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Sur la page facebook de Jean-Paul Brighelli...

Tâchons d'être clairs. Il est impossible de donner sa voix à l'un ou l'autre des partis qui cautionnent les "antiracistes" qui défilent en ce moment dans les rues en hurlant "mort aux Juifs". Parce que ce serait s'en rendre complice.
Les futures municipalités qui accordent un quelconque crédit à ces vrais, authentiques racistes, sont disqualifiées d'avance. Et les candidats qui ne condamnent pas vigoureusement ces manifestations doivent être sanctionnés. Je pense aussi bien à Hidalgo à Paris que Rubirola à Marseille. C'est une honte absolue. J'hésite entre l'envie de vomir et l'envie de sévir.

En septembre dernier j'avais fait une chronique sur ma conviction que la violence urbaine allait se développer. Trois mois de coronavirus ont différé l'affrontement — mais nous y sommes.

Quant à ceux (et celles) qui refusent de se distancier de ces salopards sous prétexte de "convergence des luttes", ce sont eux aussi des nazis en puissance. L'alliance des féministes enragées et des partisans de l'Intifada est en marche et dit être dénoncée.
Et il faut le dire : ces énergumènes n'ont absolument aucune excuse. Et ne doivent s'attendre à aucune pitié. S'ils veulent la guerre civile — et j'espère que c'est évident pour tout le monde que c'est le but de la plupart d'entre eux — ils l'auront.
Jean Raspail, qui vient de mourir, avait décrit dans le Camp des saints l'affrontement final entre le Tiers-Monde qui venait frapper à nos portes — le livre date de 1973 — et les populations européennes autochtones. La seule chose à laquelle il n'avait pas pensé — c'était avant le "regroupement familial" — c'est que les hordes conquérantes (rappelez-vous le "Gang des barbares" qui a massacré Ilan Halimi) viendraient de l'intérieur.

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