A la découverte de l'homme Maurras : Reprenons la visite de la partie architecturée du jardin, et du Mur des Fastes...
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : l'Ordre des Minimes, florissant en France avant 1789, totalement détruit par la Révolution...
"...Le minime Nuirate monta sur l'échafaud révolutionnaire...."
Dans son ouvrage "Les confesseurs de la foi dans l'Église gallicane à la fin du XVIIIème siècle", Guy-Toussaint-Julien Carron de La Carrière cite "le père Louis-Thomas Nuirate, natif de Marseille, Provincial dans l’ordre des Minimes", guillotiné "vers les onze heures du matin, le 23 juillet 1793 à Marseille, avec le Père François-Louis-Marie Taxy, également religieux minime..."
A son apogée, l’ordre des Minimes comptait 457 couvents, dont 156 en France.
La révolution française fut particulièrement terrible pour cet Ordre : religieux assassinés, couvents détruits.
Si l'Eglise catholique - en général - et la plupart des Ordres religieux - en particulier - se sont relevés de la Révolution, il n'en fut pas de même pour l'Ordre des Minimes : a la fin du XXème siècle, il y a 178 monastères Minimes dans le monde, mais plus aucun en France...
lafautearousseau