Idées, débats... - Page 300
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Covid-19 : la fin de nos libertés ?, par Jean Bouër.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Gavés d’interdictions, les Français n’ont jamais si bien senti à quel point l’État voulait leur bonheur. Le juge administratif a néanmoins tempéré ces ardeurs.
Sous prétexte de lutter contre l’épidémie de Coronavirus, on est allé loin dans la restriction des libertés publiques. Plus besoin de guerre ou d’émeutes. Non seulement en plein confinement mais même après, car la vie « normale » est loin d’avoir repris. Le 11 mai 2020 met juste fin à un régime d’interdiction. En effet, si, avant cette date, l’interdiction de sortir était la norme et la liberté l’exception, strictement, les libertés restent toujours aménagées, car soumises à un certain nombre de conditions. Ce n’est pas parce que l’on est dispensé d’attestation que l’on fait ce que l’on veut. En fait, jamais dans l’histoire d’une République qui se dit libérale et démocratique on n’a autant accepté de limites aux libertés.
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Baccalauréat : un nivellement par le bas 100% français, par Charles de Blondin.
Avec près de 96 % de réussite au baccalauréat, la cuvée 2020 promet d’être une grande année. Un record ! Il faut dire que le ministère de l’Éducation nationale a mis les moyens. Il s’est battu pour que chaque petit français puisse aller à l’école, une obligation pour libérer les parents et relancer ainsi la machine économique du navire en détresse « France ».
L’usine à bachelier a marché comme prévu, la production a été bonne. Une vraie entreprise céréalière ! Mais quid de la qualité ? Dans quel niveau de gamme vont entrer ces nouveaux bacheliers sur le marché de l’enseignement supérieur ? Bas de gamme, moyenne gamme ou haut de gamme ? Notre modèle d’enseignement est-il si bon que cela et nos jeunes si excellents pour ainsi arriver à ce chiffre pharaonique de 96 % (95,7% exactement) ? Ou alors le niveau du baccalauréat a-t-il été considérablement abaissé afin de tendre vers une dictature productiviste au mépris de la qualité ? Il suffit de demander aux Français pour avoir la réponse : chacun en est conscient, personne n’est dupe. -
Commerce des hommes et islamisme (25), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.
En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :
JEUNESSE SI TU SAVAIS
https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/
https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/
POUSSIERES D'ETOILES
https://www.poussieresdetoiles.fm/
https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos
Et voici le vingt-cinquième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...
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Mayotte : le laboratoire ?, par Michel Corcelles.
Très engagé et représentant français au sein du partenariat Eurafricain, Michel Corcelles vient ici clarifier la situation de Mayotte, bien souvent méconnue et caricaturée par ceux qui, paradoxalement, en parlent avec la plus grande assurance. Et si, finalement, Pierre Pujo, ancien et célèbre directeur de la publication d’Aspect de la France, et secrétaire général du mouvement d’Action française, avait eu raison de mener le combat que l’on sait pour garder Mayotte à la France ? (Ndlr, O. perceval)
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Le Pic Saint-Loup retrouve sa Croix... Bien plus qu'un symbole culturel...
Merci à l'Action française Montpellier d'avoir relayé l'information.
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Sur TV Libertés, le langage soumis à l'idéologie victimaire, par Thomas Clavel.
Professeur de français en réseau d'éducation prioritaire de la Seine-Saint-Denis, Thomas Clavel publie "Un traître mot". Son héros, Maxence commet, - dans une France où la loi Avia serait appliquée - un crime de langage. Ce crime contre la novlangue va le mener en prison au terme d'un procès en sorcellerie. Récit passionnant et effrayant d'hommes broyés par une religion victimaire dont "l'évangile" pourrait se résumer à "détestez-vous les uns les autres".
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Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron : l'option "reset".
Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'option "reset" mise en avant par le FMI et la BCE.
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Sur BFM TV, Robert Menard, maire de Béziers, était l'invité de Jean-Jacques Bourdin.
Robert Menard, maire de Béziers, répondait aux questions de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFMTV. Il est notamment revenu sur la crise que traverse la police, le match Le Pen-Macron, la mode du Gaullisme et "l'abandon" de certains quartiers.
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Sur la chaîne Thinkerview, où en est la France ?, par Michel Onfray [EN DIRECT].
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Sur la page facebook de Bernard Bonnaves...
Puisque "la mode" est à demander pardon, à mettre un genou à terre...
Nantes sous la Terreur (1792-1794)
Mémorial situé au 7 rue des Martyrs, à NantesAprès avoir jugé et fait fusiller les prisonniers vendéens après la bataille du Mans et la bataille de Savenay, la commission militaire Bignon est appelée à Nantes. Elle s'installe à l'Entrepôt des cafés où 8 000 à 9 000 Vendéens, hommes, femmes et enfants sont enfermés en décembre 1793 et en janvier 1794. La commission y tient ses séances presque chaque jour, de huit heures du matin à dix heures du soir, du 29 décembre 1793 au 20 février 1794
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Merveilleux Coronavirus (suite), par Antoine de Crémiers.
Le chaos
Dans le concert des optimistes qui nous chantent en chœur « Ce n’est pas si grave », quelques voix discordantes voudraient bien se faire entendre. Dans une lettre à un ami, Michel Houellebecq explique que dans son livre, « La possibilité d’une île », il avait bien en tête l’extinction de l’humanité. « Rien d’un film à grand spectacle, quelque chose d’assez morne, des individus vivant isolés dans leur cellule, sans contact physique avec leurs semblables, juste quelques échanges par ordinateur… Je ne crois pas une demie seconde aux déclarations du genre « rien ne sera plus comme avant ». Au contraire, tout restera exactement pareil. Le déroulement de cette épidémie est même remarquablement normal.
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Les monarchies, modèle actuel, par Frédéric de Natal.
Dans le monde entier, la monarchie est aujourd'hui le système politique de nombreux pays ; surtout, son principe même connaît un vif regain d'intérêt.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
En 1988, l’archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, prétendant à la double couronne austro-hongroise, écrivait : « On parle beaucoup de nos jours, des monarchies, présentes et passées. Cette vogue montre le désir d’une génération placée en face de problèmes en apparence insolubles – l’expansion de la bureaucratie, les nouvelles technologies ou l’endettement global – de retrouver ses racines historiques et, à travers elles, un élément humain de sécurité. » Rien n’est plus vrai aujourd’hui.
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Eric Dupont-Moretti, par Aristide Renou.
J’ai dit très vite que Dupont-Moretti m’inspirait les plus vives craintes. Ce n’était pas préjugés de ma part, juste la constatation que ses premières déclarations laissaient transparaitre une adhésion sans faille à la culture de l’excuse et au politiquement correct judiciaire.
Nous en avons eu une nouvelle confirmation lors de sa visite dans un Centre Educatif Fermé, une structure qui accueille des mineurs en général déjà bien avancés sur le chemin de la délinquance.
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Charles Huet : «Le Made in France est une réponse à la désindustrialisation française».
Source : https://www.billetdefrance.fr/
Le Made in France revient plus que jamais sur le devant de la scène. Mais qu’en est-il réellement ? Entretien avec Charles Huet, co-créateur de la Carte française, une carte cadeau dédiée au produit Made in France et auteur du Guide des produits Made in emplois (2013).