UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

A la découverte de l'homme Maurras : Sur le Mur des Fastes, l'hommage au fils de ce duc de Villars, vainqueur de Denain...

C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

Aujourd'hui : Sur le Mur des Fastes, l'hommage au fils de ce duc de Villars, vainqueur de Denain...

"...Son fils, notre bon duc, fut l'idole du pays..."

1193994489.jpg



Honoré-Armand, marquis, puis duc de Villars, prince de Martigues, l’un des 40 de l’Académie Française, naquit le 4 décembre 1702, fils du Maréchal Louis Hector, aussi gouverneur de Provence.


A 16 ans, il fut fait mestre de camp d’un régiment de cavalerie (mars 1718).


Il fit en cette qualité quelques campagnes sur le Rhin et au-delà des Alpes.


Il servait en 1733 en Italie, sous les ordres de son père, et ayant apporté à Louis XV, le 4 janvier 1734, la nouvelle de la prise du Château de Milan, il fut nommé brigadier, le 13 février suivant.

Quelques mois après, la mort de son père le mit en possession de la grandesse d’Espagne et du gouvernement de Provence.


Il remplaça même le maréchal à l’Académie Française, où il fut reçu le 9 décembre 1734.


Enfin en 1736, il fut fait Chevalier de la Toison d’Or.


Il sut se faire aimer dans la province dont il était gouverneur.


Comme académicien, il justifia le choix de ses confrères par son amour pour les lettres et par le goût éclairé avec lequel il les cultiva jusqu’à la fin de sa vie.

Écrire un commentaire

NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.

Optionnel