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Le déploiement de la 5G inquiète : nocive pour la santé, néfaste pour l'environnement, inutile, anti-démocratique car imposée à tous, les griefs contre ces ondes électromagnétiques sont nombreux et souvent convaincants. Vincent Lapierre est allé à la rencontre des manifestants anti-5G pour mieux comprendre leurs motivations. Mais il a également souhaité donner la parole aux défenseurs de cette nouvelle technologie à travers l'interview de Sébastien Point, physicien et pourfendeur des "anti-ondes".
On ne cesse de nous le répéter en boucle : en France, les femmes seraient moins bien payées que les autres. En novembre dernier, Marlène Schiappa assurait qu’à compétences égales, elles sont, en moyenne, payées « de 9 à 27 % de moins » que leurs collègues masculins. Est-ce crédible ?
Pas un instant, et c’est facile à démontrer. Mais parler d’« inégalités de salaires » témoigne d’une façon de voir qui est déjà biaisée. Si l’on compare les salaires d’un homme et d’une femme occupant la même fonction, de même niveau, dans la même entreprise, et au même endroit, on constate que la différence est insignifiante, sinon inexistante.
Mercredi 3 avril, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Morvan Burel pour le livre “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne” qu'il a co-écrit.
Depuis bientôt quarante ans, les partis politiques de gauche croient pouvoir réaliser leur programme dans le cadre de l’Union européenne et sans remettre en cause les principes du libéralisme économique inscrits dans les traités. Les socialistes ont promis « l’Europe sociale », voire un fédéralisme européen à la mode social-démocrate, mais se sont heurtés à un système de normes juridiques, au carcan monétaire et à la dynamique du capitalisme financier. Les trotskystes dénoncent le libre-échange mais refusent le protectionnisme. La France insoumise propose une stratégie en deux temps – les plans A et B – peu crédible tant elle est floue. Membre du collectif « Chapitre 2 » aux côtés, entre autres, de Christophe Ventura et d’Aurélien Bernier, Morvan BUREL est coauteur de l’ouvrage consacré à “La gauche à l’épreuve de l’Union européenne” – une épreuve qui met aujourd’hui son existence en question. En examinant avec notre invité les propositions et les échecs de la gauche, nous réfléchirons aux différentes stratégies qui pourraient permettre de sortir de l’impasse européiste.
• Les quinze premières minutes de l'émission d'hier soir comptent très certainement parmi les meilleurs moments de cette "heure de Zemmour" !
Un militant royaliste, un lecteur de lafautearousseau ne peuvent que souscrire à 100% à tout ce qu'a dit Zemmour sur Jacques Toubon et son poste, à supprimer d'urgence (ce qui fera au passage réaliser quelques économies, toujours bienvenues).
La question de départ de Christine Kelly était : à quoi sert Jaques Toubon, à quoi sert son poste de (soit-disant) Défenseur des droits ? Zemmour, brillant et percutant, n'a eu aucun mal à démolir le personnage et la fonction :
"A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle..."
Mathieu Bock-Côté a accordé une interview exclusive à Educ'France : #Assimilation #Identité #LibertéScolaire #EdTech... Une leçon aussi édifiante qu'elle est porteuse d'espoirs. Propos recueillis par Axelle Girard.
Une peur chasse l’autre, un ennemi remplace l’autre : le Covid-19 s’éloigne. Déjà l’on entend des réflexions sur les excès de panique qu’il a suscités. Il est vrai que les pays qui ont su l’affronter avec une méthode efficace n’en ont subi que des effets mesurés. La France n’est pas de ceux-là. La vague virale a atteint l’Amérique après l’Europe. On peut s’étonner qu’un vaste mouvement de protestation rassemblant des foules ait lieu aux Etats-Unis alors que l’épidémie y sévit encore fortement.
Philippe Delorme*, vous êtes historien et journaliste. On vous doit notamment la résolution d’un mystère qui a passionné la France depuis 1795. Celui de la mort de l’enfant du Temple, Louis XVII, fils du roi Louis XVI et de la reine Marie-Antoinette. Le début d’une affaire avec ses multiples rebondissements, ses faux prétendants, le mythe de sa survivance et son « happy-end » en 2004.
Le mensonge, on le sait peut prendre de multiples oripeaux : occultation, focalisation, euphémisation… Celui-ci pourrait s’appeler mensonge par métonymie, figure de style bien connue des lycéens de Première – quand ils passaient encore le bac français -, consistant à prendre le contenant pour le contenu, la partie pour le tout : je bois un verre, Paris est en liesse, il a enfin trouvé un toit.
Hier soir, sur CNews, l'essentiel de l'émission fut consacré à cette horreur absolue que fut la mise à mort de l'enfant-roi Louis XVII : une mise à mort non pas instantanée, comme avec la guillotine de ses parents, mais qui fut un long calvaire soigneusement programmé et appliqué avec toute l'inhumanité et la cruauté dont la Révolution sut faire preuve, du cachot de la Tour du Temple au Génocide de la Vendée, où eut lieu le premier Oradour-sur-Glane...
Le 8 juin 1795, le roi Louis XVII, fils de Louis XVI, meurt à l’âge de 10 ans, après plusieurs années de séquestration et d’endoctrinement de la part des révolutionnaires.
Méconnu du grand public et source de nombreuses théories, l’enfant roi Louis-Charles Capet a subit les foudres de la Révolution française. Enlevé à ses parents, séquestré dans une cellule, rééduqué, battu, le jeune Louis XVII était devenu gênant pour la révolution. Pierre de Meuse, cadre à l’Action française et auteur de Idées et doctrines de la contre-révolution (éditions DMM), évoque la mémoire et les derniers mois du jeune « enfant-martyr ».