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Idées, débats... - Page 314

  • Sur la page facebook de Jean-Paul Brighelli...

    Tâchons d'être clairs. Il est impossible de donner sa voix à l'un ou l'autre des partis qui cautionnent les "antiracistes" qui défilent en ce moment dans les rues en hurlant "mort aux Juifs". Parce que ce serait s'en rendre complice.
    Les futures municipalités qui accordent un quelconque crédit à ces vrais, authentiques racistes, sont disqualifiées d'avance. Et les candidats qui ne condamnent pas vigoureusement ces manifestations doivent être sanctionnés. Je pense aussi bien à Hidalgo à Paris que Rubirola à Marseille. C'est une honte absolue. J'hésite entre l'envie de vomir et l'envie de sévir.

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  • Dédié à Assa Traoré et aux siens : parler du passé esclavagiste, oui; mais, aussi et surtout, du présent esclavagiste...

    Oui, il y a des pages sombres dans l'histoire de l'Europe en général, et de la France, en particulier. Nous savons les regarder en face, comme la cruelle Guerre des Camisards ou les Guerres de religion ou... la traite négrière.

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    Par contre, Assa Traoré, l'égérie du Gang, ou Christiane Taubira aiment bien parler de l'esclavagisme des blancs et tout et tout; mais elles ne parlent jamais de celui qui perdure encore aujourd'hui : c'est bizarre, non ?

    Nous n'avons évidemment aucune raison d'être fiers de ce que "le commerce triangulaire" ait existé; au moins y avons-nous mis fin depuis belle lurette et, depuis belle lurette aussi, aboli l'esclavage, ce que des pays d'Afrique et/ou musulmans n'ont pas fait, eux qui pratiquent encore couramment la traite négrière aujourd'hui.

    Eh, oui, dame Traoré, dame Taubira, l'abolition de l'esclavage, cela concerne l'Europe, et pas tant et tant de pays autres, dont vous ne parlez jamais : on peut savoir pourquoi ?

    Pour nourrir le débat, voici l'intégralité de notre feuilleton que vous pourrez lire la semaine prochaine (n° 125 de "L'aventure France racontée par les Cartes"...), mais que nous avons "détaché" aujourd'hui, afin de coller à une actualité brûlante et vociférante...

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  • Jean Sévillia : « On assiste à un discours moralisateur et mondialisant, c’est une vision totalement faussée de l’Histoire ! ».

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

    3.jpegDéboulonner des statues ou en ériger de nouvelles… Le mouvement racialiste souhaite la disparition des représentations de Colbert, accusé d’esclavagisme, ou de Churchill pour racisme. Certains imaginent, plutôt que supprimer, mettre à l’honneur de nouveaux personnages comme l’émir Abdelkader.

    Réaction de Jean Sévillia au micro de Boulevard Voltaire.

     

    Jean Sévillia

    Journaliste et essayiste
    Rédacteur en chef adjoint au Figaro Magazine, membre du comité scientifique du Figaro Histoire, et auteur de biographies et d’essais historiques.
     
  • Sans-culottes ou bien Culotte de peau, par Guy Adain.

    Sans pudeur,

    Sans dessous dessus,

    Sans dessus dessous,

    Sens dessus dessous,

    Sans limite,

    Sans foi ni loi,

    Sans bon sens ;

    Mais pas sans Valeur,

     

    Bien au contraire,

    Ils ne pensent qu’à ça !

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  • 2 points de vue sur le : (1/2) 18 juin 1940, par Gérard Leclerc.

    Le général Charles de Gaulle au micro de la

    BBC à Londres, 30 octobre 1941.

    © BBC

    Quatre-vingtième anniversaire de l’appel du 18 juin du général de Gaulle ! Comment son auteur a-t-il vécu cet évènement et quelle leçon en a-t-il tirée pour lui-même et le pays ? Au-delà du suffrage populaire, comment entendre cette légitimité historique ?

    18 juin 1940 - 18 juin 2020 ! C’est donc presque un siècle qui nous sépare de cet acte fondateur qui propulsa Charles de Gaulle dans notre histoire. Le mieux est de se référer à lui-même afin de comprendre ce qui s’est passé ce jour où la France est tombée au fond de l’abîme et où un homme s’est retrouvé en charge de son destin : « Le 18 juin 1940, répondant à l’appel de la patrie éternelle privée de tout autre recours pour sauver son honneur et son âme, de Gaulle, seul, presque inconnu, avait dû assumer la France. »

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  • 2 points de vue sur : (2/2) la Leçon du 18 Juin 1940, par Christian Vanneste.

    Le 18 Juin, ce devrait être une Fête nationale. Ce jour-là un homme a cru en la France plus que la plupart des Français, et presque seul parmi ceux qui exerçaient ou avaient exercé des responsabilités. Il a affirmé haut et fort que la France n’était pas vaincue et qu’elle devait poursuivre le combat aux côtés de ses alliés. Cette attitude s’appuyait sur deux piliers inébranlables : un patriotisme qui mettait l’intérêt supérieur de la Patrie au-dessus de toute autre considération politique et une clairvoyance qui anticipait les moyens dont les ennemis de l’Allemagne disposeraient pour la vaincre.

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  • Exerçons nos droits civiques !, par Jeanne Estérelle.

    La probabilité d’une abstention massive aux élections municipales accuse la conscience diffuse des électeurs de participer à un jeu de dupes. La perception d’une illusion collective entretenue à tous les niveaux, politique et économique, national et européen, conduit les français à renoncer aux seules prérogatives concrètes qui leur sont encore attachées.

    Un pays virtuel cosmopolite pousse dans les fractures avérées du pays légal. La Banque Centrale Européenne impose aux états l’hyperinflation d’une économie virtuelle. Cette larve se nourrira de l’économie réelle au lieu de la cultiver.

    Choisir un nouveau maire, c’est rompre librement avec les illusions du monde virtuel qui nous dévorent. Choisir un nouveau maire, c’est repousser l’anarchie comme la tyrannie, dans un espace circonscrit par la mémoire de son histoire. Choisir un nouveau maire, c’est donner une tête au corps réel que nous habitons.

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Dominique Lormier auteur de "Les vérités cachées de la défaite de 1940".

    Dominique Lormier, historien et auteur de "Les vérités cachées de la défaite de 1940" @EdduRocher1 au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.

  • Sur Sacr TV, l'extermination une valeur sûre de la république.


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  • Sur TV Libertés, le Zoom avec Philippe Le Guillou : De Gaulle, le monarque républicain ?

    2020 est l'année De Gaulle à travers trois anniversaires : le 130ème anniversaire de sa naissance, le 80ème anniversaire de l'appel du 18 juin et le 50ème anniversaire de sa disparition. A travers Colombey, lieu essentiel de l'épopée De Gaulle, le romancier Philippe Le Guillou nous propose une rencontre avec le général à travers une forme de pèlerinage. L'admirateur du général ne se revendique pas pour autant gaulliste. Ne faisant nullement l'impasse sur les zones d'ombre de l'ancien chef d'Etat, Philippe Le Guillou voit avec De Gaulle le souvenir d'une France éternelle et invincible et pas un misérable département placé sous l'égide d'un gouvernement financier mondial... En ce 18 juin, Philippe Le Guillou rend hommage au très controversé Charles De Gaulle. 

  • Sur la page facebook de l'Action française Toulouse

     

    "Après une vie remplie d’aventures et de chef-d’œuvres littéraires, l’écrivain royaliste et catholique Jean Raspail, vice-consul de Patagonie est décédé samedi 13 juin, à l’âge de 94 ans.

    L’annonce de sa disparition a particulièrement ému ses fidèles lecteurs qui, à Toulouse, se sont réunis, dimanche 14 juin pour rebaptiser symboliquement une place de la ville."

    Invité par le Cercle des Capitouls, Pierre de Meuse, cadre et délégué toulousain de l'Action Française y a évoqué l'homme, l'écrivain royaliste et catholique ainsi que son œuvre.

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  • Troisième fois en deux jours : on cite de plus en plus Bainville à la télé, et c'est tant mieux !

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    Mardi soir, le 16, c'était Zemmour - mais il est coutumier du fait... - sur C News : il a de nouveau cité "le grand Bainville" et a aussi nommé "Maurras et toute l'Action française" qui, alors qu'Hitler était parfaitement inconnu de tout le monde et n'était qu'un "peintre du dimanche" dénonçait la folie/trahison du Système qui perdait la paix si chèrement acquise par son suicidaire Traité de Versailles...

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  • Jean Raspail, Louis XVI et François Mitterrand, par Jean des Cars.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    Fervent royaliste, Jean Raspail est, en 1993, à la tête du Comité national pour la commémoration de la mort de Louis XVI. Il organise une grande manifestation place de la Concorde, à l’endroit où, deux siècles plus tôt, le Roi a été décapité. L’écrivain apprend que le Préfet de Police interdit ce rassemblement. Invité le matin même sur RTL, Jean Raspail, choqué par ce sectarisme, annonce qu’il maintient cet hommage et appelle la population à y participer.

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  • Pour une fois, lafautearousseau d'accord avec une bonne partie de ce que dit Manuel Valls...

    L'ex-Premier ministre a accordé un entretien à « Valeurs actuelles » paru ce jeudi 18 juin, dans lequel il revient sur les tensions raciales observées ces dernières semaines : selon lui, la « guerre entre "races" » va remplacer la lutte des classes.

    Manuel Valls evoque notamment dans cet entretien les tensions raciales en France, revenues sur le devant de la scene apres la mort aux Etats-Unis de George Floyd, faisant echo a l'affaire Adama Traore.

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  • Une révolution culturelle ?, par Gérard Leclerc.

    Que penser de cette vaste offensive qui aux

    États-Unis et en Europe s’en prend à des

    statues emblématiques du passé de nos

    nations ?

    © Cezary p / CC by-sa

    Depuis quelques jours, nous assistons aux États-Unis et en Europe à une vaste entreprise iconoclaste. Il faut prendre le mot au sens purement étymologique. L’iconoclaste c’est simplement un briseur d’images. Si l’on consulte le Petit Littré, on est renvoyé à tout un contexte religieux ancien, notamment à cette secte qui sévit au VIIIe siècle pour faire la guerre aux saintes images. Voilà qui parle d’ailleurs directement à nos amis orthodoxes qui célèbrent, chaque année, le triomphe de l’orthodoxie, précisément sur l’iconoclasme, c’est-à-dire l’interdit jeté sur la vénération des icônes du Christ, de la Vierge et des saints.

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