qui vient de s'ouvrir pour la 450ème année, et dont le nom véritable est Christkindelsmärik, ou "marché de l'enfant Jésus"...
Cet Album est divisé en deux parties : les fêtes profanes et les fêtes religieuses, ces fêtes qui "font", qui "sont" la France...