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Revenons un peu sur ces histoires de statues vandalisées ou bien, pire encore, retirées à titre « préventif » pour ne pas risquer la colère des « antiracistes ».
Quel est le problème ?
Accordons à tous ces modernes iconoclastes qu’une statue n’est pas un livre d’histoire : elle ne vise pas simplement à rappeler tel ou tel fait ou évènement du passé, elle est une manière d’attirer l’attention sur ce fait ou cet évènement.
L’actualité politique est stupéfiante, délirante, donnant lieu à des actions irrationnelles, dangereuses pour la paix civile.
Délire racial : le racisme prospère sur fond de règlements de comptes anti-établissement du modèle dominant, en l’occurrence celui des sociétés occidentales.
Il est évident que le racisme qui se développe n’est pas l’apanage d’une couleur de peau mais est partagé par des hommes noirs imprégnés de frustrations et de ressentiments idéologiques, en désir de vengeance.
Le Cercle Aristote a l'honneur de recevoir l'économiste et professeur Yves Perez pour une conférence en ligne sur son dernier ouvrage intitulé "Les vertus du protectionnisme : Mondialisation et crises politiques, les surprenantes leçons du passé" paru aux éditions de l'Artilleur.
Plutôt que de penser à déboulonner la statue de Colbert, voilà un bien meilleur endroit pour la prochaine manif de Dame Assa (du gang des Traoré), la prochaine chansonnette (à deux balles, évidement) de Dame Camelia Jordana, la prochaine déclamation de poème de CM2 de Dame Christiane Taubira...
Elles veulent jouer aux martyrs, et se présenter comme telles ? Fort bien, prenons-les donc au(x) mot(s) et convions nos trois égéries à venir manifester, hurler et tout ce qui va avec devant les cendres du grand Voltaire, "grand", forcément, puisque le Système a déposé ses cendres dans ce temple dédié "Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante" :
Il a osé crier victoire ! Dans le fond, Macron, c’est comme Napoléon, qui voudrait se relancer après Waterloo, se réinventer, prendre un nouveau chemin, bref continuer à exercer le pouvoir, mais avec cette différence abyssale qu’il n’y a pas eu d’Austerlitz, ni aucune autre bataille gagnée auparavant, ni aucune restauration de l’Etat, ni aucun élan donné à la Nation, ni aucune prééminence de la France en Europe. La seule victoire de Macron, c’est l’élection volée de 2017 par un socialiste ami des milliardaires, et qui a poursuivi le travail de sape commencé dans les cabinets obscurs : la démolition de la France !
Le discours d’hier soir du président de la République est significatif non plus d’une opération de déconfinement mais de sortie de crise et de définition d’un élan national qui suppose unité et solidarité. Emmanuel Macron sera-t-il compris de l’opinion publique ?
Qu’on l’accepte ou pas, le discours qu’a prononcé hier soir le président de la République marque une redéfinition globale de la politique du pays. L’épisode sans précédent que nous avons vécu, à l’unisson de l’Europe et du monde entier, entraîne, en effet, un réexamen de ce qu’on peut appeler la philosophie qui doit présider au déploiement de toute notre activité.
Une plume n’est que le prolongement d’un esprit, certaines sont les instruments de démiurges. Jean Raspail était des leurs. Car, comment ne pas voir dans son héritage l’art de sublimer l’intemporel dans un monde mouvant et liquide, et celui de redorer le blason des causes déchues et oubliées ?
Persécutons les minorités tant que les persécuteurs sont europhiles et tant que les persécutés sont europhobes ! Telle pourrait être la nouvelle devise de l’Union européenne quand on observe comment celle-ci se comporte dans l’affaire de la minorité hongroise de Roumanie.
Mercredi 20 mars : Economiste et philosophe, Philippe ARONDEL a travaillé au bureau d’études de la CFTC et anime aujourd’hui une émission culturelle sur Fréquence protestante.
Voici plus d’une vingtaine d’année, nous avions invité Philippe Arondel à présenter son premier ouvrage qui critiquait vigoureusement la conception libérale de l’économie. Cet ouvrage, L’impasse libérale, retravaillé et complété par son auteur, vient d’être republié aux éditions Salvator. Les crises financières, la globalisation marchande, la montée en puissance du modèle technoscientifique, le bouleversement du statut du travail et les enjeux écologiques sont analysés rigoureusement de même que l’idéologie dominante qui, dans sa version ultralibérale, vise à éliminer la notion même de Bien commun.
Face à l’impasse libérale, est-il possible de s’appuyer sur la doctrine sociale-chrétienne pour refonder une économie de liberté sous l’égide d’un Etat indépendant des féodalités économiques et financières ?
Samedi premier décembre 2018, la France connaît depuis deux semaines une importante vague de manifestations. À Paris, épicentre de la contestation des Gilets Jaunes, les forces de l’ordre sont débordées. Profitant de la situation, un groupe de militaires emmenés par un général en retraite se mêle au mouvement en rêvant à la chute du pouvoir... Avec "Premier décembre", Xavier Legay signe un premier roman de politique-fiction remarqué... Un auteur prometteur !
Souverainisme, Le Pen, Raoult, BHL, De Villiers... Dans un grand entretien musclé, le philosophe s'explique sur sa revue Front Populaire et fustige les médias.
Il est l'intellectuel qui entend réunir les souverainistes de tous bords à travers sa nouvelle revue Front populaire, où l'on retrouve Jean-Pierre Chevènement comme Philippe de Villiers. Il est aussi celui qui concentre les critiques violentes sur sa supposée dérive idéologique qui l'aurait vu passer de la gauche libertaire de Proudhon à l'extrême-droite d'Eric Zemmour.
Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut par le gouvernement le plus lamentable que la France ait eu à subir : d’abord, il y a Castaner, ce personnage au passé douteux occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a du le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Ran-Tan-Plan !