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A l’affiche : Docteur ?, un film français de Tristan Séguéla, avec Michel Blanc (le docteur Serge Manou Mani), Hakim Jemili (Malek), Solène Rigot (Rose) et Franck Gastambide (Grisoni), inspiré de faits réels.
Dans Le Figaro magazine du 27 décembre 2019, Jean-Christophe Buisson formule "Vingt voeux pour 2020" : nous aimerions bien en voir se réaliser certains... mais le deuxième a particulièrement retenu notre attention :
2. Une réédition du chef d'oeuvre de géopolitique publié il y a tout juste cent ans par Jacques Bainville : Les conséquences politiques de la paix.
Oui, ce serait, certes, une excellente chose.
Qui permettrait, d'abord, de remettre en évidence l'excellence de notre école de pensée, dont nous pouvons être fier, et qui est certainement la plus brillante opposition/contestation de la Révolution que celle-ci ait rencontré, de par le vaste monde...
Et qui permettrait aussi de bien remettre en évidence la nocivité et la malfaisance des gouvernants et penseurs anglo-saxons qui, en voulant à tout prix sauver l'Allemagne, pour que la France ne redevienne pas trop suivante, et donc ne recommence pas à les concurrencer, ont tout simplement fait tout ce qu'il fallait pour préparer le chemin à... Hitler !
Voici trois extraits de notre Album Maîtres et témoins... (II) : Jacques Bainville (le premier est paru hier, lundi, le troisième paraîtra demain, mercredi) :
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : l'Ordre des Minimes, florissant en France avant 1789, totalement détruit par la Révolution...
Qu’est-ce qu’un changement d’année ? Le fait d’un phénomène cyclique lié aux rythmes cosmiques ? Pas seulement ! Car il s’agit d’abord de l’histoire humaine dont la notion été inventée par le christianisme avant que la pensée moderne ne s’en empare…
Art et Essai : Une vie cachée, un film américano-allemand de Terrence Malick avec August Diehl et Valerie Pachner (Franz et son épouse Fani), d’après l’histoire vraie de Franz Jägerstätter, béatifié pat Benoît XVI en 2007.
Dans Le Figaro magazine du 27 décembre 2019, Jean-Christophe Buisson formule "Vingt voeux pour 2020" : nous aimerions bien en voir se réaliser certains... mais le deuxième a particulièrement retenu notre attention :
2. Une réédition du chef d'oeuvre de géopolitique publié il y a tout juste cent ans par Jacques Bainville : Les conséquences politiques de la paix.
Oui, ce serait, certes, une excellente chose.
Qui permettrait, d'abord, de remettre en évidence l'excellence de notre école de pensée, dont nous pouvons être fier, et qui est certainement la plus brillante opposition/contestation de la Révolution que celle-ci ait rencontré, de par le vaste monde...
Et qui permettrait aussi de bien remettre en évidence la nocivité et la malfaisance des gouvernants et penseurs anglo-saxons qui, en voulant à tout prix sauver l'Allemagne, pour que la France ne redevienne pas trop suivante, et donc ne recommence pas à les concurrencer, ont tout simplement fait tout ce qu'il fallait pour préparer le chemin à... Hitler !
Voici trois extraits de notre Album Maîtres et témoins... (II) : Jacques Bainville (les deux suivants paraîtront demain mardi et mercredi) :
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Maurras et les premiers établissements phocéens sur la côte provençale...
A l’affiche :La vérité, un film franco-japonais de Hirokazu Kore-eda, avec Catherine Deneuve (la star Fabienne), Juliette Binoche (sa fille Lumir, scénariste) et Ethan Hawke (Hank, le mari de Lumir)
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : état actuel des listes pour les prochaines Municipales à Martigues...
Pour la rubrique « critique des idées » nous proposons un texte d’Axel Tisserand sur le récent ouvrage universitaire portant sur l’Action française face au nazisme.
Il l’a envoyé au rédacteur en chef de Le Bien Commun, Charles du Geai. Ce texte a été publié dans le n° de decembre 2019. Voici la présentation de Charles du Geai : « Je veux insister ami lecteur, sur l’importance de ce débat. L’Action française a depuis longtemps fait le choix de l’héritage critique, celui du fils qui sait qu’il doit le respect au père, mais que le respect n’est pas la servitude, et que n’est perpétué que ce qui est critiqué. Rendons hommage à Michel Grunewald, il a donné ses raisons, il a signé un long et passionnant entretien dans la dernière livraison du Bien Commun, distinguant le nationalisme allemand des idées d’A.F. Rendons également hommage à Axel Tisserand. Ami lecteur, quand on te dira que les camelots du roi sont essentiellement antisémites, souviens toi de ce débat, et répond, avec la certitude de celui qui a étudié : ignorant. »
Merci aux Editions Les Provinciales, qui nous ont envoyé le message suivant, pour annoncer ce livre assurément aussi passionnant que profond... :
« Dans un monde assailli par la plus atroce barbarie, la généreuse tradition des prophètes hébreux, que le christianisme, en ce qu’il eut de plus pur, reprit pour l’élargir, ne demeure-t-elle pas une de nos meilleures raisons de vivre, de croire et de lutter ? » (Marc BLOCH)
"Nous croyons que la Révolution française a fait fausse route, que l'heure de sa liquidation définitive n'est pas éloignée; que la forme de démocratie qu'elle a introduite dans le monde n'est pas un progrès, que ni la nature humaine, ni la nature sociale ne s'accommodent de cette forme, et que l'histoire entière dépose contre elle." (François Lorrain, cité par Victor Nguyen, "Aux origines de l'Action française", page 58)
En ce jour où chacun souhaite joyeusement une "Bonne année" aux personnes qui lui sont chères, ayons une pensée pour Charles IX, qui est à l'origine de la fixation du début de l'année au premier janvier, par son Edit de Roussillon.
Le moment d'échanger nos voeux joyeux est aussi le moment idéal pour nous souvenir de ce roi, qui est aussi à l'origine de nos plaisanteries et canulards du premier avril, et, galant, de la belle tradition du muguet du joli mois de mai : c'est en effet toujours Charles IX qui, pour célébrer l'arrivée des beaux jours, décida, un premier mai, d'offrir un brin de muguet à chacune des dames de sa Cour...
Voilà une bonne occasion - n'est-ce pas ? - de commencer l'année, pleins de reconnaissance, en reprenant notre vieux cri traditionnel :