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A la découverte de l'homme Maurras : Sur le Mur des Fastes, l'hommage à Monsieur de Surian...

C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

Aujourd'hui : Sur le Mur des Fastes, l'hommage à Monsieur de Surian...

"...Monsieur de Surian, évêque de Vence, membre de l'Académie française, fit ses études au Collège de Martigues...."

 



Il faut croire qu'il y reçut une bonne instruction, puisque Jean-Baptiste Surian (1670-1754), fut élu à l’Académie française en 1733, titulaire du 25ème fauteuil (c'est d'Alembert qui devait lui succéder !...)

Oratorien et prédicateur, il fut nommé évêque de Vence en 1728.

Il fonda l’Hôpital St Jacques et fit don de tous ses biens à cette oeuvre.

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Si la Révolution chassa le dernier évêque, Mgr Pisani, qui refusait de prêter serment sur la Constitution, et supprima l'évêché, il faut croire, aussi, que "monsieur de Surian" avait laissé un bon souvenir : assez bon, en tout cas, pour qu'on lui dédiât une place, la Place Surian, en démolissant les vieilles maisons qui entouraient l’ancien Hôtel de Ville, appelé « Maison du Saint Esprit ».

On remarque, sur cette bâtisse, un linteau de porte avec un écusson portant les armes de la ville :

« D’Azur à la tour d’argent crénelée de cinq pièces maçonnées de sable ».

Cette place a été immortalisée par un impressionniste, Henri-Maurice Cahours (illustration ci-dessus).

lafautearousseau

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