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Idées, débats... - Page 314

  • A Dieu Jean, par Jean Sévilla.

    Source : http://kiosque.lefigaro.fr/figaro-magazine/

    En 1985, douze ans après sa parution, le Camp ses saints. le roman de Jean Raspail. était réédité.

    L’ouvrage décrit la crise déclenchée en Occident par le débarquement sur le littoral méditerranéen d’un million de miséreux en provenance du tiers-monde. Dans nos colonnes, Louis Pauwels, notre directeur. avait choisi de présenter lui-même ce livre. « cent navires à bout de souffle s’échouent, chargés d’un million d’affamés, analysait-il. Ils sont l’avant-garde du monde pauvre qui va déferler, sans violence, mais avec l’irrésistible force de la misère qui rêve.  Que faire ? Résister ? Comment ? Et au nom de quoi ? Nous sommes devenus moraux, incertains de nos mérites et de nos droits, d’identité fragile » (Le Figaro magazine du 23 février 1955).

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  • L'ordre royal de l'étoile et de notre Dame du Mont-Carmel (1ère partie) (21), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le vingtième-et unième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

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  • Racisme ? La grande confusion, par Jean Monneret écrivain (*).

    Chers Amis,

    Vous avez dû suivre comme moi le vaste débat (qui ressemblait plutôt à une mise en accusation pure et simple) sur la France, son Histoire, sa société et surtout sa police, vigoureusement taxées de racisme par des jeunes, du genre cheveux longs et idées courtes.

    Je ne sais si la prise de conscience du désastre intellectuel, politique et moral, qui semble affecter les cerveaux d’une partie de la jeunesse des quartiers dits sensibles, permettra à nos” bien-aimés” dirigeants d’évaluer enfin la nocivité de la stupide propagande anticoloniale largement diffusée par les grands médias et le cinéma.

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  • Sur TV Libertés, zoom - Philippe d'Iribarne : "Les travailleurs indépendants payent cher leur liberté".

    L'Etat français a-t-il un problème avec la liberté ? Est-elle moins protégée que dans les autres pays ? Après deux mois de confinement, le sociologue Philippe d'Iribarne évoque les difficultés que rencontrent les travailleurs indépendants et propose des innovations pour les protéger davantage. Il revient aussi sur la notion de "vrai travail", le fossé entre secteurs privé et public, et répond à l’éventualité d'une crise de motivation dans les semaines et mois à venir.

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Alain Malraux, auteur de "Au passage des grelots, dans le cercle des Malraux".

    Alain Malraux, auteur de "Au passage des grelots, dans le cercle des Malraux" au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.

  • Sur la page facebook de Jean-Paul Brighelli...

    Tâchons d'être clairs. Il est impossible de donner sa voix à l'un ou l'autre des partis qui cautionnent les "antiracistes" qui défilent en ce moment dans les rues en hurlant "mort aux Juifs". Parce que ce serait s'en rendre complice.
    Les futures municipalités qui accordent un quelconque crédit à ces vrais, authentiques racistes, sont disqualifiées d'avance. Et les candidats qui ne condamnent pas vigoureusement ces manifestations doivent être sanctionnés. Je pense aussi bien à Hidalgo à Paris que Rubirola à Marseille. C'est une honte absolue. J'hésite entre l'envie de vomir et l'envie de sévir.

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  • Dédié à Assa Traoré et aux siens : parler du passé esclavagiste, oui; mais, aussi et surtout, du présent esclavagiste...

    Oui, il y a des pages sombres dans l'histoire de l'Europe en général, et de la France, en particulier. Nous savons les regarder en face, comme la cruelle Guerre des Camisards ou les Guerres de religion ou... la traite négrière.

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    Par contre, Assa Traoré, l'égérie du Gang, ou Christiane Taubira aiment bien parler de l'esclavagisme des blancs et tout et tout; mais elles ne parlent jamais de celui qui perdure encore aujourd'hui : c'est bizarre, non ?

    Nous n'avons évidemment aucune raison d'être fiers de ce que "le commerce triangulaire" ait existé; au moins y avons-nous mis fin depuis belle lurette et, depuis belle lurette aussi, aboli l'esclavage, ce que des pays d'Afrique et/ou musulmans n'ont pas fait, eux qui pratiquent encore couramment la traite négrière aujourd'hui.

    Eh, oui, dame Traoré, dame Taubira, l'abolition de l'esclavage, cela concerne l'Europe, et pas tant et tant de pays autres, dont vous ne parlez jamais : on peut savoir pourquoi ?

    Pour nourrir le débat, voici l'intégralité de notre feuilleton que vous pourrez lire la semaine prochaine (n° 125 de "L'aventure France racontée par les Cartes"...), mais que nous avons "détaché" aujourd'hui, afin de coller à une actualité brûlante et vociférante...

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  • Jean Sévillia : « On assiste à un discours moralisateur et mondialisant, c’est une vision totalement faussée de l’Histoire ! ».

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    3.jpegDéboulonner des statues ou en ériger de nouvelles… Le mouvement racialiste souhaite la disparition des représentations de Colbert, accusé d’esclavagisme, ou de Churchill pour racisme. Certains imaginent, plutôt que supprimer, mettre à l’honneur de nouveaux personnages comme l’émir Abdelkader.

    Réaction de Jean Sévillia au micro de Boulevard Voltaire.

     

    Jean Sévillia

    Journaliste et essayiste
    Rédacteur en chef adjoint au Figaro Magazine, membre du comité scientifique du Figaro Histoire, et auteur de biographies et d’essais historiques.
     
  • Sans-culottes ou bien Culotte de peau, par Guy Adain.

    Sans pudeur,

    Sans dessous dessus,

    Sans dessus dessous,

    Sens dessus dessous,

    Sans limite,

    Sans foi ni loi,

    Sans bon sens ;

    Mais pas sans Valeur,

     

    Bien au contraire,

    Ils ne pensent qu’à ça !

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  • 2 points de vue sur le : (1/2) 18 juin 1940, par Gérard Leclerc.

    Le général Charles de Gaulle au micro de la

    BBC à Londres, 30 octobre 1941.

    © BBC

    Quatre-vingtième anniversaire de l’appel du 18 juin du général de Gaulle ! Comment son auteur a-t-il vécu cet évènement et quelle leçon en a-t-il tirée pour lui-même et le pays ? Au-delà du suffrage populaire, comment entendre cette légitimité historique ?

    18 juin 1940 - 18 juin 2020 ! C’est donc presque un siècle qui nous sépare de cet acte fondateur qui propulsa Charles de Gaulle dans notre histoire. Le mieux est de se référer à lui-même afin de comprendre ce qui s’est passé ce jour où la France est tombée au fond de l’abîme et où un homme s’est retrouvé en charge de son destin : « Le 18 juin 1940, répondant à l’appel de la patrie éternelle privée de tout autre recours pour sauver son honneur et son âme, de Gaulle, seul, presque inconnu, avait dû assumer la France. »

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  • 2 points de vue sur : (2/2) la Leçon du 18 Juin 1940, par Christian Vanneste.

    Le 18 Juin, ce devrait être une Fête nationale. Ce jour-là un homme a cru en la France plus que la plupart des Français, et presque seul parmi ceux qui exerçaient ou avaient exercé des responsabilités. Il a affirmé haut et fort que la France n’était pas vaincue et qu’elle devait poursuivre le combat aux côtés de ses alliés. Cette attitude s’appuyait sur deux piliers inébranlables : un patriotisme qui mettait l’intérêt supérieur de la Patrie au-dessus de toute autre considération politique et une clairvoyance qui anticipait les moyens dont les ennemis de l’Allemagne disposeraient pour la vaincre.

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  • Exerçons nos droits civiques !, par Jeanne Estérelle.

    La probabilité d’une abstention massive aux élections municipales accuse la conscience diffuse des électeurs de participer à un jeu de dupes. La perception d’une illusion collective entretenue à tous les niveaux, politique et économique, national et européen, conduit les français à renoncer aux seules prérogatives concrètes qui leur sont encore attachées.

    Un pays virtuel cosmopolite pousse dans les fractures avérées du pays légal. La Banque Centrale Européenne impose aux états l’hyperinflation d’une économie virtuelle. Cette larve se nourrira de l’économie réelle au lieu de la cultiver.

    Choisir un nouveau maire, c’est rompre librement avec les illusions du monde virtuel qui nous dévorent. Choisir un nouveau maire, c’est repousser l’anarchie comme la tyrannie, dans un espace circonscrit par la mémoire de son histoire. Choisir un nouveau maire, c’est donner une tête au corps réel que nous habitons.

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Dominique Lormier auteur de "Les vérités cachées de la défaite de 1940".

    Dominique Lormier, historien et auteur de "Les vérités cachées de la défaite de 1940" @EdduRocher1 au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.

  • Sur Sacr TV, l'extermination une valeur sûre de la république.


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  • Sur TV Libertés, le Zoom avec Philippe Le Guillou : De Gaulle, le monarque républicain ?

    2020 est l'année De Gaulle à travers trois anniversaires : le 130ème anniversaire de sa naissance, le 80ème anniversaire de l'appel du 18 juin et le 50ème anniversaire de sa disparition. A travers Colombey, lieu essentiel de l'épopée De Gaulle, le romancier Philippe Le Guillou nous propose une rencontre avec le général à travers une forme de pèlerinage. L'admirateur du général ne se revendique pas pour autant gaulliste. Ne faisant nullement l'impasse sur les zones d'ombre de l'ancien chef d'Etat, Philippe Le Guillou voit avec De Gaulle le souvenir d'une France éternelle et invincible et pas un misérable département placé sous l'égide d'un gouvernement financier mondial... En ce 18 juin, Philippe Le Guillou rend hommage au très controversé Charles De Gaulle.